Fanfiction : Stargate Atlantis (^^)
Titre : Leurs vies ne commençent qu'aujourd'hui
Auteur : Cami
Genre : Sparky
Rating : K+
Résumé : John fait un sorte de "point" sur sa relation avec Elizabeth
Saison : Hors Saison
Spoiler : Saison 4 (disparition d'Elizabeth)
Disclamer : Les personnages ne sont pas de ma création, je ne touche aucune rémunération pour cette fic et n'écrit que par loisir.
Du bruit autour de lui, des voix qui s’élèvent : la lignée de son regard reste la même. Elle, il ne regarde qu’elle. Toutes ces pensées lui sont destinées, il n’arrive pas à s’en détacher.
Elle, qui ne le regarde pas, qui bavarde. Il ne lui en veut pas, sa conversation semble la passionnée, il ne veut pas tout gâcher. Et puis, si elle le regardait, il faudrait bien qu’elle tourne tête à un moment, car lui ne le fera jamais.
Ces pensées sont incohérentes, même si le sujet initial est toujours « elle », ça s’avère sans queue ni tête. Il rassemble, reforme son esprit, pour être pour lui-même plus compréhensible. Il se souvient… Il se souvient de ce jour où son sourire avait fait irruption dans sa vie pour ne plus jamais en sortir. Bien sur, la flèche de Cupidon ne l’avait pas, immédiatement frapper ! Il ne s’était pas sentit soudainement pris d’une envie de l’épouser. Bien sur que non… Il l’avait aimé, comme collègue, comme amie.
Elle l’avait quitté, c’était envolé, l’avait abandonné… Pendant si longtemps, il l’avait cherché, n’aspirant qu’à la retrouver. Se découvrant l’aimé comme il ne l’avait pas soupçonné.
S’il avait pu, il se serait damné, rien que pour pouvoir une dernière fois, dans ces bras la serrer.
Elle revint… Longtemps après, un temps qui lui avait semblait une éternité même s’il ne faisait pas un calendrier complet. Enfin, il put abrégé sa douleur dans une étreinte. Presque comme avant, elle était présente. Mais c’était différent…Différent par ce que lui dictait son cœur, différent parce qu’il avait peur d’avec elle, commettre la moindre erreur…
Sans que se ne soit prémédité, un soir ils c’étaient embrassés. Et ce baiser, au grand jamais il ne pourra l’oublier. Il ne fut pas leur réel premier, et tout sauf le dernier mais se fut par cet échange que tout c’était accélérer…
Il est fière, fière car il pourra se vanter d’avoir du surmonter pire que des beaux-parents diabolique pour être libre d’aimé sa dulcinée. Il est fière d’être avec une femme aussi belle, il est fière qu’une femme comme elle, l’est choisit, parmis tant d’autre bien mieux que lui.
Des obstacles, ils avaient du en traverser, mais ils n’avaient jamais abandonnés, ils ne s’étaient jamais abandonnés. Ils avaient surmonté regards, critiques, règlement pour pouvoir enfin être ensemble. Mais des ennuis, ils en rencontreront encore, des gens qui à eux, s’opposeront ne se feront jamais attendre, mais qu’importe…
Si derrières eux ils ont déjà tant de souvenir, il sait que leur vie à deux, bientôt à trois, ne commence qu’aujourd’hui.
Elle se tourne enfin vers lui, lui sourit. Cette si petite attention l’emplit de plaisir, la fixant toujours, il adresse de façon inaudible mais descriptible, un « Je t’aime » à cette femme éternellement sienne...
THE END
Auteur : Cami
Genre : Sparky
Rating : K+
Résumé : John fait un sorte de "point" sur sa relation avec Elizabeth
Saison : Hors Saison
Spoiler : Saison 4 (disparition d'Elizabeth)
Disclamer : Les personnages ne sont pas de ma création, je ne touche aucune rémunération pour cette fic et n'écrit que par loisir.
Du bruit autour de lui, des voix qui s’élèvent : la lignée de son regard reste la même. Elle, il ne regarde qu’elle. Toutes ces pensées lui sont destinées, il n’arrive pas à s’en détacher.
Elle, qui ne le regarde pas, qui bavarde. Il ne lui en veut pas, sa conversation semble la passionnée, il ne veut pas tout gâcher. Et puis, si elle le regardait, il faudrait bien qu’elle tourne tête à un moment, car lui ne le fera jamais.
Ces pensées sont incohérentes, même si le sujet initial est toujours « elle », ça s’avère sans queue ni tête. Il rassemble, reforme son esprit, pour être pour lui-même plus compréhensible. Il se souvient… Il se souvient de ce jour où son sourire avait fait irruption dans sa vie pour ne plus jamais en sortir. Bien sur, la flèche de Cupidon ne l’avait pas, immédiatement frapper ! Il ne s’était pas sentit soudainement pris d’une envie de l’épouser. Bien sur que non… Il l’avait aimé, comme collègue, comme amie.
Elle l’avait quitté, c’était envolé, l’avait abandonné… Pendant si longtemps, il l’avait cherché, n’aspirant qu’à la retrouver. Se découvrant l’aimé comme il ne l’avait pas soupçonné.
S’il avait pu, il se serait damné, rien que pour pouvoir une dernière fois, dans ces bras la serrer.
Elle revint… Longtemps après, un temps qui lui avait semblait une éternité même s’il ne faisait pas un calendrier complet. Enfin, il put abrégé sa douleur dans une étreinte. Presque comme avant, elle était présente. Mais c’était différent…Différent par ce que lui dictait son cœur, différent parce qu’il avait peur d’avec elle, commettre la moindre erreur…
Sans que se ne soit prémédité, un soir ils c’étaient embrassés. Et ce baiser, au grand jamais il ne pourra l’oublier. Il ne fut pas leur réel premier, et tout sauf le dernier mais se fut par cet échange que tout c’était accélérer…
Il est fière, fière car il pourra se vanter d’avoir du surmonter pire que des beaux-parents diabolique pour être libre d’aimé sa dulcinée. Il est fière d’être avec une femme aussi belle, il est fière qu’une femme comme elle, l’est choisit, parmis tant d’autre bien mieux que lui.
Des obstacles, ils avaient du en traverser, mais ils n’avaient jamais abandonnés, ils ne s’étaient jamais abandonnés. Ils avaient surmonté regards, critiques, règlement pour pouvoir enfin être ensemble. Mais des ennuis, ils en rencontreront encore, des gens qui à eux, s’opposeront ne se feront jamais attendre, mais qu’importe…
Si derrières eux ils ont déjà tant de souvenir, il sait que leur vie à deux, bientôt à trois, ne commence qu’aujourd’hui.
Elle se tourne enfin vers lui, lui sourit. Cette si petite attention l’emplit de plaisir, la fixant toujours, il adresse de façon inaudible mais descriptible, un « Je t’aime » à cette femme éternellement sienne...
THE END