japan 2013 - fifteenth day - Osaka
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Une limace venant d'être attaquée par l'armée diabolique du colonel "sel marin":
Voila l'état de semi décomposition dans lequel je me trouvais,
pour notre première journée à Osaka.
le soleil semblait avoir rassembler toute son énergie,
me prenant pour cible de ses rayons trop intenses.
Nous avions décidé de nous rendre au Ōsaka-jo,
espérant toute fois y arriver avant que nos corps liquéfiés
ne fasse glisser des gens.
à peine arrivée à la fin de la route qui contournait l'édifice,
que je suppliait ma très chère mère de rentrer.
si l'enfer devait ressembler à quelque chose,
j'avais surement commis un péché impardonnable, car ici,
c'était pire que l'enfer!
la chaleur était suffocante, chaque respiration plus laborieuse que la précédente.
nous rentrions donc pour nous rafraîchir, avant
de repartir vers Dōtonbori.
en chemin, nous croisions une petite fille
fière de sa trouvaille dans un des parcs de la ville:
quand je pense que chez nous, les gosses
sont fière de dominer des fourmis...
Dōtonbori est pour moi l'un des endroits les plus extravagants du japon.
sorti tout droit de l'imagination d'architecte accro à la farine magique,
si vous voulez mon avis.
néant moins, je les remercie pour le spectacle!
les galeries étaient noires de monde,
une foules digne des plus grands rassemblement.
heureusement, nos regards vifs et acérés
captèrent une touche de rose dans la multitudes de passant:
un énorme sac Angelic Pretty!
j'accostais donc la propriétaire de ce cadeau de Dieu
(je lui sautais dessus pour être plus exacte 8D)
et cette dernière, accompagnée d'une charmante amie
nous proposèrent de nous mener vers le saint graal.
quelque minutes plus tard, nous étions arrivées
devant le temple de cette merveilleuse religion qu'est le lolita,
bavant sur la vitrine et pénétrant en son sein.
nous y flânions pendant presque une demi heure, avant
de repartir vers notre destinée, guidées par nos estomac
qui criaient famine.
enfin, nous terminions cette journées dans les rues
animée de ce quartier aux milles enseignes colorées,
sous le regard bien veillant du Glico.
