(no subject)
Je... Je ne sais pas comment commencer ce post.
De moins en moins présente, ou de plus en plus discrète sur LJ en ce moment, je l'avoue. Je vous lie, sans jamais vraiment avoir le courage de reviewé, comme avant. Je crois que tout le monde évolue, qu'on bouge tous plus ou moins et que le le reflexe de poster ici chaque fois qu'une chose se passe se fait beaucoup moins sentir chez moi.
Mais, ça me manque.
Seulement, je ne sais plus comment le faire.
Les mots ont pris une importance énorme pour moi, qu'ils n'avaient pas avant. J'en suis au point où je retourne mes phrases dans tous les sens, pour qu'elles soient parfaites, dans le bon sens, qu'elles ne vexent personne. J'en suis au point où dès que j'essaie d'être spontanée, d'etre moi-même, j'ai l'impression de faire des bourdes irréprarables. Je ne discute plus, je fais de la diplomatie.
Mais j'ai l'impression d'avoir passé de bonnes vacances, d'avoir passé un cap. J'ai été heureuse, ça c'est sûr. Mais ces petits bonheurs tous simples me manquent.
Comme l'a dit si justement un petit monsieur sur ce blog :
"Le problème quand on est heureux, c'est qu'on est comme suspendu par les bretelles, très haut au dessus du sol. On attend le moment où tout cela s'arrêtera, le moment où on se retrouvera genre vautré par terre, la tronche dans le sable. Le problème, c'est qu'être suspendu par les bretelles, ça fait mal aux couilles."
J'ai très envie de les revoir. Je les aime tellement.
De moins en moins présente, ou de plus en plus discrète sur LJ en ce moment, je l'avoue. Je vous lie, sans jamais vraiment avoir le courage de reviewé, comme avant. Je crois que tout le monde évolue, qu'on bouge tous plus ou moins et que le le reflexe de poster ici chaque fois qu'une chose se passe se fait beaucoup moins sentir chez moi.
Mais, ça me manque.
Seulement, je ne sais plus comment le faire.
Les mots ont pris une importance énorme pour moi, qu'ils n'avaient pas avant. J'en suis au point où je retourne mes phrases dans tous les sens, pour qu'elles soient parfaites, dans le bon sens, qu'elles ne vexent personne. J'en suis au point où dès que j'essaie d'être spontanée, d'etre moi-même, j'ai l'impression de faire des bourdes irréprarables. Je ne discute plus, je fais de la diplomatie.
Mais j'ai l'impression d'avoir passé de bonnes vacances, d'avoir passé un cap. J'ai été heureuse, ça c'est sûr. Mais ces petits bonheurs tous simples me manquent.
Comme l'a dit si justement un petit monsieur sur ce blog :
"Le problème quand on est heureux, c'est qu'on est comme suspendu par les bretelles, très haut au dessus du sol. On attend le moment où tout cela s'arrêtera, le moment où on se retrouvera genre vautré par terre, la tronche dans le sable. Le problème, c'est qu'être suspendu par les bretelles, ça fait mal aux couilles."
J'ai très envie de les revoir. Je les aime tellement.