Prison Break - Stunts / Coups tordus
Title: Stunts
Author: clair-de-lune
Characters: Michael, Sucre
Genre: Gen
Rating: PG-13 (one bad word)
Word count: ~ 360
Disclaimer: Not mine. Just borrowing them for a while.
Summary: He’s staring into space. Again.
Notes: Just a tiny ficlet for the current writing challenge at scofield_sucre with the prompt “staring into space”. Thanks to torigates for the beta.
He’s staring into space. Again. Elbows resting on his knees, he’s sitting on his bunk and staring into space, watching without actually seeing it the wall in front of him. Or maybe he’s examining and analyzing the structure of the fucking wall, for all Sucre knows.
It’s the staring part that never fails to make him nervous because when Michael does that, it usually means that there is either a damn unpredicted problem or a solution to a damn unpredicted problem. Doesn’t really matter which one it is. The gist of the story is that a problem leads to a temporary stop to Michael’s plan and, most of the time the solution involves a few hazardous stunts. Troubles in both cases.
All Sucre can do in those circumstances is wait and hope for the best. Pray that the aforementioned hazardous stunts won’t send him - or Michael, or both of them - to the SHU. So, in order to kill time, he paces back and forth in their cell, fiddles with the bars, fidgets with the hem of his shirt and then with the sheet. None of that manages to distract Michael who keeps on staring into space.
Sucre singing under his breath does the trick, though, and Michael finally, finally looks up and meets his gaze.
“What’s the matter, Sucre?” he asks with a patient, even voice that makes Sucre feel like he’s a kid disturbing a parent.
He stills, stops humming and blinks. With a slight shrug of his shoulders, he leans against the wall and mumbles, “Nothing. Never mind. Just keep on... doing whatever you’re doing, papi.” Michael nods distractedly and slips back into silent staring mode.
It’s the middle of the night, the lights are off and so is Sucre, who sleeps soundly when he feels a hand tapping on his shoulder.
Michael is standing by their bunks, bending towards Sucre. He has stopped staring into space. He’s now staring at Sucre’s face and then into Sucre’s eyes, and a half, crooked smile curls the corner of his mouth. Sucre rubs his eyes with the heel of his hand and can’t withhold a sigh.
Here come the hazardous stunts.
-End-
24 May 2008
Titre : Coups tordus
Auteur : clair-de-lune
Personnages : Michael, Sucre
Public : PG
Mots : ~ 411
Disclaimer : Ils ne sont pas à moi. Je les emprunte un instant et les rends dans quelques lignes.
Résumé : Il regarde fixement dans le vide. Encore.
Notes : Initialement écrit en anglais pour le challenge du mois de mai de scofield_sucre, avec le prompt "Staring into space". Traduit parce que... traduire une ‘tite ficlet me permet d’éviter de me pencher sur les fics que je suis supposée écrire.
Il regarde fixement dans le vide. Encore. Les coudes reposant sur les genoux, il est assis sur son lit et il regarde dans le vide, fixant sans vraiment le voir le mur en face de lui. Ou bien peut-être qu’il examine et analyse la structure du putain de mur en question, pour ce qu’en sait Sucre.
Le coup du regard fixe dans le vide le rend toujours nerveux parce que quand Michael fait ça, ça signifie en général qu’il y a un fichu problème imprévu à l’horizon, ou bien la solution à un fichu problème imprévu. Peu importe. Le fond de l’affaire, c’est qu’un problème entraîne un arrêt provisoire dans le plan de Michael et, la plupart du temps, la solution implique quelques coups tordus hasardeux. Des ennuis en perspective dans un cas comme dans l’autre.
Tout ce que Sucre peut faire quand ce genre de trucs se produit, c’est attendre et espérer que tout ira bien. Prier pour que les coups tordus hasardeux en question ne le mènent pas - ou Michael, ou tous les deux - direct au trou. Aussi, histoire de tuer le temps, il fait les cent pas dans leur cellule, tripote les barreaux de la grille, l’ourlet de son tee-shirt, puis le drap. Rien de tout celui ne parvient à distraire Michael qui continue de regarder dans le vide.
Sucre se met à chanter sotto voce et ça, finalement, ça parvient attirer l’attention de Michael, qui relève la tête et croise son regard.
« Quelque chose ne va pas, Sucre ? » demande-t-il sur ce ton patient, calme, qui donne à Sucre l’impression d’être un gosse dérangeant son père.
Il s’immobilise, arrête de chantonner et cligne des paupières. Avec un petit haussement d’épaules, il s’appuie contre le mur et marmonne : « Rien. T’inquiète. Continue de faire... ce que tu faisais, papi. » Michael hoche distraitement la tête et retombe en mode observation silencieuse.
C’est le milieu de la nuit, les lumières sont éteintes et Sucre dort du sommeil du juste quand il sent une main lui tapoter l’épaule.
Michael se tient debout près de leurs couchettes, penché vers lui. Il ne regarde plus fixement dans le vide. Il regarde désormais fixement le visage de Sucre, puis plonge son regard dans celui de Sucre, et un demi-sourire lui soulève le coin des lèvres. Sucre se frotte les paupières de la paume de la main et laisse échapper un soupir.
En avant pour les coups tordus hasardeux.
-Fin-
24-25 mai 2008
Feedback is always welcome ;-)
Author: clair-de-lune
Characters: Michael, Sucre
Genre: Gen
Rating: PG-13 (one bad word)
Word count: ~ 360
Disclaimer: Not mine. Just borrowing them for a while.
Summary: He’s staring into space. Again.
Notes: Just a tiny ficlet for the current writing challenge at scofield_sucre with the prompt “staring into space”. Thanks to torigates for the beta.
He’s staring into space. Again. Elbows resting on his knees, he’s sitting on his bunk and staring into space, watching without actually seeing it the wall in front of him. Or maybe he’s examining and analyzing the structure of the fucking wall, for all Sucre knows.
It’s the staring part that never fails to make him nervous because when Michael does that, it usually means that there is either a damn unpredicted problem or a solution to a damn unpredicted problem. Doesn’t really matter which one it is. The gist of the story is that a problem leads to a temporary stop to Michael’s plan and, most of the time the solution involves a few hazardous stunts. Troubles in both cases.
All Sucre can do in those circumstances is wait and hope for the best. Pray that the aforementioned hazardous stunts won’t send him - or Michael, or both of them - to the SHU. So, in order to kill time, he paces back and forth in their cell, fiddles with the bars, fidgets with the hem of his shirt and then with the sheet. None of that manages to distract Michael who keeps on staring into space.
Sucre singing under his breath does the trick, though, and Michael finally, finally looks up and meets his gaze.
“What’s the matter, Sucre?” he asks with a patient, even voice that makes Sucre feel like he’s a kid disturbing a parent.
He stills, stops humming and blinks. With a slight shrug of his shoulders, he leans against the wall and mumbles, “Nothing. Never mind. Just keep on... doing whatever you’re doing, papi.” Michael nods distractedly and slips back into silent staring mode.
It’s the middle of the night, the lights are off and so is Sucre, who sleeps soundly when he feels a hand tapping on his shoulder.
Michael is standing by their bunks, bending towards Sucre. He has stopped staring into space. He’s now staring at Sucre’s face and then into Sucre’s eyes, and a half, crooked smile curls the corner of his mouth. Sucre rubs his eyes with the heel of his hand and can’t withhold a sigh.
Here come the hazardous stunts.
-End-
24 May 2008
Titre : Coups tordus
Auteur : clair-de-lune
Personnages : Michael, Sucre
Public : PG
Mots : ~ 411
Disclaimer : Ils ne sont pas à moi. Je les emprunte un instant et les rends dans quelques lignes.
Résumé : Il regarde fixement dans le vide. Encore.
Notes : Initialement écrit en anglais pour le challenge du mois de mai de scofield_sucre, avec le prompt "Staring into space". Traduit parce que... traduire une ‘tite ficlet me permet d’éviter de me pencher sur les fics que je suis supposée écrire.
Il regarde fixement dans le vide. Encore. Les coudes reposant sur les genoux, il est assis sur son lit et il regarde dans le vide, fixant sans vraiment le voir le mur en face de lui. Ou bien peut-être qu’il examine et analyse la structure du putain de mur en question, pour ce qu’en sait Sucre.
Le coup du regard fixe dans le vide le rend toujours nerveux parce que quand Michael fait ça, ça signifie en général qu’il y a un fichu problème imprévu à l’horizon, ou bien la solution à un fichu problème imprévu. Peu importe. Le fond de l’affaire, c’est qu’un problème entraîne un arrêt provisoire dans le plan de Michael et, la plupart du temps, la solution implique quelques coups tordus hasardeux. Des ennuis en perspective dans un cas comme dans l’autre.
Tout ce que Sucre peut faire quand ce genre de trucs se produit, c’est attendre et espérer que tout ira bien. Prier pour que les coups tordus hasardeux en question ne le mènent pas - ou Michael, ou tous les deux - direct au trou. Aussi, histoire de tuer le temps, il fait les cent pas dans leur cellule, tripote les barreaux de la grille, l’ourlet de son tee-shirt, puis le drap. Rien de tout celui ne parvient à distraire Michael qui continue de regarder dans le vide.
Sucre se met à chanter sotto voce et ça, finalement, ça parvient attirer l’attention de Michael, qui relève la tête et croise son regard.
« Quelque chose ne va pas, Sucre ? » demande-t-il sur ce ton patient, calme, qui donne à Sucre l’impression d’être un gosse dérangeant son père.
Il s’immobilise, arrête de chantonner et cligne des paupières. Avec un petit haussement d’épaules, il s’appuie contre le mur et marmonne : « Rien. T’inquiète. Continue de faire... ce que tu faisais, papi. » Michael hoche distraitement la tête et retombe en mode observation silencieuse.
C’est le milieu de la nuit, les lumières sont éteintes et Sucre dort du sommeil du juste quand il sent une main lui tapoter l’épaule.
Michael se tient debout près de leurs couchettes, penché vers lui. Il ne regarde plus fixement dans le vide. Il regarde désormais fixement le visage de Sucre, puis plonge son regard dans celui de Sucre, et un demi-sourire lui soulève le coin des lèvres. Sucre se frotte les paupières de la paume de la main et laisse échapper un soupir.
En avant pour les coups tordus hasardeux.
-Fin-
24-25 mai 2008
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