[fanart/fic] Batman - Mr Freeze, Koonak, les ourses - PG (rien à moi)
1/ Cela fait trop longtemps sans brouillon posté.
2/ On m'a demandé du fluff avec les ourses, Mr Freeze et Koonak.
3/ ... j'avais envie.
--
« Elle a quoi, Shaka ? » demande le petit garçon d’un air curieux. Non, se corrige Victor immédiatement. Inquiet. Les sourcils sont froncés et l’air grave, le corps figé et les yeux fixés sur lui, uniquement lui. Comment peut-il en être autrement quand Victor constitue l’adulte ici présent, le seul à soigner les blessures.
Pour l’instant, songe-il. L’enfant est encore si petit, même pas six ans et ignorant de tellement de chose, mais il ne tient qu’à lui-même de changer ça. Pas seulement pour passer le temps, mais pour la propre survie de ses protégés. Il jette un œil sur l’ourse maintenant endormie, la plaie sur la tête, visible, faite lors d’une bataille, les autres sur le corps, résultat d’une mauvaise rencontre.
« Elle a été affaiblie, Koonak, mais elle va aller mieux, tu peux retourner te reposer, je viendrai après. »
Il aurait pu lui aussi être blessé, les dégâts auraient été plus graves, mortels, il est encore si petit et chétif. Et si lui-même n’avait pas été là, sans doute n’aurait-il pas su quoi faire, d’où le besoin de lui apprendre certaines choses, soigner en fait partie. Surtout qu’il n’a pas encore trouvé le moyen de la sauver, sa chère femme plus prisonnière de la glace que jamais.
« Je peux pas rester avec elle ? » demande alors le petit et cette fois, c’est faire lui que se tourne son regard. Il note le reste d’inquiétude, certes justifiée. C’est la première fois qu’une chasse tourne mal, le premier sang versé pour protéger. Il songe que le petit n’a pas vu le sang de ses parents, ni même leurs dépouilles, qu’aurait-il fait devant le corps sans vie de l’ourse si les choses avaient tourné plus tragiquement encore ?
« Bien sûr que tu peux. » énonce Victor et aussitôt le petit s’avance, doucement, se penchant pour mieux caresser en douceur la tête de l’ourse, murmurant à l’oreille.
« Merci pour m’avoir protégé, Nouchka est partie te chercher à manger, maintenant, fais de beaux rêves. »
2/ On m'a demandé du fluff avec les ourses, Mr Freeze et Koonak.
3/ ... j'avais envie.
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« Elle a quoi, Shaka ? » demande le petit garçon d’un air curieux. Non, se corrige Victor immédiatement. Inquiet. Les sourcils sont froncés et l’air grave, le corps figé et les yeux fixés sur lui, uniquement lui. Comment peut-il en être autrement quand Victor constitue l’adulte ici présent, le seul à soigner les blessures.
Pour l’instant, songe-il. L’enfant est encore si petit, même pas six ans et ignorant de tellement de chose, mais il ne tient qu’à lui-même de changer ça. Pas seulement pour passer le temps, mais pour la propre survie de ses protégés. Il jette un œil sur l’ourse maintenant endormie, la plaie sur la tête, visible, faite lors d’une bataille, les autres sur le corps, résultat d’une mauvaise rencontre.
« Elle a été affaiblie, Koonak, mais elle va aller mieux, tu peux retourner te reposer, je viendrai après. »
Il aurait pu lui aussi être blessé, les dégâts auraient été plus graves, mortels, il est encore si petit et chétif. Et si lui-même n’avait pas été là, sans doute n’aurait-il pas su quoi faire, d’où le besoin de lui apprendre certaines choses, soigner en fait partie. Surtout qu’il n’a pas encore trouvé le moyen de la sauver, sa chère femme plus prisonnière de la glace que jamais.
« Je peux pas rester avec elle ? » demande alors le petit et cette fois, c’est faire lui que se tourne son regard. Il note le reste d’inquiétude, certes justifiée. C’est la première fois qu’une chasse tourne mal, le premier sang versé pour protéger. Il songe que le petit n’a pas vu le sang de ses parents, ni même leurs dépouilles, qu’aurait-il fait devant le corps sans vie de l’ourse si les choses avaient tourné plus tragiquement encore ?
« Bien sûr que tu peux. » énonce Victor et aussitôt le petit s’avance, doucement, se penchant pour mieux caresser en douceur la tête de l’ourse, murmurant à l’oreille.
« Merci pour m’avoir protégé, Nouchka est partie te chercher à manger, maintenant, fais de beaux rêves. »