Rien à moi.
x-men-Shadowcat, Nightcrawler-PG
(Pré!ship)
(fait en écoutant ce morceau :
http://www.youtube.com/watch?v=-tEgzGnzojc&feature=related)
Je lui doit bien ça, se disait Nightcrawler en lui offrant sa main, demandant tacitement une danse. D'abord hésitante, la jeune fille tendit à son tour la main. Offre acceptée et mouvement de valse au rythme de la musique.
Elle lui avait sauvé la vie, tuant pour lui et il n'avait jamais pu entièrement la protéger. Pas plus que les autres, pas autant qu'il l'aurait voulu. Alors, l’allemand dansait avec elle, quelque chose de doux, tendre. Pour lui faire oublier un instant les mauvais souvenirs. Quelques pas ensuite, ils se regardèrent, un sourire aux lèvres.
Quelque chose naquit ce soir-là.
X-men- Piotr aka Colossus- G
Piotr aimait peintre depuis longtemps déjà. Il se souvenait encore de ses premiers essais, maladroits et brouilles, ces frêles esquisses de débutant qui devaient illustrer les contes du soir d’une toute petite Illyana en manque de sommeil. Sous son instrument renaissait les imageries d’autrefois, les histoires anciennes et les héros qui toujours gagnent.
Qu’est-ce qu’elle aimait ses dessins, sa petite sœur adorée. Toujours, même lorsqu’après un séjour en enfer, elle était revenue changée. Parfois, elle passait un instant le voir lorsqu’il dessinait, se taisant, ne faisait aucune remarque, se contentant de regarder. Ces moments là, Piotr les chérissait intensément. Tout comme il aimerait dans une ambiance feutrée dessiner une Kitty Pryde en train de lui sourire, posant pour lui comme il l’avait voulu depuis qu’ils étaient ensemble. Il y avait dans ses lignes une force et une profondeur qu’il n’arrivait pas à voir et les couleurs naissaient et s’épanouissaient sur la toile, que ce soit sous forme de petites étincelles vives, de subtils mouvements de lumières, des tons plus sombres, sans être sinistres. Sans le saisir lui-même, c’était tout un monde qu’il créait, sans mots, sans longs discours, ni tournures lourdes ou savantes. Il était artiste, il était artisan.
Hetalia-Ludwig (RFA), Netsah Blumenfeld (oc!Israel)-R (massacres passées, entre autre)
(a failli être dans un arbre à drabble. j'ai préféré ne pas le mettre).
Ceci prends place lors du traité de réparation allemande de 1952, je précise que ce qui suit n'est PAS mon opinion sur l'Allemagne, c'est juste ce que pense mon personnage à un moment donné :
« D’ailleurs, vous l’avez déjà fait. Souvent, même. Alors, pas de « je ne recommencerais plus », ni de « je regrette » et autres hypocrisies, monsieur Reich. Nous savons tous les deux combien vous aimez me faire mal…»
« Allemagne... » Tenta de corriger Ludwig, plus honteux qu'il ne le laissait paraitre.
« Pour moi, c'est pareil, monsieur ‘j’aime persécuter les gens avant de promener le chien’. »
« Vous êtes libre de penser ce que vous voulez… » Essaya de répondre diplomatiquement l’allemand, incapable de parler. Un étau serrait sa gorge et la culpabilité lui nouait les entrailles
(Envie d'écrire une fic sur eux, maintenant *sort)
Fics sur pokémon, basées sur un futur rpg. Mens est un mentali, Nikita mon perso russo-irlandais (ou irlando-russe) fumeur, aimant la bière et ayant une poisse pas possible. La faute à sa créatrice. )
Premier contact
Lorsque Mens rencontra Nikita, elle ne pensa à rien de spéciale, ou plutôt, elle rêvait encore, bien blottie contre le mur, loin de toute cage. Elle s’était enfuie dès qu’elle lavait pu, s’échappant des mains et des boites étouffantes. On devait la chercher, ce petit evoli encore sans nom, mais elle s’en moquait bien. Puis, arriva un bruit, un ensemble de petits pas qu’elle n’entendit pas, trop plongée dans son sommeil. Doucement des doits lui frôlèrent les oreilles, lentement elle entrouvrit les yeux pour mieux plonger dans ceux clairs d’un enfant penché sur elle. Fronçant légèrement ses sourcils roux, Nikita la regarda un court moment, avant de finalement fouiller dans ses poches pour sortir quelques friandises.
Lorsque Mens rencontra Nikita, elle ne pensa à rien de spéciale. Lorsqu’il rencontra Mens, Nikita ne dit rien de spécial. Les deux étaient complètement d’accord pour dire qu’aucun autre contact n’aurait été meilleur. Nikita ajouterais que ce fut l’un de ses meilleurs anniversaires.
Fille-garçon
Le jeune Nikita aimait son évoli, dormir dans la même chambre, jouer avec lui. Pas vraiment le prendre en public dans ses bras, parce que dans sa tête de petit garçon, c’était plus réservé aux filles niaises (pas toutes les filles, seulement celles qui crient tout le temps et qui sont si fatigantes). Le caresser était, de son point de vue, meilleur. Enfin, la caresser. Mens n’aimait pas lorsqu’on la confondait avec un mâle. Nikita comprenait. Il serait vraiment vexé si on le prenait pour sa cousine, vraiment.
Transformation
Le jour où Mens évolua, le jeune adolescent roux la regarda d’un air stupéfié. Nikita avait toujours entendu parler d’évolution sur le tas, lorsque les combats étaient si rudes que les pokemon devaient donner le meilleur d’eux-mêmes, lorsqu’ils dépassaient un seuil et qu’ils ne pouvaient plus revenir en arrière.
Il n’avait jamais entendu parler de transformation plus douce, moins amère et plus rapide. Pendant longtemps, il s’interrogea sur le facteur déclencheur de l’évolution de Mens. Ensuite, il se dit que vraiment, cela ne valait pas la peine de se poser tant de question. Mens allait bien, il allait bien, sa vie n’était pas encore trop merdeuse. Autant ne pas en demander davantage.
Rêve
Etre un mentali impliquait forcément être télépathe, cela allait de soi. Cependant, au début, Nikita avait coutume de l’oublier, laissant ses pensées dériver, laissant sa Mens encore dormir avec lui, comme lorsqu’ils étaient tout petits. Etre télépathe permet de lire dans les pensées, mais aussi parfois dans les rêves. Une fois, Mens laissa son pouvoir agir, sans trop en avoir conscience, en regardant son maitre en train de murmurer des paroles dans son sommeil, long chapelet de paroles et de grognements. Deux minutes plus tard, elle se retrouva à caresser un corps, les doigts humains se baladant sur le corps masculins, caresses lascives, mouvements passionnées et ambiance érotique. Elle poussa un cri ce qui brisa le rêve, brisa le calme. Nikita se réveilla d’un bond, se demandant ce qui pouvait bien se passer.
« Tu as fait un mauvais rêve ? »
« … Tali… »
Cela voulait dire oui. Et aussi qu’elle était rouge et honteuse.
Depuis, elle n’allait plus dans les rêves de Nikita, se contentant de lui envoyer quelques vagues positives, pour lui épargner un certain nombre de cauchemar.
Premier et deuxième
Ses homologues pokemon l’avaient prévenus que l’arrivée d’un nouveau dans l’équipe était parfois un moment délicat, qu’il fallait prendre en considération le fait que le maitre allait s’occuper d’un autre pokemon et que parfois la jalousie naissait, d’un coup, comme ça. Mens avait donc noté cela. Lorsqu’elle fait la connaissance de Koyla, petit dernier du groupe, cadeau de promotion de Nikita, elle se disait qu’effectivement c’était un moment délicat, étant donné que ce petit kapoera ne semblait pas connaitre la fonction « stop », qu’il faisait toutes les bêtises possibles et inimaginables, alors qu’en fait il ne manquait pas de volonté. Juste de discipline, de beaucoup de discipline. Mens su deux choses : jamais elle ne serait jalouse de lui et que ses pouvoirs allaient beaucoup servir dans l’aspect civil de sa vie, que ce soit le kapoera espiègle et joueur ou les nerfs à vifs de Nikita.