[PROLOGUE] Author unknown
[Chaptered] Author unknown
Part 1 sur 12, A.U, angst, dark,SHINee, Jongkey, 2min, kid! Onew, 996 mots, PG-15 to NC-17
disclaimer: drogues, alcools, situations sexuellement explicites
PROLOGUE
Il n’y eu qu’un seul et unique coup de feu, à moitié étouffé par le silencieux qu’il avait pris le soin de visser un peu plus tôt sur le canon luisant et métallique de son Beretta
Le corps, blessé mortellement, s’affaissa lentement sur le sol, le regard devenu vitreux laissant toutefois encore apercevoir ce mélange d’étonnement et de peur qui avait assailli les prunelles marron désormais sans vie.
La chemise blanche et bien coupée de la victime se teinta progressivement de rouge sombre, à l’image d’une rose épanouissant ses pétales sanglants, avant que le liquide visqueux ne se répande lentement sur le parquet impeccablement ciré, s’insinuant dans les nombreuses aspérités du bois, pareil à de multiples petits vaisseaux sanguins.
Il s’approcha posément du corps qui était tombé face contre terre et le retourna lentement, prenant garde à ne pas tâcher ses vêtements. Puis, toujours sans lâcher son arme, il posa deux de ses doigts gantés de plastique sur la gorge encore chaude à la recherche d’un pouls qu’il savait déjà disparu.
Satisfait par l’absence d’une quelconque pulsation, il se releva d’un mouvement vif puis rangea lentement son arme dans la poche intérieure de son manteau noir avant de sortir un téléphone portable dernier cri et de taper nerveusement un numéro, ses yeux glissant sur le décor luxueux mais beaucoup trop chargé de la pièce.
Il échangea quelques mots à voix basse avec son correspondant avant de raccrocher sans le saluer, laissant maintenant son regard ineffable errer sur la magnifique vue que lui offrait la gigantesque baie vitrée en face de lui.
Impressionné, il s’en approcha et contempla un moment le soleil rouge sang qui déclinait lentement derrière les buildings de verre, ces derniers réfléchissant ses ultimes rayons, pareils à des multiples miroirs infernaux.
Il se détacha du paysage avec une pointe de regret en entendant trois légers coups frappés à la porte de l’appartement. Il s’apprêtait à aller ouvrir quand son attention fut retenue par un paquet de cigarettes à moitié entamé, posé négligemment sur la table basse à coté du cadavre. Il se pencha et l’attrapa d’un geste prompt avant de se diriger d’un pas nonchalant vers l’entrée : Après tout, les morts ne fumaient pas…
Il vérifia rapidement l’identité de son visiteur à travers l’œilleton puis déverrouilla les nombreux cadenas de sécurité qui s’étaient révélés bien inutiles pour laisser passer un petit homme bedonnant et grisonnant lourdement chargé d’une mallette noire et de deux bidons transparents dont le liquide clapotait furieusement contre les parois, comme s’il cherchait à s’en échapper.
« Le corps est dans le salon… » fit remarquer le tueur d’une voix froide à la limite de l’indifférence avant de précéder le nouveau venu pour le guider dans ladite pièce. Ignorant complètement le petit sourire timide que ce dernier lui avait adressé, il se garda bien de lui proposer son aide pour transporter tout son équipement encombrant. Il n’était pas payé pour ça…
Il s’arrêta au pied du mort et désigna une porte au bout du couloir à la blancheur éblouissante qui lui donnait un air de corridor d’hôpital.
« La salle de bains est là bas, maintenant si vous permettez je vais vous laisser faire votre travail… »
Il s’apprêtait à faire demi tour quand il sentit qu’on lui attrapait l’épaule gauche. D’un mouvement aussi rapide que celui d’un félin, il dégaina son arme, se retourna et la pointa directement sur le front de l’homme, qui ne l’avait toujours pas lâché, et qui le fixait maintenant de ses yeux écarquillés par la surprise et la peur.
« Tu as trois secondes pour retirer ta sale patte de mon épaule… » Expliqua t’il les dents serrées et l’air peu amène
L’homme le relâcha rapidement et recula vivement de plusieurs pas, cherchant à mettre une distance respectable entre sa tête et le Beretta avant de se mettre à fixer le sol, l’air embarrassé
« J’aurais besoin…de votre aide pour transporter le corps…dans la baignoire… » Commença t’il d’une voix incertaine, fuyant le regard agressif du tueur qui le pointait toujours de son arme « …la victime n’est pas un poids plume, je gagnerai du temps… »
Il ne retint qu’à grande peine un soupir de soulagement en avisant du coin de l’œil le revolver réintégrer la poche intérieure du manteau puis l’homme se pencher pour attraper sans douceur les jambes du macchabée.
Il se hâta alors de lui prendre les bras et tout les deux le transportèrent jusque dans la salle de bain avant de le jeter sans ménagement dans la grande bassine en email. Il retourna rapidement dans le salon pour prendre ses outils de travail et posa le tout sur le carrelage bleu et blanc de la salle d’eau.
Il jeta un bref coup d’œil à l’homme qui se tenait maintenant contre le lavabo et fumait lentement une cigarette en fixant le corps sans vie d’un air absent.
« S’il vous plait, votre cigarette… »
Il lui désigna du doigt les deux bidons qu’il venait d’entreposer dans un coin et sentit le regard à nouveau glacial de l’individu glisser sur lui pendant de longues secondes interminables avant qu’il n’ouvre enfin la bouche
« De toute façon je n’ai plus rien à faire ici… »
Puis sans un salut, ni un mot de plus, il sortit de la pièce non sans avoir refermer précautionneusement la porte derrière lui.
L’homme tendit l’oreille, mais aucun son ne vint troubler le silence, le tueur était parti le plus doucement du monde, et il était maintenant seul dans l’appartement. Son regard se posa alors sur le mort et il releva consciencieusement ses manches avant d’enfiler ses gants de protection avec un claquement sec.
« Pas si seul que ça tout compte fait… » Pensa t’il ironiquement avant de se pencher pour ouvrir le premier bidon, qui laissa échapper une effluve des plus désagréables et irritantes, révélatrice des produits acides et chimiques qu’il contenait. L’odeur se répandit rapidement dans toute la salle de bain et l’homme fronça son nez pourtant habitué avec dégoût.
« Allez mon vieux, à toi le grand nettoyage… »
- - - - - - - - - - - - - -
Déclaration de l'auteur: Et une nouvelle fic, une. Cette dernière étant terminée, je risque de poster un chapitre tous les un ou deux jours pour rester dans la continuité, bon en même temps c'est pas pour les 3 lecteurs qui tombent ici par hasard xD
Part 1 sur 12, A.U, angst, dark,SHINee, Jongkey, 2min, kid! Onew, 996 mots, PG-15 to NC-17
disclaimer: drogues, alcools, situations sexuellement explicites
PROLOGUE
Il n’y eu qu’un seul et unique coup de feu, à moitié étouffé par le silencieux qu’il avait pris le soin de visser un peu plus tôt sur le canon luisant et métallique de son Beretta
Le corps, blessé mortellement, s’affaissa lentement sur le sol, le regard devenu vitreux laissant toutefois encore apercevoir ce mélange d’étonnement et de peur qui avait assailli les prunelles marron désormais sans vie.
La chemise blanche et bien coupée de la victime se teinta progressivement de rouge sombre, à l’image d’une rose épanouissant ses pétales sanglants, avant que le liquide visqueux ne se répande lentement sur le parquet impeccablement ciré, s’insinuant dans les nombreuses aspérités du bois, pareil à de multiples petits vaisseaux sanguins.
Il s’approcha posément du corps qui était tombé face contre terre et le retourna lentement, prenant garde à ne pas tâcher ses vêtements. Puis, toujours sans lâcher son arme, il posa deux de ses doigts gantés de plastique sur la gorge encore chaude à la recherche d’un pouls qu’il savait déjà disparu.
Satisfait par l’absence d’une quelconque pulsation, il se releva d’un mouvement vif puis rangea lentement son arme dans la poche intérieure de son manteau noir avant de sortir un téléphone portable dernier cri et de taper nerveusement un numéro, ses yeux glissant sur le décor luxueux mais beaucoup trop chargé de la pièce.
Il échangea quelques mots à voix basse avec son correspondant avant de raccrocher sans le saluer, laissant maintenant son regard ineffable errer sur la magnifique vue que lui offrait la gigantesque baie vitrée en face de lui.
Impressionné, il s’en approcha et contempla un moment le soleil rouge sang qui déclinait lentement derrière les buildings de verre, ces derniers réfléchissant ses ultimes rayons, pareils à des multiples miroirs infernaux.
Il se détacha du paysage avec une pointe de regret en entendant trois légers coups frappés à la porte de l’appartement. Il s’apprêtait à aller ouvrir quand son attention fut retenue par un paquet de cigarettes à moitié entamé, posé négligemment sur la table basse à coté du cadavre. Il se pencha et l’attrapa d’un geste prompt avant de se diriger d’un pas nonchalant vers l’entrée : Après tout, les morts ne fumaient pas…
Il vérifia rapidement l’identité de son visiteur à travers l’œilleton puis déverrouilla les nombreux cadenas de sécurité qui s’étaient révélés bien inutiles pour laisser passer un petit homme bedonnant et grisonnant lourdement chargé d’une mallette noire et de deux bidons transparents dont le liquide clapotait furieusement contre les parois, comme s’il cherchait à s’en échapper.
« Le corps est dans le salon… » fit remarquer le tueur d’une voix froide à la limite de l’indifférence avant de précéder le nouveau venu pour le guider dans ladite pièce. Ignorant complètement le petit sourire timide que ce dernier lui avait adressé, il se garda bien de lui proposer son aide pour transporter tout son équipement encombrant. Il n’était pas payé pour ça…
Il s’arrêta au pied du mort et désigna une porte au bout du couloir à la blancheur éblouissante qui lui donnait un air de corridor d’hôpital.
« La salle de bains est là bas, maintenant si vous permettez je vais vous laisser faire votre travail… »
Il s’apprêtait à faire demi tour quand il sentit qu’on lui attrapait l’épaule gauche. D’un mouvement aussi rapide que celui d’un félin, il dégaina son arme, se retourna et la pointa directement sur le front de l’homme, qui ne l’avait toujours pas lâché, et qui le fixait maintenant de ses yeux écarquillés par la surprise et la peur.
« Tu as trois secondes pour retirer ta sale patte de mon épaule… » Expliqua t’il les dents serrées et l’air peu amène
L’homme le relâcha rapidement et recula vivement de plusieurs pas, cherchant à mettre une distance respectable entre sa tête et le Beretta avant de se mettre à fixer le sol, l’air embarrassé
« J’aurais besoin…de votre aide pour transporter le corps…dans la baignoire… » Commença t’il d’une voix incertaine, fuyant le regard agressif du tueur qui le pointait toujours de son arme « …la victime n’est pas un poids plume, je gagnerai du temps… »
Il ne retint qu’à grande peine un soupir de soulagement en avisant du coin de l’œil le revolver réintégrer la poche intérieure du manteau puis l’homme se pencher pour attraper sans douceur les jambes du macchabée.
Il se hâta alors de lui prendre les bras et tout les deux le transportèrent jusque dans la salle de bain avant de le jeter sans ménagement dans la grande bassine en email. Il retourna rapidement dans le salon pour prendre ses outils de travail et posa le tout sur le carrelage bleu et blanc de la salle d’eau.
Il jeta un bref coup d’œil à l’homme qui se tenait maintenant contre le lavabo et fumait lentement une cigarette en fixant le corps sans vie d’un air absent.
« S’il vous plait, votre cigarette… »
Il lui désigna du doigt les deux bidons qu’il venait d’entreposer dans un coin et sentit le regard à nouveau glacial de l’individu glisser sur lui pendant de longues secondes interminables avant qu’il n’ouvre enfin la bouche
« De toute façon je n’ai plus rien à faire ici… »
Puis sans un salut, ni un mot de plus, il sortit de la pièce non sans avoir refermer précautionneusement la porte derrière lui.
L’homme tendit l’oreille, mais aucun son ne vint troubler le silence, le tueur était parti le plus doucement du monde, et il était maintenant seul dans l’appartement. Son regard se posa alors sur le mort et il releva consciencieusement ses manches avant d’enfiler ses gants de protection avec un claquement sec.
« Pas si seul que ça tout compte fait… » Pensa t’il ironiquement avant de se pencher pour ouvrir le premier bidon, qui laissa échapper une effluve des plus désagréables et irritantes, révélatrice des produits acides et chimiques qu’il contenait. L’odeur se répandit rapidement dans toute la salle de bain et l’homme fronça son nez pourtant habitué avec dégoût.
« Allez mon vieux, à toi le grand nettoyage… »
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Déclaration de l'auteur: Et une nouvelle fic, une. Cette dernière étant terminée, je risque de poster un chapitre tous les un ou deux jours pour rester dans la continuité, bon en même temps c'est pas pour les 3 lecteurs qui tombent ici par hasard xD