Meme des WIP
Vu et piqué dans les profondeurs obscures de LiveJournal.
When you see this, share 3 random lines from 3 WIPs.
Ou en français : Après avoir lu ceci, partagez trois lignes au hasard de trois WIP (travaux/fics en cours).
Je vais tricher un peu, et partager des extraits de six WIP, trois en français et trois en anglais, vu que j'écris dans les deux langues ^^;
WIP FRANÇAIS :Astérix - L'anniversaire d'Assurancetourix.
- Voilà, acheva Abraracourcix. Des questions ?
Il n’y eu aucune réponse, tant les habitants du village étaient encore engourdis par le sommeil. Le silence n’était entrecoupé que par des bâillements occasionnels et, plus loin, le chant des grillons dans la nuit.
Finalement, une main se leva.
- J’ai une question : pourquoi est-ce que tu n’as pas décidé de nous parler de tout ça le lendemain au lieu de nous convoquer en pleine nuit ? demanda Cétautomatix.
Des murmures d’approbations se firent entendre dans l’assemblée.
- C’est tout l’intérêt d’une réunion secrète, Cétautomatix ! Il fallait bien que tout le monde se réunisse le soir pour profiter que notre barde dorme et ne soit pas au courant de notre plan ! lui reprocha Abraracourcix. Sinon, ce ne serait plus une surprise !
- Bah non, il y a pas tout le monde, répondit Cétautomatix. Je ne vois pas notre druide.
- Voyons, je n’allais pas réveiller notre vénérable druide au beau milieu de la nuit, ça ne se fait pas !
- Eh bah dis donc... y’en a qui se fichent un peu du monde ici…
Angel!verse de modocanis - Du désordre aux enfers, chp 5.
- Si vous n’arrêtez pas maintenant, je vais vous envoyer au sol ! les menaça Michael en brandissant son poing.
- Oh oui, frappez-nous ! Faites-nous mal ! s’enthousiasma un démon sur leur droite.
- Vous pouvez même nous marcher dessus, rajouta son voisin de gauche en faisant un clin d’oeil qui n’avait rien d’innocent.
- Oh oui ! Et nous tirer les cheveux aussi !
- Nous pincer les tétons !
- Nous griffer le dos !
- Vous êtes des malades ! répondit Michael, dont la surprise se mêlait à sa mauvaise humeur.
- Oh oui, on est très malade !
- Il faut nous soigner !
- Oh oui ! À coup de pieds et de poings !
Michael les observa tour à tour, ne sachant quoi répondre sans que les démons ne le prennent dans leur sens et ne répondent avec une réplique sous-entendue. Raphaël observa l’échange avec un demi sourire, ce n’était pas tous les jours que des démons clouaient le bec à Michael.
Trop écoeuré, Michael préféra s’en aller, Raphaël sur ses talons.
- Je croyais que tu aimais taper sur les démons, lui fit-il innocemment remarquer.
- Pas quand ils le demandent ! Ça enlève tout le plaisir...
Harry Potter + Charlie et la chocolaterie - Le procès de Willy Wonka.
- Bien le bonjour, Messieurs, Dames ! Je sais, je suis en retard mais vous n’imaginez pas le trafic dans Londres ! On aurait cru que les sorciers Londoniens n’ont jamais vu d’ascenseur en verre volant de leur vie !
Willy Wonka n’avait pas l’air désolé d’être en retard. À vrai dire, il n’était pas du genre à s’inquiéter pour les horaires. Il n’y avait pas grand-chose dans la vie qui le dérangeait, hormis les dentistes, le chewing-gum et les enfants pourris gâtés.
Le juge leva les yeux au ciel et estima que cela se passait de commentaire.
- Bien. Nous avons pris assez de retard comme ça, ainsi vais-je commencer la séance. J’appelle à la barre Monsieur William Wilbur Wilhelm Wilfred Winchester Wonka !
- Voilà un nom bien intéressant, répondit en souriant Albus Percival Wulfric Brian Dumbledore.
- Merci ! J’aime cultiver l’originalité, répondit Willy Wonka.
- Nous l’avions remarqué, marmonna un des sorciers dans l’assemblée en observant d’un œil critique la tenue du chocolatier.
Celui-ci était vêtu d’une veste en velours de couleur prune, un chapeau haut de forme noir, un pantalon vert bouteille et des gants gris, et ne voyait absolument pas ce qui clochait avec sa tenue.
WIP ANGLAIS :
Tanz der vampire - Der Vampire, chp2.
A loud and sudden sound was then heard. Alfred jumped, his heart beating like mad in his chest as he was looking at the door. Someone was vehemently knocking at the door and tried to open it at the same time.
“Sarah! Are you still in that damned bathroom? Sarah??!” Mr Chagal yelled, pouding at the door.
Alfred breathed loudly, to calm down the fretic beating of his heart.
“I-It’s Alfred, Sir!” Alfred cried, making his presence known.
There was silence for a couple of seconds, until he heard the innkeeper’s voice:
“Oh… I see,” he replied; then he mumbled, though still loud enough for Alfred to be able to hear him, in a contemplative and surprised tone: “Is this a youth’s thing to bathe so much? I’ll never understand it… !”
He was gone and so was the thing he supposedly saw. However, any feeling of relaxation Alfred felt since his bath had now disappeared.
Tanz der vampire - Behind Closed Doors.
“What… what about the ball?” Alfred asked.
“Inconsequential.” Krolock replied, crowding him against the edge of the desk. He was visibly turned on; pupils blown, keenly fixated gaze, nostrils flaring as he leaned in and inhaled deeply, taking in Alfred’s scent. “I want you.”
Krolock pinned him against the desk and dropped to his knees. He took Alfred’s hips with both hands, and Alfred's breath was caught in his throat.
Granted, it wasn’t the first time his partner would surprise him in this way and show his skills for oratory. When Krolock was in the mood, he loved to surprise his young lover, teasing him with kisses and caresses, often when Alfred couldn’t see him, and carry him to the nearest chair or the bedroom. While Alfred would never fail to be surprised by this sneaky old vampire, he couldn’t say he was complaining. This situation usually took place in the library quite enough that, to Alfred’s shame, Herbert von Krolock once stumbled upon them, much to his horror and Alfred’s own shame, unlike his partner who couldn’t be bothered to be caught in the act of intimacy with his young lover. On the contrary, he had appeared quite annoyed by the disturbance. The Viscount now avoided the library like the plague, unless he was sure both his father and his lover were engaged in innocent matters. One time was already enough for his sanity.
Makai Ouji - Atone.
Michael became curious. He started observing Uriel and William, how they interacted together. He saw how easily Uriel placed a hand on the boy's shoulder, how effortlessly William slipped his arm into the loop of Uriel's elbow as they walked together in the garden, how natural it was for them to just talk and enjoy each other's company, how the Elector - usually so reserved - would easily smile around his butler.
The longer he watched the pair, the more envious he became. And soon, it is not the kind hands on William's shoulder or arm that he is envious of. William Twining brought smiles, softness and happiness to Uriel's eyes that Michael could never compete with.
Uriel might smile at him and talk softly to him on occasion, but his smiles were weak and didn't quite reach his eyes. His smiles were few and didn't linger.
When you see this, share 3 random lines from 3 WIPs.
Ou en français : Après avoir lu ceci, partagez trois lignes au hasard de trois WIP (travaux/fics en cours).
Je vais tricher un peu, et partager des extraits de six WIP, trois en français et trois en anglais, vu que j'écris dans les deux langues ^^;
WIP FRANÇAIS :Astérix - L'anniversaire d'Assurancetourix.
- Voilà, acheva Abraracourcix. Des questions ?
Il n’y eu aucune réponse, tant les habitants du village étaient encore engourdis par le sommeil. Le silence n’était entrecoupé que par des bâillements occasionnels et, plus loin, le chant des grillons dans la nuit.
Finalement, une main se leva.
- J’ai une question : pourquoi est-ce que tu n’as pas décidé de nous parler de tout ça le lendemain au lieu de nous convoquer en pleine nuit ? demanda Cétautomatix.
Des murmures d’approbations se firent entendre dans l’assemblée.
- C’est tout l’intérêt d’une réunion secrète, Cétautomatix ! Il fallait bien que tout le monde se réunisse le soir pour profiter que notre barde dorme et ne soit pas au courant de notre plan ! lui reprocha Abraracourcix. Sinon, ce ne serait plus une surprise !
- Bah non, il y a pas tout le monde, répondit Cétautomatix. Je ne vois pas notre druide.
- Voyons, je n’allais pas réveiller notre vénérable druide au beau milieu de la nuit, ça ne se fait pas !
- Eh bah dis donc... y’en a qui se fichent un peu du monde ici…
Angel!verse de modocanis - Du désordre aux enfers, chp 5.
- Si vous n’arrêtez pas maintenant, je vais vous envoyer au sol ! les menaça Michael en brandissant son poing.
- Oh oui, frappez-nous ! Faites-nous mal ! s’enthousiasma un démon sur leur droite.
- Vous pouvez même nous marcher dessus, rajouta son voisin de gauche en faisant un clin d’oeil qui n’avait rien d’innocent.
- Oh oui ! Et nous tirer les cheveux aussi !
- Nous pincer les tétons !
- Nous griffer le dos !
- Vous êtes des malades ! répondit Michael, dont la surprise se mêlait à sa mauvaise humeur.
- Oh oui, on est très malade !
- Il faut nous soigner !
- Oh oui ! À coup de pieds et de poings !
Michael les observa tour à tour, ne sachant quoi répondre sans que les démons ne le prennent dans leur sens et ne répondent avec une réplique sous-entendue. Raphaël observa l’échange avec un demi sourire, ce n’était pas tous les jours que des démons clouaient le bec à Michael.
Trop écoeuré, Michael préféra s’en aller, Raphaël sur ses talons.
- Je croyais que tu aimais taper sur les démons, lui fit-il innocemment remarquer.
- Pas quand ils le demandent ! Ça enlève tout le plaisir...
Harry Potter + Charlie et la chocolaterie - Le procès de Willy Wonka.
- Bien le bonjour, Messieurs, Dames ! Je sais, je suis en retard mais vous n’imaginez pas le trafic dans Londres ! On aurait cru que les sorciers Londoniens n’ont jamais vu d’ascenseur en verre volant de leur vie !
Willy Wonka n’avait pas l’air désolé d’être en retard. À vrai dire, il n’était pas du genre à s’inquiéter pour les horaires. Il n’y avait pas grand-chose dans la vie qui le dérangeait, hormis les dentistes, le chewing-gum et les enfants pourris gâtés.
Le juge leva les yeux au ciel et estima que cela se passait de commentaire.
- Bien. Nous avons pris assez de retard comme ça, ainsi vais-je commencer la séance. J’appelle à la barre Monsieur William Wilbur Wilhelm Wilfred Winchester Wonka !
- Voilà un nom bien intéressant, répondit en souriant Albus Percival Wulfric Brian Dumbledore.
- Merci ! J’aime cultiver l’originalité, répondit Willy Wonka.
- Nous l’avions remarqué, marmonna un des sorciers dans l’assemblée en observant d’un œil critique la tenue du chocolatier.
Celui-ci était vêtu d’une veste en velours de couleur prune, un chapeau haut de forme noir, un pantalon vert bouteille et des gants gris, et ne voyait absolument pas ce qui clochait avec sa tenue.
WIP ANGLAIS :
Tanz der vampire - Der Vampire, chp2.
A loud and sudden sound was then heard. Alfred jumped, his heart beating like mad in his chest as he was looking at the door. Someone was vehemently knocking at the door and tried to open it at the same time.
“Sarah! Are you still in that damned bathroom? Sarah??!” Mr Chagal yelled, pouding at the door.
Alfred breathed loudly, to calm down the fretic beating of his heart.
“I-It’s Alfred, Sir!” Alfred cried, making his presence known.
There was silence for a couple of seconds, until he heard the innkeeper’s voice:
“Oh… I see,” he replied; then he mumbled, though still loud enough for Alfred to be able to hear him, in a contemplative and surprised tone: “Is this a youth’s thing to bathe so much? I’ll never understand it… !”
He was gone and so was the thing he supposedly saw. However, any feeling of relaxation Alfred felt since his bath had now disappeared.
Tanz der vampire - Behind Closed Doors.
“What… what about the ball?” Alfred asked.
“Inconsequential.” Krolock replied, crowding him against the edge of the desk. He was visibly turned on; pupils blown, keenly fixated gaze, nostrils flaring as he leaned in and inhaled deeply, taking in Alfred’s scent. “I want you.”
Krolock pinned him against the desk and dropped to his knees. He took Alfred’s hips with both hands, and Alfred's breath was caught in his throat.
Granted, it wasn’t the first time his partner would surprise him in this way and show his skills for oratory. When Krolock was in the mood, he loved to surprise his young lover, teasing him with kisses and caresses, often when Alfred couldn’t see him, and carry him to the nearest chair or the bedroom. While Alfred would never fail to be surprised by this sneaky old vampire, he couldn’t say he was complaining. This situation usually took place in the library quite enough that, to Alfred’s shame, Herbert von Krolock once stumbled upon them, much to his horror and Alfred’s own shame, unlike his partner who couldn’t be bothered to be caught in the act of intimacy with his young lover. On the contrary, he had appeared quite annoyed by the disturbance. The Viscount now avoided the library like the plague, unless he was sure both his father and his lover were engaged in innocent matters. One time was already enough for his sanity.
Makai Ouji - Atone.
Michael became curious. He started observing Uriel and William, how they interacted together. He saw how easily Uriel placed a hand on the boy's shoulder, how effortlessly William slipped his arm into the loop of Uriel's elbow as they walked together in the garden, how natural it was for them to just talk and enjoy each other's company, how the Elector - usually so reserved - would easily smile around his butler.
The longer he watched the pair, the more envious he became. And soon, it is not the kind hands on William's shoulder or arm that he is envious of. William Twining brought smiles, softness and happiness to Uriel's eyes that Michael could never compete with.
Uriel might smile at him and talk softly to him on occasion, but his smiles were weak and didn't quite reach his eyes. His smiles were few and didn't linger.