De furieuses envies de hurler
Je rêve,
J'hallucine
J'ai des visions
Vous bossez, peinarde, vous emmerdez personne dans une salle vide de la fac.
Y a une gonzesse qui débarque avec une bande de gugusses déguisés en pingouins (et encore c'est insultant pour les pingouins), qui vous demande si vous pouvez dégager de la salle. Ni bonjour, ni merde, ni présentation.
J'ai pas tout bien saisi de ce qu'elle a dit quand je rangeais mes affaires, j'étais trop occupée à faire du "ranges et tais toi" en mantra. Mais en clair, je n'avais rien à foutre dans une salle de classe vide, qu'il y avait une BU où je pouvais étudier, que je n'avais pas à accaparer une salle pour moi parce qu'elle pouvait être réserver pour d'autres choses (à noter que j'étais au fond, près de la fenêtre, à emmerder PERSONNE, j'avais même dis à des étudiantes qu'elles pouvaient rester).
Si c'était aussi "réglementée" il y aurait un emploi du temps sur chaque porte et elles seraient FERMEES si non utilisées.
J'ai depuis lors une furieuse envie de mettre mon poing dans la gueule de la dame.
Pourquoi ? Comme ça.
Sauf que j'ai un Surmoi très efficace, donc je ronge mon frein et me demande comment je vais savoir subtilement qui est cette pétasse blonde qui m'a gentiment demandé de dégager le plancher sans explications.
En tout cas, si je la recroise, ça va barder. Je ne suis plus patiente du tout avec les connasses, donc je ne sais pas comment ça va sortir, mais ça sortira.
Voilà, c'était mon coup de sang du jour. Vu que cette saloperie de société ne nous donne aucun endroit où décharger notre colère par des cris ou des coups, je passe par la voie (voix ?) des mots. Mais ce n'est que partie remise, la colère se déplace, prend des formes, et trouvera un moyen de s'en sortir.
Je plains la personne ou l'objet qui sera dans le secteur quand ça arrivera.
J'hallucine
J'ai des visions
Vous bossez, peinarde, vous emmerdez personne dans une salle vide de la fac.
Y a une gonzesse qui débarque avec une bande de gugusses déguisés en pingouins (et encore c'est insultant pour les pingouins), qui vous demande si vous pouvez dégager de la salle. Ni bonjour, ni merde, ni présentation.
J'ai pas tout bien saisi de ce qu'elle a dit quand je rangeais mes affaires, j'étais trop occupée à faire du "ranges et tais toi" en mantra. Mais en clair, je n'avais rien à foutre dans une salle de classe vide, qu'il y avait une BU où je pouvais étudier, que je n'avais pas à accaparer une salle pour moi parce qu'elle pouvait être réserver pour d'autres choses (à noter que j'étais au fond, près de la fenêtre, à emmerder PERSONNE, j'avais même dis à des étudiantes qu'elles pouvaient rester).
Si c'était aussi "réglementée" il y aurait un emploi du temps sur chaque porte et elles seraient FERMEES si non utilisées.
J'ai depuis lors une furieuse envie de mettre mon poing dans la gueule de la dame.
Pourquoi ? Comme ça.
Sauf que j'ai un Surmoi très efficace, donc je ronge mon frein et me demande comment je vais savoir subtilement qui est cette pétasse blonde qui m'a gentiment demandé de dégager le plancher sans explications.
En tout cas, si je la recroise, ça va barder. Je ne suis plus patiente du tout avec les connasses, donc je ne sais pas comment ça va sortir, mais ça sortira.
Voilà, c'était mon coup de sang du jour. Vu que cette saloperie de société ne nous donne aucun endroit où décharger notre colère par des cris ou des coups, je passe par la voie (voix ?) des mots. Mais ce n'est que partie remise, la colère se déplace, prend des formes, et trouvera un moyen de s'en sortir.
Je plains la personne ou l'objet qui sera dans le secteur quand ça arrivera.