Spleen, fanfiction , NCIS
Titre : Spleen
Fandom : NCIS
Support : fanfiction
Chapitre 6 : Tristesse
Personnages/ couples éventuels : Tim et l'équipe au complet.
Rating : PG-13
Mise en garde : C'est une enquête sur un crime, un autre thème est abordé : celui du deuil.
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas
Béta : Un grand merci à Misaya67.
Note : Chose promise, chose due voici le prochain chapitre.
Si McGee fut finalement autorisé à participer aux recherches, il était cependant consigné à son bureau. Il aurait aimé être plus actif, mais Ziva lui avait fait remarquer qu'il aidait autant d'ici que sur le terrain. Il avait pu entrer dans les comptes bancaires de sa sœur, cela lui avait donné un gout de bile dans la bouche. Il savait faire tous ces petits tours de passe-passe. Il aurait pu les consulter un millier de fois auparavant, il pouvait d'ailleurs vérifier combien Tony avait sur son compte en ce moment même. Cependant il avait toujours mis un point d'honneur à ne pas pénétrer dans la vie privé de ceux qu'il connaissait. Une sorte respect en somme. Il avait été atterré par ce qu'il y avait trouvé : Sarah était criblée de dettes. Elle ne lui avait jamais parlé de ses problèmes d'argent, pas plus qu'à ses parents à qui il avait téléphoné pour savoir s'ils étaient au courant de ses problèmes financiers. Il en était désolé, ils auraient pu l'aider, et peut être éviter le pire. Il ne comprenait pas pourquoi elle ne s'était pas confiée aux personnes qui tenaient le plus à elle : sa famille.
En revenant du laboratoire d'Abby, Gibbs avait le visage tiré. Il avait conseillé à son plus jeune agent d'arrêter de culpabiliser, elle avait sûrement eu de bonnes raisons de ne pas lui demander d'éponger ses dettes.
Tony avait été envoyé interroger les voisins de son coéquipier, la plupart n'avait rien vu. Mais la vieille dame du premier - qui passait vraisemblablement ses journées à observer les allées et venues de l'immeuble - avait remarqué une jeune femme rousse qui se garait presque tous les jours de l'autre côté de la rue : elle restait sur place une heure ou deux. L'agent avait demandé une description plus précise à la voisine. Si ce n'était pas Sarah qui surveillait l'immeuble, cette mystérieuse jeune femme lui ressemblait fortement. En sortant de chez elle il était allé voir où se garait la voiture de la mystérieuse jeune femme. Il marcha de long en large sur le trottoir, le fixant comme s'il allait lui révéler une information importante. Il remarqua qu'il y avait une poubelle non loin de là. Oubliant son costume hors de prix et son écœurement dû à l'odeur pestilentielle qui s'en dégageait lorsqu'il ouvrit le couvercle, il enfila un gant et fouilla le tas d'ordures. Un sac assez petit et contenant visiblement un objet fluide et léger attira son attention. Tony l'ouvrit et découvrit des cheveux, semblables à ceux de la sœur de McGee. Il emporta le tout pour le donner à analyser.
ooOoo
Suite aux révélations de Tim, Abby avait eu pour charge d'analyser l'écriture de Sarah et de la comparer à celle du carnet. Dans les cartons que lui avaient ramenés Tony et Ziva, elle avait trouvé plusieurs échantillons de papiers et d'encre. En bonne enquêtrice elle avait étudié le carnet. Sa découverte l'avait plus que satisfaite, pourtant au départ elle avait piétiné. Le cahier ne donnait aucune piste il avait été fabriqué durant les années quatre-vingt-dix, comme l'attestait son catalogue, et l'analyse du grain du papier donnait les mêmes résultats, même l'encre n'avait rien donnée. Elle allait appeler Gibbs quand il pénétra dans son labo avec un Caf Pow. Elle lui fit part de ses découvertes décourageantes. L'écriture semblait la même, cependant la façon de former les lettres de Sarah avait pu changer durant toutes ces années. Ils n'avaient rien pour faire innocenter McGee. Cela en devenait exaspérant ! Découragée elle jeta un œil à son ordinateur et à la base de l'AFIS. À part les empreintes de l'équipe et de la famille de McGee, aucune donnée suspecte ne transparaissait. Abby enrageait en maudissant cette maudite machine. En voyant le sourire qu'affichait Tony quand il débarqua avec un sac malodorant, la laborantine devina immédiatement qu'il détenait un élément important. Il ouvrit le plastique et elle y découvrit une perruque rousse.
- J'ai des raisons de croire qu'une femme, qui voulait que nous la confondions avec Sarah, faisait le pied de grue devant chez le bleu, affirma-t-il avec un sourire satisfait.
- Formidable ! s'exclama Abby, je lance les recherches et d'ici minuit, nous saurons qui est le fabriquant de cette perruque de mauvaise qualité.
Elle revêtit une paire de gants et saisit le scalp à deux doigts.
ooOoo
En début de soirée Gibbs et Ziva se rendirent aux abords de la ville pour rencontrer Scott le petit ami de Sarah. Comme Gibbs l'avait demandé, il n'avait pas été prévenu du décès de sa compagne. Lorsqu'ils sonnèrent à la porte du jeune homme, il vint leur ouvrir un air endormi sur le visage. Ils lui présentèrent leurs plaques en l'informant qu'ils venaient pour discuter de Sarah. De plus en plus étonné il les laissa entrer dans son studio. L'endroit était petit et aurait eu besoin de bon coup de balai, cependant Ziva pu assez vite conclure que leur hôte faisait de la photo. En effet du matériel trainait un peu partout dans la pièce. Elle pu détailler une sacoche dont dégueulaient, objectifs, flash et batteries. Dans un coin au sol reposait un trépied plié, un appareil certainement hors de prix était posé sur la table près d'une tasse à café à moitié vide.
Scott les regardait faire le tour de son minuscule appartement, sans un mot. Il avait poussé les journaux sur le canapé et s'était assis, attendant manifestement qu'ils lui posent la première question. Enfin Ziva commença :
- Vous aimez la photo visiblement ? entama-t-elle.
- C'est mon métier, leur apprit-il.
- Vous connaissez Sarah depuis longtemps ? continua Gibbs.
- Quelques mois. Nous nous sommes rencontré dans un pub.
Ziva sortit un appareil photo de son manteau.
- Il est à vous ? questionna le jeune femme.
Il examina longuement l'objet.
- Il ressemble à celui que j'ai prêté à Sarah il y a trois mois et comme elle tardait à me le rendre je lui en ai finalement fait cadeau.
- Vous vous droguez ? interrogea Jethro.
- Non ! le ton du jeune homme était offensé.
- Sarah se drogue, l'informa Ziva.
- Impossible elle ne toucherait pas à cette merde, contesta-t-il.
- Pourtant nous savons de source sûre qu'elle s'est droguée, insista l'Israélienne.
- …
Le jeune ne répondit pas, il savait visiblement qu'elle prenait des substances illicites. Il trouva un moyen de contourner la question.
- Vous allez me dire ce qu'il se passe à la fin ! finit par s'énerver Scott.
- Votre petite amie à été retrouvée morte ce matin, révéla Gibbs.
- Quoi ? sa voix s’était cassée.
Puis il reprit plus calme tandis que des larmes commençaient à affluer de ses paupières.
- Comment est-elle morte ? se renseigna-t-il.
- Elle s’est pendue, l’informa Ziva.
- Mais pourquoi ? Sarah, était la joie de vivre… puis il s’arrêta.
- Vous alliez dire autre chose… l’encouragea Gibbs.
- Elle avait une nouvelle amie qu’elle voyait beaucoup, c’est depuis qu’elle l’a rencontrée qu’elle a commencé à s’intéresser à la photographie, dévoila Scott.
- Vous la connaissez ? s’empressa de demander Ziva.
- Je l’ai vue qu’une ou deux fois en coup de vent chez Sarah, j’arrivais et elle partait comme si elle m’évitait.
- Vous pourriez la décrire ? demanda la jeune femme.
- Oui, elle est grande à peu près comme vous, il désigna Ziva, blonde, les yeux bleus, assez jolie.
- Son nom, exigea Gibbs.
- Laura. Je ne connais pas son nom de famille c’était une voisine de ses parents, je n’en sais pas plus. Quant à la drogue, je m’en doutais, mais je ne l’ai jamais confrontée sur ce sujet. J’avais trop peur de la perdre, tenta d’expliquer le petit ami de Sarah.
- Vous auriez dû, lui reprocha Gibbs, ça aurait pu la sauver.
Le jeune avait l’air retourné, il venait de s’asseoir, le visage blanc, c’est ce moment que choisirent les agents pour prendre congés. Dans les escaliers Ziva questionna Gibbs.
- Tu penses que c’est lui ?
- Je ne sais pas mais je n’exclue aucune possibilité, il marqua un silence puis ajouta, allons voir ce qu’a trouvé Abby avec la perruque, le temps nous est compté. Fornel ne va pas tarder à avoir vent de l’affaire.
Un instant à peine plus tard, Scott leur courait après il les rattrapa dans l’entrée.
- Je me suis souvenu que j’avais pris un cliché d’elle de ma fenêtre un jour où elle avait déposé Sarah.
On va jouer à un petit jeu, dans le prochain chapitre je révèle qui est la personne avec qui McGee entretient une relation. Le but du jeu donc et de me donner l'identité de cette personne. Vous avez droit à une seule réponse. Si vous m'en donnez plusieurs, je prendrais seulement la première. Mais ceux qui auront trouvé auront le début du prochain chapitre par MP
Fandom : NCIS
Support : fanfiction
Chapitre 6 : Tristesse
Personnages/ couples éventuels : Tim et l'équipe au complet.
Rating : PG-13
Mise en garde : C'est une enquête sur un crime, un autre thème est abordé : celui du deuil.
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas
Béta : Un grand merci à Misaya67.
Note : Chose promise, chose due voici le prochain chapitre.
Si McGee fut finalement autorisé à participer aux recherches, il était cependant consigné à son bureau. Il aurait aimé être plus actif, mais Ziva lui avait fait remarquer qu'il aidait autant d'ici que sur le terrain. Il avait pu entrer dans les comptes bancaires de sa sœur, cela lui avait donné un gout de bile dans la bouche. Il savait faire tous ces petits tours de passe-passe. Il aurait pu les consulter un millier de fois auparavant, il pouvait d'ailleurs vérifier combien Tony avait sur son compte en ce moment même. Cependant il avait toujours mis un point d'honneur à ne pas pénétrer dans la vie privé de ceux qu'il connaissait. Une sorte respect en somme. Il avait été atterré par ce qu'il y avait trouvé : Sarah était criblée de dettes. Elle ne lui avait jamais parlé de ses problèmes d'argent, pas plus qu'à ses parents à qui il avait téléphoné pour savoir s'ils étaient au courant de ses problèmes financiers. Il en était désolé, ils auraient pu l'aider, et peut être éviter le pire. Il ne comprenait pas pourquoi elle ne s'était pas confiée aux personnes qui tenaient le plus à elle : sa famille.
En revenant du laboratoire d'Abby, Gibbs avait le visage tiré. Il avait conseillé à son plus jeune agent d'arrêter de culpabiliser, elle avait sûrement eu de bonnes raisons de ne pas lui demander d'éponger ses dettes.
Tony avait été envoyé interroger les voisins de son coéquipier, la plupart n'avait rien vu. Mais la vieille dame du premier - qui passait vraisemblablement ses journées à observer les allées et venues de l'immeuble - avait remarqué une jeune femme rousse qui se garait presque tous les jours de l'autre côté de la rue : elle restait sur place une heure ou deux. L'agent avait demandé une description plus précise à la voisine. Si ce n'était pas Sarah qui surveillait l'immeuble, cette mystérieuse jeune femme lui ressemblait fortement. En sortant de chez elle il était allé voir où se garait la voiture de la mystérieuse jeune femme. Il marcha de long en large sur le trottoir, le fixant comme s'il allait lui révéler une information importante. Il remarqua qu'il y avait une poubelle non loin de là. Oubliant son costume hors de prix et son écœurement dû à l'odeur pestilentielle qui s'en dégageait lorsqu'il ouvrit le couvercle, il enfila un gant et fouilla le tas d'ordures. Un sac assez petit et contenant visiblement un objet fluide et léger attira son attention. Tony l'ouvrit et découvrit des cheveux, semblables à ceux de la sœur de McGee. Il emporta le tout pour le donner à analyser.
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Suite aux révélations de Tim, Abby avait eu pour charge d'analyser l'écriture de Sarah et de la comparer à celle du carnet. Dans les cartons que lui avaient ramenés Tony et Ziva, elle avait trouvé plusieurs échantillons de papiers et d'encre. En bonne enquêtrice elle avait étudié le carnet. Sa découverte l'avait plus que satisfaite, pourtant au départ elle avait piétiné. Le cahier ne donnait aucune piste il avait été fabriqué durant les années quatre-vingt-dix, comme l'attestait son catalogue, et l'analyse du grain du papier donnait les mêmes résultats, même l'encre n'avait rien donnée. Elle allait appeler Gibbs quand il pénétra dans son labo avec un Caf Pow. Elle lui fit part de ses découvertes décourageantes. L'écriture semblait la même, cependant la façon de former les lettres de Sarah avait pu changer durant toutes ces années. Ils n'avaient rien pour faire innocenter McGee. Cela en devenait exaspérant ! Découragée elle jeta un œil à son ordinateur et à la base de l'AFIS. À part les empreintes de l'équipe et de la famille de McGee, aucune donnée suspecte ne transparaissait. Abby enrageait en maudissant cette maudite machine. En voyant le sourire qu'affichait Tony quand il débarqua avec un sac malodorant, la laborantine devina immédiatement qu'il détenait un élément important. Il ouvrit le plastique et elle y découvrit une perruque rousse.
- J'ai des raisons de croire qu'une femme, qui voulait que nous la confondions avec Sarah, faisait le pied de grue devant chez le bleu, affirma-t-il avec un sourire satisfait.
- Formidable ! s'exclama Abby, je lance les recherches et d'ici minuit, nous saurons qui est le fabriquant de cette perruque de mauvaise qualité.
Elle revêtit une paire de gants et saisit le scalp à deux doigts.
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En début de soirée Gibbs et Ziva se rendirent aux abords de la ville pour rencontrer Scott le petit ami de Sarah. Comme Gibbs l'avait demandé, il n'avait pas été prévenu du décès de sa compagne. Lorsqu'ils sonnèrent à la porte du jeune homme, il vint leur ouvrir un air endormi sur le visage. Ils lui présentèrent leurs plaques en l'informant qu'ils venaient pour discuter de Sarah. De plus en plus étonné il les laissa entrer dans son studio. L'endroit était petit et aurait eu besoin de bon coup de balai, cependant Ziva pu assez vite conclure que leur hôte faisait de la photo. En effet du matériel trainait un peu partout dans la pièce. Elle pu détailler une sacoche dont dégueulaient, objectifs, flash et batteries. Dans un coin au sol reposait un trépied plié, un appareil certainement hors de prix était posé sur la table près d'une tasse à café à moitié vide.
Scott les regardait faire le tour de son minuscule appartement, sans un mot. Il avait poussé les journaux sur le canapé et s'était assis, attendant manifestement qu'ils lui posent la première question. Enfin Ziva commença :
- Vous aimez la photo visiblement ? entama-t-elle.
- C'est mon métier, leur apprit-il.
- Vous connaissez Sarah depuis longtemps ? continua Gibbs.
- Quelques mois. Nous nous sommes rencontré dans un pub.
Ziva sortit un appareil photo de son manteau.
- Il est à vous ? questionna le jeune femme.
Il examina longuement l'objet.
- Il ressemble à celui que j'ai prêté à Sarah il y a trois mois et comme elle tardait à me le rendre je lui en ai finalement fait cadeau.
- Vous vous droguez ? interrogea Jethro.
- Non ! le ton du jeune homme était offensé.
- Sarah se drogue, l'informa Ziva.
- Impossible elle ne toucherait pas à cette merde, contesta-t-il.
- Pourtant nous savons de source sûre qu'elle s'est droguée, insista l'Israélienne.
- …
Le jeune ne répondit pas, il savait visiblement qu'elle prenait des substances illicites. Il trouva un moyen de contourner la question.
- Vous allez me dire ce qu'il se passe à la fin ! finit par s'énerver Scott.
- Votre petite amie à été retrouvée morte ce matin, révéla Gibbs.
- Quoi ? sa voix s’était cassée.
Puis il reprit plus calme tandis que des larmes commençaient à affluer de ses paupières.
- Comment est-elle morte ? se renseigna-t-il.
- Elle s’est pendue, l’informa Ziva.
- Mais pourquoi ? Sarah, était la joie de vivre… puis il s’arrêta.
- Vous alliez dire autre chose… l’encouragea Gibbs.
- Elle avait une nouvelle amie qu’elle voyait beaucoup, c’est depuis qu’elle l’a rencontrée qu’elle a commencé à s’intéresser à la photographie, dévoila Scott.
- Vous la connaissez ? s’empressa de demander Ziva.
- Je l’ai vue qu’une ou deux fois en coup de vent chez Sarah, j’arrivais et elle partait comme si elle m’évitait.
- Vous pourriez la décrire ? demanda la jeune femme.
- Oui, elle est grande à peu près comme vous, il désigna Ziva, blonde, les yeux bleus, assez jolie.
- Son nom, exigea Gibbs.
- Laura. Je ne connais pas son nom de famille c’était une voisine de ses parents, je n’en sais pas plus. Quant à la drogue, je m’en doutais, mais je ne l’ai jamais confrontée sur ce sujet. J’avais trop peur de la perdre, tenta d’expliquer le petit ami de Sarah.
- Vous auriez dû, lui reprocha Gibbs, ça aurait pu la sauver.
Le jeune avait l’air retourné, il venait de s’asseoir, le visage blanc, c’est ce moment que choisirent les agents pour prendre congés. Dans les escaliers Ziva questionna Gibbs.
- Tu penses que c’est lui ?
- Je ne sais pas mais je n’exclue aucune possibilité, il marqua un silence puis ajouta, allons voir ce qu’a trouvé Abby avec la perruque, le temps nous est compté. Fornel ne va pas tarder à avoir vent de l’affaire.
Un instant à peine plus tard, Scott leur courait après il les rattrapa dans l’entrée.
- Je me suis souvenu que j’avais pris un cliché d’elle de ma fenêtre un jour où elle avait déposé Sarah.
On va jouer à un petit jeu, dans le prochain chapitre je révèle qui est la personne avec qui McGee entretient une relation. Le but du jeu donc et de me donner l'identité de cette personne. Vous avez droit à une seule réponse. Si vous m'en donnez plusieurs, je prendrais seulement la première. Mais ceux qui auront trouvé auront le début du prochain chapitre par MP