Spleen, fanfiction , NCIS
Titre : Spleen
Fandom : NCIS
Support : fanfiction
Chapitre 4 : Cafard
Personnages/ couples éventuels : Tim et l'équipe au complet.
Rating : PG-13
Mise en garde : C'est une enquête sur un crime, un autre thème est abordé : celui du deuil.
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas
Béta : Un grand merci à Misaya67.
Note : je sais que je suis en retard et je vous prie de m'excuser mais je n'avais encore eu le temps de le relire correctement. On entre un peu plus dans le vif du sujet avec celui-ci j'espère qu'il vous plaira.
Alors qu'il jouait avec un crayon, Gibbs et DiNozzo entrèrent dans la salle de réunion. Tony un air de circonstance sur le visage, déposa un café devant lui. McGee le remercia d'un mince sourire.
Son patron s'assit en face de lui, l'Italien à sa droite. Il avait conscience que Gibbs ne le pensait pas une seconde coupable, mais il savait aussi que s'il ne lui donnait pas les éléments pour le désinculper. Il ne pourrait pas grand chose pour lui.
- Est-ce que tu as eu tes parents ? commença son boss.
- Oui, répondit tristement McGee en baissant la tête.
Il n'avait pas envie de raconter son coup de fil qui avait été éprouvant. Entendre sa mère pleurer au téléphone avait été un moment particulièrement difficile.
- Parle-moi de tes relations avec ta sœur, émit Gibbs.
- Nous sommes plutôt proches, moins ces dernières années, cependant nous nous envoyons des mails et nous téléphonons régulièrement.
- Quand l'as-tu vu la dernière fois ?
C'était encore Gibbs qui posait la question. Visiblement il serait son seul interlocuteur, Tony lui se tenait en retrait et n'osait le regarder…
- C'était il y a un mois environ, pour le nouvel an, chez mes parents, dit McGee.
- De quoi avez-vous parlé ? demanda Gibbs.
- De nos vies, de nos aventures, du travail.
- Tu lui as parlé de ton aventure avec une femme mariée ? s'étonna Gibbs.
- Pas dans ces termes. Je ai lui juste confié que je voyais quelqu'un, elle a voulu me tirer les vers du nez, je n'en ai pas dit plus, éluda le jeune auteur.
- J'ai du mal à t'imaginer dans une aventure extra-conjugale, pas toi DiNozzo ?
A son nom Tony, sursauta
- Pourquoi pas boss ? contra l'Italien.
- La tromperie n'est pas ton genre, tu me caches quelque chose, et je veux découvrir ce que c'est, indiqua le plus vieux des trois.
McGee regarda ses mains.
- Je ne vous cache rien boss, promit Tim.
Un bruit sourd fit sursauter les agents McGee et DiNozzo, Gibbs avait frappé la table du plat de la main.
- Sans alibi valable je ne pourrai pas grand-chose pour toi, tu restes ici jusqu'à nouvel ordre ! intima Jethro.
Puis leur patron pointa son doigt vers Tony.
- Et toi essaye de le faire parler !
Gibbs les laissa seuls, claquant la porte derrière lui.
- Il faut dire la vérité le bleu, formula Tony.
- C'est impossible, tu le sais, souligna Tim.
- Tu pourrais dire, que nous avons bu un verre de trop et que tu es resté dormir chez moi, persévéra l'Italien.
- Gibbs n'est pas idiot, j'ai déjà dit que j'étais avec une femme mariée, il va t'accuser de mentir toi aussi, en plus Ducky m'a fait une prise de sang tout à l'heure, Abby remarquera forcément que mon taux d'alcoolémie était parfaitement inexistant, se défendit le plus jeune.
Lorsque Tony rejoignit Ziva et Gibbs quelques minutes plus tard, il leur annonça qu'il n'avait rien pu obtenir de leur coéquipier.
L'équipe amputée de son informaticien fit le bilan dans l'open space. Ils passèrent en revue les photos et les éléments qu'ils connaissaient déjà. Gibbs envoya les deux agents fouiller la chambre de Sarah chez ses parents, afin d'en connaitre un peu plus sur elle.
ooOoo
Tony conduisait, il avait refusé de laisser les clés à Ziva. L'Italien était plutôt nerveux à l'idée de rencontrer des parents de McGee, et cela se ressentait dans sa façon de conduire. Il se gara dans l'allée. La maison était coquette c'était donc ici l'endroit où le bleu avait grandi, il s'imaginait le petit Timothy faisant du vélo sur la pelouse. Il eu un pincement au cœur en pensant à Sarah qui avait dû partager ses jeux. Madame McGee les attendaient sous le porche. Malgré le chagrin qui marquait ses traits, elle les accueillit gentiment.
- Vous devez être Ziva et Tony, Timmy parle si souvent de vous.
Ziva et Tony lui présentèrent leurs condoléances. Tony trouvait qu'elle ressemblait tant à McGee, elle avait les yeux de la même teinte que son collègue, et une aura de bonté se dégageait de sa personne. Elle leur demanda d'excuser son mari qui s'était cloitré dans sa chambre et refusait d'en sortir.
- Nous ne serons pas longs, nous voulons juste récupérer quelques affaires, éclaircit doucement Ziva.
Leur hôtesse les guida jusqu'à la chambre de sa défunte fille. Sur le chemin elle leur expliqua que Sarah vivait encore chez eux, depuis qu'elle était sortie de l'université. Elle n'avait pas trouvé d'emploi ce qui n'était guère étonnant vu la conjoncture actuelle. Elle laissa ensuite les deux agents seuls dans la chambre. Tony sortit son appareil photo et commença à prendre des clichés de la pièce. Ziva contrôlait les papiers qui étaient abandonnés sur le bureau de la jeune femme, n'y trouvant rien d'intéressant elle alluma l'ordinateur. Cependant elle fut très vite arrêtée dans son élan par les protections que la sœur de McGee avait érigées.
- Nous allons devoir apporter cet engin à Abby, elle se débrouillera bien mieux que moi, conclut-elle après avoir essayé plusieurs techniques pour tenter d'obtenir le mot de passe.
La jeune femme continua à faire le tour de la chambre.
- J'ai pas l'impression que nous allons trouver beaucoup d'indice ici, affirma Tony qui consultait à présent l'appareil photo de la jeune femme.
- Attends j'ai une idée… s'interrompit Ziva glissant une main sous le matelas.
Elle dégagea le journal intime de Sarah qu'elle feuilleta rapidement.
- Cela fait un moment qu'elle n'a pas écrit, constata-t-elle, depuis ses 17 ans il semblerait, nous devrions le donner à Ducky pour déterminer si elle avait des tendances suicidaires, décida la jeune femme.
- Nous pourrions aussi apprendre des anecdotes croustillantes sur le bleu, insinua Tony en tendant la main.
Ziva éloigna rapidement le carnet.
- Ne touche pas ce truc Tony. Ce qu'il y a écrit à l'intérieur ne te regarde pas, admonesta-t-elle.
- Mais toi oui, remarqua DiNozzo tandis qu'elle continuait de feuilleter.
- Je ne m'en servirai pas contre McGee, moi ! s'exclama Ziva accusatrice.
- Moi non plus, se défendit-il.
- Bien sûr Tony, ironisa la jeune femme.
ooOoo
Ducky referma le carnet, si ce qu'il avait cru comprendre à travers les émois de la jeune Sarah McGee s'avérait… Il rejeta un œil sur les pages noircies de l'écriture ronde. Oui il n'avait pratiquement aucun doute. Cette jeune femme avait eu un problème à l'adolescence qui, s'il ne s'était pas résolu de lui-même, avait très bien la conduire au suicide. Il espérait de tout cœur se tromper, seulement il y avait trop de coïncidences. Même les codes qu'elle avait utilisés ne parvenaient pas à l'éloigner de sa conclusion. Il appela son assistant pour qu'il prévienne Gibbs, il devait lui faire part de ses conclusions.
ooOoo
Lorsque Gibbs était descendu en salle d'autopsie, il avait deviné au visage de son vieil ami qu'il n'avait rien de bon à lui annoncer. Celui-ci avait d'ailleurs commencé par tourner autour du pot en se lançant dans un de ses longs monologues. Agacé il lui avait finalement ordonné d'en venir aux faits. Le médecin lui avait alors donné les résultats de son analyse : l'adolescente avait nourri une obsession pour un garçon dont le surnom était Rob, elle avait écrit des pages et des pages sur lui, racontant leur discussions, décortiquant le moindre de ses gestes.
- Ce qui n'est guère étonnant pour une jeune fille de cet âge, expliqua le médecin, cependant j'ai l'impression que ce garçon ne s'éloignait pas souvent il est toujours là durant les cours, mais aussi le soir et durant les vacances.
- Comme s'ils vivaient sous le même toit, risqua Gibbs
- J'ai bien peur que oui, admit Ducky refusant de prononcer le mot inceste.
Gibbs avait sentit une sorte de frisson parcourir son échine, le même que lorsqu'il découvrait un détail sordide sur un suspect. Mais cette fois cela le toucha beaucoup plus. McGee était un jeune homme attachant, un ami, presque un fils.
Il avait ensuite demandé à Ducky si d'une manière ou d'une autre cette relation s'était concrétisée. Ce dernier lui avait assuré qu'à son grand soulagement non, il doutait même que leur jeune ami ait un jour suspecté quoi que ce soit. Cependant il ne pouvait pas en être certain, il ajouta que ces écrits retraçaient seulement l'adolescence de la victime et non sa vie de jeune adulte.
Il précisa qu'il attendait les résultats des analyses, et que pour l'instant il penchait plutôt pour un suicide.
Allez je vous dis à la semaine prochaine. Avec un passage riche en tension, je ne vous en dis pas plus.
Fandom : NCIS
Support : fanfiction
Chapitre 4 : Cafard
Personnages/ couples éventuels : Tim et l'équipe au complet.
Rating : PG-13
Mise en garde : C'est une enquête sur un crime, un autre thème est abordé : celui du deuil.
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas
Béta : Un grand merci à Misaya67.
Note : je sais que je suis en retard et je vous prie de m'excuser mais je n'avais encore eu le temps de le relire correctement. On entre un peu plus dans le vif du sujet avec celui-ci j'espère qu'il vous plaira.
Alors qu'il jouait avec un crayon, Gibbs et DiNozzo entrèrent dans la salle de réunion. Tony un air de circonstance sur le visage, déposa un café devant lui. McGee le remercia d'un mince sourire.
Son patron s'assit en face de lui, l'Italien à sa droite. Il avait conscience que Gibbs ne le pensait pas une seconde coupable, mais il savait aussi que s'il ne lui donnait pas les éléments pour le désinculper. Il ne pourrait pas grand chose pour lui.
- Est-ce que tu as eu tes parents ? commença son boss.
- Oui, répondit tristement McGee en baissant la tête.
Il n'avait pas envie de raconter son coup de fil qui avait été éprouvant. Entendre sa mère pleurer au téléphone avait été un moment particulièrement difficile.
- Parle-moi de tes relations avec ta sœur, émit Gibbs.
- Nous sommes plutôt proches, moins ces dernières années, cependant nous nous envoyons des mails et nous téléphonons régulièrement.
- Quand l'as-tu vu la dernière fois ?
C'était encore Gibbs qui posait la question. Visiblement il serait son seul interlocuteur, Tony lui se tenait en retrait et n'osait le regarder…
- C'était il y a un mois environ, pour le nouvel an, chez mes parents, dit McGee.
- De quoi avez-vous parlé ? demanda Gibbs.
- De nos vies, de nos aventures, du travail.
- Tu lui as parlé de ton aventure avec une femme mariée ? s'étonna Gibbs.
- Pas dans ces termes. Je ai lui juste confié que je voyais quelqu'un, elle a voulu me tirer les vers du nez, je n'en ai pas dit plus, éluda le jeune auteur.
- J'ai du mal à t'imaginer dans une aventure extra-conjugale, pas toi DiNozzo ?
A son nom Tony, sursauta
- Pourquoi pas boss ? contra l'Italien.
- La tromperie n'est pas ton genre, tu me caches quelque chose, et je veux découvrir ce que c'est, indiqua le plus vieux des trois.
McGee regarda ses mains.
- Je ne vous cache rien boss, promit Tim.
Un bruit sourd fit sursauter les agents McGee et DiNozzo, Gibbs avait frappé la table du plat de la main.
- Sans alibi valable je ne pourrai pas grand-chose pour toi, tu restes ici jusqu'à nouvel ordre ! intima Jethro.
Puis leur patron pointa son doigt vers Tony.
- Et toi essaye de le faire parler !
Gibbs les laissa seuls, claquant la porte derrière lui.
- Il faut dire la vérité le bleu, formula Tony.
- C'est impossible, tu le sais, souligna Tim.
- Tu pourrais dire, que nous avons bu un verre de trop et que tu es resté dormir chez moi, persévéra l'Italien.
- Gibbs n'est pas idiot, j'ai déjà dit que j'étais avec une femme mariée, il va t'accuser de mentir toi aussi, en plus Ducky m'a fait une prise de sang tout à l'heure, Abby remarquera forcément que mon taux d'alcoolémie était parfaitement inexistant, se défendit le plus jeune.
Lorsque Tony rejoignit Ziva et Gibbs quelques minutes plus tard, il leur annonça qu'il n'avait rien pu obtenir de leur coéquipier.
L'équipe amputée de son informaticien fit le bilan dans l'open space. Ils passèrent en revue les photos et les éléments qu'ils connaissaient déjà. Gibbs envoya les deux agents fouiller la chambre de Sarah chez ses parents, afin d'en connaitre un peu plus sur elle.
ooOoo
Tony conduisait, il avait refusé de laisser les clés à Ziva. L'Italien était plutôt nerveux à l'idée de rencontrer des parents de McGee, et cela se ressentait dans sa façon de conduire. Il se gara dans l'allée. La maison était coquette c'était donc ici l'endroit où le bleu avait grandi, il s'imaginait le petit Timothy faisant du vélo sur la pelouse. Il eu un pincement au cœur en pensant à Sarah qui avait dû partager ses jeux. Madame McGee les attendaient sous le porche. Malgré le chagrin qui marquait ses traits, elle les accueillit gentiment.
- Vous devez être Ziva et Tony, Timmy parle si souvent de vous.
Ziva et Tony lui présentèrent leurs condoléances. Tony trouvait qu'elle ressemblait tant à McGee, elle avait les yeux de la même teinte que son collègue, et une aura de bonté se dégageait de sa personne. Elle leur demanda d'excuser son mari qui s'était cloitré dans sa chambre et refusait d'en sortir.
- Nous ne serons pas longs, nous voulons juste récupérer quelques affaires, éclaircit doucement Ziva.
Leur hôtesse les guida jusqu'à la chambre de sa défunte fille. Sur le chemin elle leur expliqua que Sarah vivait encore chez eux, depuis qu'elle était sortie de l'université. Elle n'avait pas trouvé d'emploi ce qui n'était guère étonnant vu la conjoncture actuelle. Elle laissa ensuite les deux agents seuls dans la chambre. Tony sortit son appareil photo et commença à prendre des clichés de la pièce. Ziva contrôlait les papiers qui étaient abandonnés sur le bureau de la jeune femme, n'y trouvant rien d'intéressant elle alluma l'ordinateur. Cependant elle fut très vite arrêtée dans son élan par les protections que la sœur de McGee avait érigées.
- Nous allons devoir apporter cet engin à Abby, elle se débrouillera bien mieux que moi, conclut-elle après avoir essayé plusieurs techniques pour tenter d'obtenir le mot de passe.
La jeune femme continua à faire le tour de la chambre.
- J'ai pas l'impression que nous allons trouver beaucoup d'indice ici, affirma Tony qui consultait à présent l'appareil photo de la jeune femme.
- Attends j'ai une idée… s'interrompit Ziva glissant une main sous le matelas.
Elle dégagea le journal intime de Sarah qu'elle feuilleta rapidement.
- Cela fait un moment qu'elle n'a pas écrit, constata-t-elle, depuis ses 17 ans il semblerait, nous devrions le donner à Ducky pour déterminer si elle avait des tendances suicidaires, décida la jeune femme.
- Nous pourrions aussi apprendre des anecdotes croustillantes sur le bleu, insinua Tony en tendant la main.
Ziva éloigna rapidement le carnet.
- Ne touche pas ce truc Tony. Ce qu'il y a écrit à l'intérieur ne te regarde pas, admonesta-t-elle.
- Mais toi oui, remarqua DiNozzo tandis qu'elle continuait de feuilleter.
- Je ne m'en servirai pas contre McGee, moi ! s'exclama Ziva accusatrice.
- Moi non plus, se défendit-il.
- Bien sûr Tony, ironisa la jeune femme.
ooOoo
Ducky referma le carnet, si ce qu'il avait cru comprendre à travers les émois de la jeune Sarah McGee s'avérait… Il rejeta un œil sur les pages noircies de l'écriture ronde. Oui il n'avait pratiquement aucun doute. Cette jeune femme avait eu un problème à l'adolescence qui, s'il ne s'était pas résolu de lui-même, avait très bien la conduire au suicide. Il espérait de tout cœur se tromper, seulement il y avait trop de coïncidences. Même les codes qu'elle avait utilisés ne parvenaient pas à l'éloigner de sa conclusion. Il appela son assistant pour qu'il prévienne Gibbs, il devait lui faire part de ses conclusions.
ooOoo
Lorsque Gibbs était descendu en salle d'autopsie, il avait deviné au visage de son vieil ami qu'il n'avait rien de bon à lui annoncer. Celui-ci avait d'ailleurs commencé par tourner autour du pot en se lançant dans un de ses longs monologues. Agacé il lui avait finalement ordonné d'en venir aux faits. Le médecin lui avait alors donné les résultats de son analyse : l'adolescente avait nourri une obsession pour un garçon dont le surnom était Rob, elle avait écrit des pages et des pages sur lui, racontant leur discussions, décortiquant le moindre de ses gestes.
- Ce qui n'est guère étonnant pour une jeune fille de cet âge, expliqua le médecin, cependant j'ai l'impression que ce garçon ne s'éloignait pas souvent il est toujours là durant les cours, mais aussi le soir et durant les vacances.
- Comme s'ils vivaient sous le même toit, risqua Gibbs
- J'ai bien peur que oui, admit Ducky refusant de prononcer le mot inceste.
Gibbs avait sentit une sorte de frisson parcourir son échine, le même que lorsqu'il découvrait un détail sordide sur un suspect. Mais cette fois cela le toucha beaucoup plus. McGee était un jeune homme attachant, un ami, presque un fils.
Il avait ensuite demandé à Ducky si d'une manière ou d'une autre cette relation s'était concrétisée. Ce dernier lui avait assuré qu'à son grand soulagement non, il doutait même que leur jeune ami ait un jour suspecté quoi que ce soit. Cependant il ne pouvait pas en être certain, il ajouta que ces écrits retraçaient seulement l'adolescence de la victime et non sa vie de jeune adulte.
Il précisa qu'il attendait les résultats des analyses, et que pour l'instant il penchait plutôt pour un suicide.
Allez je vous dis à la semaine prochaine. Avec un passage riche en tension, je ne vous en dis pas plus.