Le ba-, ou le bang: c'est la mi-chemin!
*arrive au milieu de votre flist en faisant la roue* (Il n'y a que virtuellement que je puisse tenter ce genre de cascades^^)
Ta-la-ta-ta-ta-ta-ta-ta-ta! C'est pour une annonce!
Ca fait deux mois maintenant que douze vaillantes auteurs et traductrices se sont lancées dans une aventure connue sous le nom improbable de 'bang!'. Et bien je voulais vous dire, deux mois plus tard: on est toujours là. Et on a progressé. Plus ou moins vite, certes, et pas toujours dans la direction qu'on avait prévu, mais on avance.
Alors je voulais dire bravo pour ce que vous avez déjà toutes accompli. Non, sérieux, prenez cinq minutes pour regarder votre propre liste - tout ça n'existait pas il y a deux mois, ou alors, ça ne ressemblait pas à grand chose. Et maintenant, c'est là, noir sur blanc, posté, même, parfois.
Je voulais dire courage à toutes celles qui buttent face à un objectif qui leur résiste. Ca nous est toutes arrivées, ça nous arrivera encore. Mais il faut continuer, attaquer par petits morceaux, accepter d'écrire la fin avant le début ou de (gloups) se séparer d'un paragraphe sympa, mais qui fait déraper dans une direction qui n'est pas la bonne. Il faut insister, il faut ouvrir vingt fois le fichier. Les histoires ne se laissent pas toujours facilement raconter, mais c'est qui le chef, l'auteur ou les persos?
Je voulais dire merci de vous être lancées dans l'aventure avec moi. Parce que je n'aurais pas fait la moitié de ce que j'ai fait sans vous. Le minimum syndical les jours de flemme, je le fais quand même, parce que je sais qu'à la fin de la quinzaine je vais donner mes chiffres, et qu'ils compteront dans le total. Inutile de préciser que sans ça, ma flemme, je la cultiverais allègrement.
Et enfin, je voulais dire encore! Parce qu'on n'en est qu'à la moitié de l'aventure, parce que ce n'est pas le moment de se désunir, et parce que je ne sais pas vous, mais moi, bien que je me plaigne abondamment à qui veut bien m'écouter, écrire, traduire, j'aime ça. Et justement, ça tombe bien, c'est ce qu'on fait toutes ensemble.
Bises et bon courage, bang-euses.
(Et si certains d'entre vous veulent nous rejoindre maintenant que les vacances s'annoncent, c'est toujours possible à condition de 1. S'en tenir à la date finale du 1er septembre et 2. Venir avec de l'enthousiasme, et prêt à soutenir ses camarades dans leurs efforts.)
Ta-la-ta-ta-ta-ta-ta-ta-ta! C'est pour une annonce!
Ca fait deux mois maintenant que douze vaillantes auteurs et traductrices se sont lancées dans une aventure connue sous le nom improbable de 'bang!'. Et bien je voulais vous dire, deux mois plus tard: on est toujours là. Et on a progressé. Plus ou moins vite, certes, et pas toujours dans la direction qu'on avait prévu, mais on avance.
Alors je voulais dire bravo pour ce que vous avez déjà toutes accompli. Non, sérieux, prenez cinq minutes pour regarder votre propre liste - tout ça n'existait pas il y a deux mois, ou alors, ça ne ressemblait pas à grand chose. Et maintenant, c'est là, noir sur blanc, posté, même, parfois.
Je voulais dire courage à toutes celles qui buttent face à un objectif qui leur résiste. Ca nous est toutes arrivées, ça nous arrivera encore. Mais il faut continuer, attaquer par petits morceaux, accepter d'écrire la fin avant le début ou de (gloups) se séparer d'un paragraphe sympa, mais qui fait déraper dans une direction qui n'est pas la bonne. Il faut insister, il faut ouvrir vingt fois le fichier. Les histoires ne se laissent pas toujours facilement raconter, mais c'est qui le chef, l'auteur ou les persos?
Je voulais dire merci de vous être lancées dans l'aventure avec moi. Parce que je n'aurais pas fait la moitié de ce que j'ai fait sans vous. Le minimum syndical les jours de flemme, je le fais quand même, parce que je sais qu'à la fin de la quinzaine je vais donner mes chiffres, et qu'ils compteront dans le total. Inutile de préciser que sans ça, ma flemme, je la cultiverais allègrement.
Et enfin, je voulais dire encore! Parce qu'on n'en est qu'à la moitié de l'aventure, parce que ce n'est pas le moment de se désunir, et parce que je ne sais pas vous, mais moi, bien que je me plaigne abondamment à qui veut bien m'écouter, écrire, traduire, j'aime ça. Et justement, ça tombe bien, c'est ce qu'on fait toutes ensemble.
Bises et bon courage, bang-euses.
(Et si certains d'entre vous veulent nous rejoindre maintenant que les vacances s'annoncent, c'est toujours possible à condition de 1. S'en tenir à la date finale du 1er septembre et 2. Venir avec de l'enthousiasme, et prêt à soutenir ses camarades dans leurs efforts.)