Etre réveillée la nuit me fait écrire des choses que je n'aurait pas écrite en temps normal XD Genre... Dans la série pouillage de séries, je demande :
Hajime no ippo !!!!
Et oui !
Je ne sais pas si beaucoup de gens sur ma F!List connaissent cette série mais depuis que Yuyo et Kaya m’ont faites retomber dedans, même si je fangirlise totalement Miyata, je craque surtout sur le couple Aoki/Kimura… Mais vraiment. Ils me cherchaient depuis le début ces deux là ! Et bien, les épisodes 63 et 64 m’ont faite craquer, j’ai fini par écrire un joli PWP Lemon sur eux dans leur jeunesse... Que voilà !
Auteur :
babel121 Fandom : Hajime no Ippo
Couple : Aoki/Kimura
Rating : NC-17
Disclaimer : Faut que je retrouve le nom de celui à qui ils appartiennent.. Mais en tout cas, ce n’est pas à moi.
Note : Je dédie cette fic à Kaya et Yuyoko sans qui je ne l’aurais jamais écrite =o=
Et encore une fois désolée, pas de béta =__=
Dans un coin de la chambre, un petit poisson barbotait en silence dans son aquarium trop grand pour lui alors qu’un jeune homme du nom d’Aoki était allongé par terre, une revue érotique étalée devant lui. Installé sur le côté, une main lui soutenant la tête alors que l’autre était confortablement glissée dans son caleçon et n’en ressortait que quelques fois pour tourner la page, l’ex-lycéen « jouait avec sa queue » d’une manière assez peu élégante mais d’une masculinité à toute épreuve.
De retour dans sa chambre avec un plateau surmonté de verres de jus de fruit et d’une coupelle de petits gâteaux secs, Kimura assista à ce pathétique spectacle et le stoppa, après avoir posé le plateau à un endroit sûr, d’un coup net en plein côté du visage de son ami.
« Je croyais que tu avais arrêté ça. » Lui fit-il en allant s’asseoir sur le bord de son lit avant de lui lancer un regard noir, les bras croisés sur sa poitrine.
« C’était juste une dernière fois, pour marquer le coup ! Après tout, on a gagné nos premiers matchs, faut fêter ça, non ?! »
« Tu pouvais fêter ça autrement qu’en empruntant mes revues ! Comment t’as fait pour les trouver d’ailleurs ? J’en ai pas tant que ça, moi. »
« L’instinct mon cher, l’instinct ! »
Aoki s’était redressé et assis en tailleur devant lui, les mains posées sur les genoux, un grand sourire sur son visage en partie tuméfié par les coups qu’il s’était pris.
« Tu veux faire quoi alors ? Puisque tu veux pas de ça, je paris qu’on va pas se mater un film de cul. »
« Mais tu penses qu’à ça ou quoi ?! »
« Pas complètement, mais en grande partie, oui ! Eh, c’est de notre âge, tu sais, on est des mecs quoi ! »
« Je suis un mec mais je pense pas qu’à ça. »
« C’est parce que t’as pas d’hormones toi. »
« Eh ! J’ai tout autant d’hormones que toi ! »
« Alors tu devrais penser qu’à ça ! T’es pas normal ! »
« C’est toi qu’es pas normal ! Tous les mecs passent pas leur temps à jouer avec ! »
« C’est juste que j’avais pas honte de la toucher en public, moi ! Elle ne demandait que ça, j’allais pas la faire languir pour m’acharner dessus une fois chez moi comme les autres mecs ! »
« Arg ! T’es vraiment crade ! »
« Je paries que c’est ce que tu faisais toi ! Hein, avoue, tu te servais de ces revues pour te l’astiquer, hein ? Avoue ! »
« Pas tous les jours comme toi tu faisais ! Et comme tu fais toujours j’suis sûr ! »
« Tu parles ! Tu devais le faire tous les jours ! Et même encore plus après qu’on ait tabassé des gars, j’suis sûr et certain de ça ! Tu fêtais nos victoires en t’astiquant le jonc ! »
« Et alors, ça change quoi si je le faisais ! »
« Bah tu devrais fêter nos victoires d’aujourd’hui de la même façon et pas m’empêcher de le faire ! »
Aoki se jeta en avant vers lui, lui ouvrit rapidement le pantalon et, sous ses yeux stupéfaits, s’empara de son sexe pour y effectuer un mouvement rapide.
« Eeeeh ! Qu’est-ce que tu crois… Aaaaah ! »
Les mains de Kimura qui s’étaient posées sur les épaules de son ami pour le repousser se crispèrent sur celles-ci quand Aoki commença son geste.
« Eheh, tu vois que t’aimes ça ! Elle a durci aussitôt ! »
« Espèce d’enfoiré ! » Arriva-t-il à articuler une fois la surprise passée.
Il essaya de le repousser à nouveau mais il devait avouer que la main d’Aoki sur lui ne le laissait pas indifférent du tout et que c’était tout sauf désagréable. Il ferma même les yeux sans vraiment s’en rendre compte, ses mains toujours aussi crispées montrant seules qu’il n’était pas d’accord à l’origine.
A genoux devant lui, Aoki, qui se demandait pourquoi il ne s’était pas encore fait rembarrer, le vit fermer les paupières et laissa échapper un petit rire amusé.
« Tu dis vraiment pas non, hein. »
« La ferme, crétin ! »
Les sourcils de Kimura s’étaient froncés mais il n’avait toujours pas ouvert les yeux. Sa mâchoire était serrée pour ne pas laisser échapper de sons mais un gémissement finit par trouver la voie de la sortie malgré cela.
Aoki lui lança un regard émerveillé quand il émit ce long murmure de plaisir et il se sentit subitement beaucoup trop serré dans son pantalon pourtant encore ouvert, bien plus serré que quand il lisait cette revue pourtant classée 3 étoiles par n’importe quel lycéen censé.
Il plongea à nouveau sa main libre dans son caleçon et entreprit un mouvement en accord avec celui de son autre main. C’était différent de d’habitude, c’était bien plus vivant, bien plus excitant. La rougeur sur les joues de Kimura ainsi que son souffle court étaient beaucoup plus agréables à admirer que de simples photos statiques dans un magazine. Et les sons qu’il produisait semblaient bien plus réalistes que les doublages des films pornos qu’il collectionnait en cachette de ses parents. Bien vite, il se mit lui-même à produire ce genre de gémissements et ses gestes se firent plus erratiques alors que le plaisir s’emparait de lui. Cela fit rouvrir les yeux à Kimura qui lui lança un regard embrumé de désir. Celui-ci posa une de ses propres mains sur celle d’Aoki et accéléra son mouvement à sa convenance alors que son autre main allait se poser sur la nuque de son ami. Il rapprocha le visage de celui-ci et se pencha suffisamment pour pouvoir l’embrasser sans pour autant gêner leurs mouvements.
Ce fut le geste qui suffit pour les porter tous les deux au-delà de la jouissance et les faire éjaculer presque simultanément, Aoki ayant juste un léger temps de retard.
Ils se relâchèrent tous deux et se regardèrent dans les yeux, la respiration encore haletante. Kimura rompit le premier le contact visuel pour se tourner vers sa table de nuit et chopper un paquet de mouchoir pour s’essuyer la main. Il le tendit ensuite vers son ami sans dire un mot.
« C’est… Va pas croire que je suis homo, hein. » Fit Aoki en choppant le paquet avant de se laisser tomber sur les fesses, la position à genoux lui sciant les jambes après ceci.
« Eh ! Je le suis pas non plus ! » Répliqua Kimura avec un air réellement offensé sur le visage.
« Cool, parce qu’après un baiser comme ça, j’avais des doutes hein. »
« J’te signale que c’est toi qui a plongé ta main dans mon pantalon à l’origine ! »
« C’était juste pour te montrer comment faire, j’me suis dit que tu devais pas savoir vu combien tu le faisais peu ! »
« Je sais très bien jouer avec ma queue tout seul ! J’avais pas besoin de toi pour ça. »
« T’inquiètes, j’l’ai compris à la fin hein ! T’aurais pu virer ma main au lieu de la compresser comme ça. »
« C’est toi qui l’a pas enlevée après que j’ai mis la mienne ! Tu crois que j’étais en état de te faire un discours pour que tu comprennes que tu doives l’enlever ? »
« En tout cas, ça fait pas de nous des homos, ni ça ni le baiser, hein ? »
« Parfaitement ! J’suis sûr qu’y’a des tas de mecs qui font ça entre potes, pour… Pour fêter des trucs ! »
« C’est… c’est sûr ! Comme nous pour fêter nos victoires ! C’était juste pour ça ! »
« Ouais, juste pour fêter ! Ca fait pas du tout de nous des homos. »
« Absolument pas. »
« Alors… »
« Alors… »
Ils avaient dit ce dernier mot ensemble, en se regardant à nouveau dans les yeux.
Il semblerait qu’ils se comprirent car, sans qu’une parole de plus ne soit prononcée, Kimura se laissa tomber à genoux à terre et, les mains à nouveaux sur les épaules d’Aoki, le poussa en arrière jusqu’à être à quatre pattes au dessus de lui, ses lèvres une nouvelle fois collées sur les siennes dans un baiser passionné.
C’était juste deux ex-lycéens qui fêtaient une victoire ensemble, c’était tout. Une nuit passée ensemble ne voulait rien dire. Ni deux, ni trois, ni quatre… Juste des victoires fêtées.
Ou des défaites où il fallait se réconforter…
Ou encore, des entraînements où ils avaient besoin d’encouragements…
Ou aussi des peines de cœurs à soigner…
Ou des soirées trop arrosées.
C’était juste des coups d’un soir. Ou d’une journée. Pour décompresser.
Mais ce n’était vraiment rien de plus. Vraiment.
Ils n’étaient pas homosexuels du tout. Juste des bons copains. Des très bons copains.