En ce topissime Jour d'Awesomeness commémorant la descente sur notre humble terre, voici aujourd'hui (omg) 72 ans, d'un certain BAMF du nom de Norris, Chuck, votre misérable servante a été convaincue de suggère de ~*célébrer*~ l'évènement avec - qui en eût douté ? - un petit mème d'écriture interactif
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Daenarys secouait sa longue chevelure d'argent - la couleur de leur famille, ce qui leur restait d'étendard. Les larmes brouillaient ses yeux, montraient ce qu'elle était réellement derrière les soieries dont on l'avait paré : une enfant terrifiée. Une enfant que son propre frère allait vendre à un barbare des lointaines contrées, comme un homme vendant sa meilleure pouliche.
Elle sursauta quand les mains de son frère essuyèrent ses larmes, doucement avec une délicatesse insoupçonnée. Elle en avait presque oublié la douleur qui vrillait encore sa poitrine, quand Viserys prit son visage entre ses mains. Et serra, ses doigts s'enfonçant dans la chair des joues tandis que, front collé à celui de sa sœur, il plongeait son regard fou dans les prunelles de Daenarys.
- Si tu mets en péril ce mariage, je te tue. Tu m'entends ? Je plongerais mes mains dans ton sang.
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pas nécessairement assorti à l'icône.
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Inezia lui sourit, resplendissante dans sa combinaison jaune, et un courant bleuté parcourt ses vêtements, l'enveloppe d'une aura spectaculaire - moins stupéfiante, cependant, que l'entendre annoncer que Bianca a elle aussi été choisie.
Derrière elle, Muna pousse un petit cri d'encouragement. Inezia approche encore un peu plus le bâton d'elle, et Bianca trouve enfin le courage de tendre la main.
Puis ses doigts se referment sur son sceptre, qui se met à chatoyer ; la force des rêves la parcourt comme un éclair, et une fois ses vêtements sages remplacés par sa combinaison de magi dresseuse, Bianca oublie tous ses doutes. Devant elle se déploient toutes les routes des rêves que l'ont peut réaliser si l'on se donne la peine de les saisir, et le sourire d'Inezia brille comme une étoile pour la guider.
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*s'attendait tellement pas à ces persos, aoizjoiejdfoie Ishime a utilisé la combo Bianca + incertitude/rêves/courage, c'est super efficace, Aza est KO !*
Merci ! ♥♥
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merci sakoni pour ce lien !
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- Quoi que vous fassiez, les enfants se plaignent sans cesse. On leur offre tout. Du temps, de l'amour, on les protège des dangers et comment ils vous remercient ? En fuguant !
- Ma chère Gothel, comme je vous comprends. J'ai exactement le même comportement de la part de Quasi'. Pas méchant, il apprend vite, et il passe son temps à sculpter, peindre...
- Ma Rapunzel fait la même chose. Une véritable petite artiste.
- Mais laissez-leur une seule ouverture, et les voilà qui vont rejoindre une fête, se mêler aux bohémiens. (Frollo baissa la voix, se pencha vers Gothel) Et vous savez comme moi que les bohémiens sont voleurs, tricheurs, et... commettent d'horribles choses qu'une dame comme vous ne doit point entendre.
- Et après ce sont nous les tyrans. Figurez-vous que ma Rapunzel s'est acoquiné d'un voleur. Rien que cela !
- Les attacher, voilà ce qu'il faudrait. Cruelle décision.
- Mais c'est pour leur bien.
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J'adore comme tu retranscris à la fois leurs caractères et leur rôle de parents...
(Et maintenant, je veux une rencontre entre les petits ^^")
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YES YES THIS IS PERFECT AAAAH THANK YOU *_______*
Now i have to write some to don't i, i just HAVE to~
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« C'est qu'un ramassis de conneries, ce truc! »
Fukuda gueule tellement fort qu'Aoki voit des rides se former à la surface de son thé - c'est une bonne chose qu'elle ait eu le réflexe d'éloigner le combiné de son oreille dès qu'elle l'a entendu prendre une inspiration.
« Et vas-y que je te regarde en coin et que je te fasse des remarques détournées... Bordel, et après cette cruche s'étonne qu'il aille voire ailleurs! Sans parler des quiproquos!
- C'est un shôjo manga, le coupe Aoki, vexée, À quoi est-ce que tu t'attendais?
- Bah à ce que l'héroïne ait quand même un peu plus de couilles.
- Fukuda!
- Désolé! Mais reconnais qu'elle traîne, cette histoire! Déjà quatre tomes qu'ils se tournent autour sans rien faire, c'est chiant! »
Fukuda s'interrompt aussitôt mais c'est trop tard : Aoki glousse à l'autre bout du fil. Il retient un juron.
« Oui bon d'accord, J'AI TOUT LU, MAIS ÇA VEUT PAS DIRE QUE J'AIME.
- Ce n'est donc pas la peine que je te prête la suite?
- ÉVIDEMMENT QUE NON! »
Il ne lui dit pas qu'il l'a déjà
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*aime quand Aoki asticote un peu tout mignonnement et que Fukuda tsun-e et critique très sérieusement ♥*
Merci !
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C'est magnifique.
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