La rentrée littéraire est là *_*
J'étais juste allé acheter le journal, comme à l'accoutumée. Hier et avant-hier, j'avais fait un tour rapide des librairies en quête de rentrée littéraire, j'avais constaté que la grande déferlante n'avait pas encore commencé.
Et là, cette après-midi, au détour d'un rayon, j'aperçois le nouveau Besson. Les hostilités sont donc ouvertes ^____^
Grand tour des librairies nantaises, parce que toutes les librairies n'ont pas encore mis les nouveautés des éditeurs ayant eu un office cette semaine. A l'une, on trouve P.O.L. et Julliard, à l'autre Fayard et Actes Sud, encore dans une autre Flammarion. Chaque année, à la fin de l'été, je retrouve le même enthousiasme enfantin à courir de librairie en librairie.
A priori, qu'est-ce que la rentrée littéraire sinon une sorte de manifestation commerciale pendant laquelle les éditeurs submergent les librairies de centaines de bouquins ? Pourquoi s'exciter devant la sortie de nouveaux livres alors qu'il en reste des milliers, des millions que je n'ai jamais lus, dont je n'ai jamais entendus parler ?
Je sais bien tout cela. Seulement, je préfère lire les contemporains. Et la rentrée littéraire, je la vois comme une sorte de grande fête, avec ses découvertes, ses polémiques, ses grandes discussions, ses débats, etc.
Certains sont élevés avec des rêves de belles voitures, de grandes maisons luxueuses avec piscine. Moi, j'ai grandi entouré de journaux et de livres. Chez moi, il y avait toujours des piles de bouquins, ma mère a toujours suivi de près l'actualité littéraire et cela a fini par me déteindre dessus. Mon père aussi, d'ailleurs, a ce respect, cet intérêt pour les livres - même si, avec les ans, cela s'est apaisé.
J'aime découvrir des univers différents. J'aime l'analyse du monde que les livres permettent. J'aime les sentiments divers qui peuvent m'habiter à la lecture de tel ou tel paragraphe. J'aime me plonger, en quelque sorte, dans ce qu'une personne peut avoir de plus personnel, ses écrits. Dans ce que l'âme façonne. J'aime les livres.
Passé ce brin de lyrisme, je constate qu'il serait temps que je fasse des petites fiches des romans que je lis - autant, adolescent, ce n'était pas nécessaire, je ne lisais pas assez pour ne plus me souvenir de qui avait écrit quoi. Mais là, maintenant, j'atteins le point "limite". Je me suis tout à l'heure retrouvé devant le deuxième roman d'Anne-Sophie Brasme, en me souvenant que j'ai lu son premier, mais en étant incapable de me rappeler de quoi il retournait (certes, c'était il y a quatre ans ... mais quand même [merci Internet de m'avoir ensuite "rendu la mémoire"]).
Sinon, notons dans le lot de ses premières sorties d'août de gros poids lourds : le nouveau D'Ormesson (que je ne tenterai pas, je n'accroche pas au style de l'Académicien), le nouveau Darrieusecq, le nouveau Besson, le nouveau Camille de Toledo ainsi que le nouveau Cécile Ladjali. Il faudra que je revienne sur le respect et la profonde admiration que j'ai pour cette dernière dans un prochain post.
A côté, il y aussi (heureusement !!!) des romans d'auteurs moins connus qui m'ont apparu assez sympathiques.
J'essaierai de vous tenir au courant de mes lectures :-)
Et là, cette après-midi, au détour d'un rayon, j'aperçois le nouveau Besson. Les hostilités sont donc ouvertes ^____^
Grand tour des librairies nantaises, parce que toutes les librairies n'ont pas encore mis les nouveautés des éditeurs ayant eu un office cette semaine. A l'une, on trouve P.O.L. et Julliard, à l'autre Fayard et Actes Sud, encore dans une autre Flammarion. Chaque année, à la fin de l'été, je retrouve le même enthousiasme enfantin à courir de librairie en librairie.
A priori, qu'est-ce que la rentrée littéraire sinon une sorte de manifestation commerciale pendant laquelle les éditeurs submergent les librairies de centaines de bouquins ? Pourquoi s'exciter devant la sortie de nouveaux livres alors qu'il en reste des milliers, des millions que je n'ai jamais lus, dont je n'ai jamais entendus parler ?
Je sais bien tout cela. Seulement, je préfère lire les contemporains. Et la rentrée littéraire, je la vois comme une sorte de grande fête, avec ses découvertes, ses polémiques, ses grandes discussions, ses débats, etc.
Certains sont élevés avec des rêves de belles voitures, de grandes maisons luxueuses avec piscine. Moi, j'ai grandi entouré de journaux et de livres. Chez moi, il y avait toujours des piles de bouquins, ma mère a toujours suivi de près l'actualité littéraire et cela a fini par me déteindre dessus. Mon père aussi, d'ailleurs, a ce respect, cet intérêt pour les livres - même si, avec les ans, cela s'est apaisé.
J'aime découvrir des univers différents. J'aime l'analyse du monde que les livres permettent. J'aime les sentiments divers qui peuvent m'habiter à la lecture de tel ou tel paragraphe. J'aime me plonger, en quelque sorte, dans ce qu'une personne peut avoir de plus personnel, ses écrits. Dans ce que l'âme façonne. J'aime les livres.
Passé ce brin de lyrisme, je constate qu'il serait temps que je fasse des petites fiches des romans que je lis - autant, adolescent, ce n'était pas nécessaire, je ne lisais pas assez pour ne plus me souvenir de qui avait écrit quoi. Mais là, maintenant, j'atteins le point "limite". Je me suis tout à l'heure retrouvé devant le deuxième roman d'Anne-Sophie Brasme, en me souvenant que j'ai lu son premier, mais en étant incapable de me rappeler de quoi il retournait (certes, c'était il y a quatre ans ... mais quand même [merci Internet de m'avoir ensuite "rendu la mémoire"]).
Sinon, notons dans le lot de ses premières sorties d'août de gros poids lourds : le nouveau D'Ormesson (que je ne tenterai pas, je n'accroche pas au style de l'Académicien), le nouveau Darrieusecq, le nouveau Besson, le nouveau Camille de Toledo ainsi que le nouveau Cécile Ladjali. Il faudra que je revienne sur le respect et la profonde admiration que j'ai pour cette dernière dans un prochain post.
A côté, il y aussi (heureusement !!!) des romans d'auteurs moins connus qui m'ont apparu assez sympathiques.
J'essaierai de vous tenir au courant de mes lectures :-)