Heroes - Episode 10
Maintenant que j'ai vraiment accroché à Heroes, je continue mon visionnage. Je viens de regarder l'épisode 10.
Un épisode bienvenu après le climax de l'épisode 9. Depuis deux/trois épisodes, on commence à en savoir plus sur les motivations de chaque personnage, certains mystères se lèvent... à tel point que je m'interroge sur les rebondissements à venir. Au fil des épisodes, j'ai appris à vraiment aimer Claire, peut-être l'un des personnages les plus marquants de la série avec Hiro. Toute la galerie que dépeint la série est bien travaillée, avec des personnages suffisamment charismatiques pour qu'on s'intéresse à eux, mais je dois dire que cette profusion en dessert certains. Les frères Petrelli sont parfois fatigants par leurs oppositions incessantes. Peter est toutefois remonté dans mon estime dans l'épisode 9 où, pour une fois, ai-je trouvé, il a la classe. Le fameux paradoxe temporel des épisodes 8 et 9 ne gêne pas plus que cela mon visionnage au sens où je prends Heroes comme une série de divertissement et que je ne me creuse pas forcément la tête sur tous les éléments de sa cohérence. Il faut dire qu'échaudé par certains excès (24 n'est pas d'une rigueur scénaristique sans faille, loin s'en faut ; dans Ally McBeal, la fin de saison fut entièrement changée après les arrestations successives de Robert Downey Jr [de toutes manières, David E. Kelley est un habitué du genre - "comment faire disparaître un personnage comme si de rien n'était"] ; le récent succès qu'est Prison Break présente par moment des symptômes similaires), je ne cherche plus nécessairement une cohérence sans faille aux séries que je visionne. Tant que les imperfections ne sont pas trop grosses (en animation, Gundam Seed Destiny, la deuxième saison des Gundam Seed, était un parfait exemple de tout ce qu'il ne faut surtout pas faire en la matière), je ne vais pas bouder mon plaisir.
Et vu que j'aime bien le traitement du fantastique dans Heroes, je me demande maintenant si je ne devrais pas aussi donner sa chance à la série Les 4400...
Un épisode bienvenu après le climax de l'épisode 9. Depuis deux/trois épisodes, on commence à en savoir plus sur les motivations de chaque personnage, certains mystères se lèvent... à tel point que je m'interroge sur les rebondissements à venir. Au fil des épisodes, j'ai appris à vraiment aimer Claire, peut-être l'un des personnages les plus marquants de la série avec Hiro. Toute la galerie que dépeint la série est bien travaillée, avec des personnages suffisamment charismatiques pour qu'on s'intéresse à eux, mais je dois dire que cette profusion en dessert certains. Les frères Petrelli sont parfois fatigants par leurs oppositions incessantes. Peter est toutefois remonté dans mon estime dans l'épisode 9 où, pour une fois, ai-je trouvé, il a la classe. Le fameux paradoxe temporel des épisodes 8 et 9 ne gêne pas plus que cela mon visionnage au sens où je prends Heroes comme une série de divertissement et que je ne me creuse pas forcément la tête sur tous les éléments de sa cohérence. Il faut dire qu'échaudé par certains excès (24 n'est pas d'une rigueur scénaristique sans faille, loin s'en faut ; dans Ally McBeal, la fin de saison fut entièrement changée après les arrestations successives de Robert Downey Jr [de toutes manières, David E. Kelley est un habitué du genre - "comment faire disparaître un personnage comme si de rien n'était"] ; le récent succès qu'est Prison Break présente par moment des symptômes similaires), je ne cherche plus nécessairement une cohérence sans faille aux séries que je visionne. Tant que les imperfections ne sont pas trop grosses (en animation, Gundam Seed Destiny, la deuxième saison des Gundam Seed, était un parfait exemple de tout ce qu'il ne faut surtout pas faire en la matière), je ne vais pas bouder mon plaisir.
Et vu que j'aime bien le traitement du fantastique dans Heroes, je me demande maintenant si je ne devrais pas aussi donner sa chance à la série Les 4400...