(no subject)

Sep 16, 2005 21:43

Yahouliii ! Dans la joie et l'al-et-graisse me voila de retour *smoutch* le modem, *smoutch* mon ordinateur, *smoutch* ma télé  ...*aargue* l'éléctricité statique.

Hum reprenons un petit peu notre sérieux pour remercier profondement Trichou présentement rebatisé en Mitsuko, ma béta la plus rapide lol ^^ Car voici le chapitre suivant et completement décousu et tel que je deteste la fin que j'ai fait, aucun suspence beurk ! mais je ne sais pas comment la remanié.

 
Mon Nom est personne

Cinquième Chapitre

Le jeune comte Hargreave, assis dans une voiture cahotante sur les pavé de Londres, était dans une colère noire. Non, c'était pire que de la colère, c'était de la fureur, une haine farouche contre son impuissance et ce docteur qui soignait ses patients avec une technique toute particulière.

Les deux autres passagers, un majordome aux cheveux blancs et une jeune fille aux allures de poupée de porcelaine, gardaient précieusement le silence, alors que les poings du comte tremblaient de rage.

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La pluie battait le corps étendu, froid et sans vie de Sir William Sefira. Il était couché sur le ventre ses habits soigneusement déchirés dans son dos.

Après avoir repris ses esprits, Caïn se pencha sur le cadavre du jeune homme, et observa les trous qui parcouraient son dos. Tous identiques, ronds et profondément creusés dans les os, cela ressemblait à l'oeuvre d'une machine, ou d'un fou, or le fou il venait de le voir partir, incapable de le rattraper.

Il retourna ensuite le corps humide et gelé, pour découvrir le visage figé dans la souffrance de l'aîné des Séfira.

De ses doigt fins et blancs, il ferma les paupières qui commençaient à se rigidifier puis poussa un interminable soupire de lassitude et de colère.

Ses pensées allèrent à Anny, qui verrait le jour de fête qu'était son anniversaire en un jour de deuil, puis vers Beth qu'il aimait tant taquiner et voir chahuter avec sa petite soeur.

Soudain une chaleur nouvelle entoura ses épaules. Trop effarouché par ce qu'il venait de se passer, il sursauta et bondit hors de porté de l'hypothétique agresseur.

  • Ho Riff! Tu m'as fait peur!

  • Toutes mes excuses my lord. Que s'est-il donc passé ?Demanda le majordome en finissant de poser sa veste sur les épaules de son maître.

  • C'est affreux. Caïn agrippa la chemise maintenant humide de son subalterne. Il était là ! Jhézabel, ce malade ! Il a tué Sir William Sefira puis s'est enfuit... Et je n'ai rien peu faire! Rien.

Pour toute réponse, Riff referma ses bras sur Caïn qui n'attendait que cela, pour laisser explosé son désespoir et sa colère. Il frappa de ses poings la poitrine du domestique, cria, gémit et jura comme un homme du bas peuple.

La pression des bras de Riff se fit plus forte et les jérémiades puérile du comte fondirent en larmes chaudes et silencieuses.

  • Allons My lord, voyez dans quel état vous vous mettez. C'est exactement ce que le docteur Disraeli souhaite. Ce n'est pas encore l'heure de se laisser aller, pas tant qu'il court et fait le mal. Allons, remettez-vous mon coeur saigne de vous voir ainsi.

Il leva les yeux vers le visage blafard et trempé de Riff. Ses yeux était rouge mais Caïn ne peut déterminer s'il avait pleurer ou s'il souffrait du froid et de la pluie.

  • Tu as raison. Murmura Caïn en passant sa main sur la joue du Majordome. Il renifla. Remettons le corps de Sir William comme il était, puis allons annoncer la terrible nouvelle.

  • Bien my lord.


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La voiture s'arrêta dans un dernier clapotis, devant la vaste demeure des Hargreaves. La jeune fille sortit la première, sautant à bas du véhicule faisant virevolter les plis de sa robe noire. Caïn et Riff descendirent à sa suite et la guidèrent vers l'entrée du manoir.

La porte massive claqua et aussitôt le bruit des talons plats de Mary, courant vers l'entrée.

  • Beth !! Quelle surprise!S'écria-t-elle en descendant les marches glissantes quatre par quatre sous le regard paniqué de son protecteur de frère.

Marywather était parfaitement en droit de se poser la question. Sa présence au foyer Hargreaves était du fait de Riff. Celui-ci pour savoir ou était Caïn avait promis une semaine à jouer avec Marywather et à se nourrir de gâteau fait maison. Mais la jeune fille ne savait pas ce qu'il était advenu de son frère, et lorsqu'elle le sut malgré ses cris et ses pleures elle fut tout de même confier au comte, sous prétexte qu'elle serait mieux loin de tous les préparatifs et des inquiétudes de sa large famille.

La jeune comtesse sauta dans les bras de son amie qui ne réagit que par un sourire triste.

  • Qu'est ce que tu fais ici? Demanda-t-elle en cherchant le regard de Beth.

  • Mary... J'ai à te parler. Murmura Caïn en posant sa main encore tremblante.

  • Venez Miss Beth, je vais vous montrez votre chambre en attendant.


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Quelques minutes plus tard, Mary savait ce qu'il venait de se passer et promis de s'occuper de Beth, Caïn et Riff s'étaient isoler sur l'immense terrasse surplombant le jardin, pour discuter de toute cette histoire.


  • Nous n'avons rien. Strictement rien ! S'insurgea le prince des poissons, tournant en rond tel un lion sans proie sur qui bondir.

  • Nous savons que délihal est impliqué dans ce meurtre et dans la disparition du jeune lord Fleiming. Répondit le majordome, assis calmement sur une chaise en fer forgé, une tasse de thé brûlant à la main.

  • Mais quel est le rapport, entre l'enlèvement d'un handicapé incapable de lever le petit doigt, maltraité par son entrepreneur de père et le meurtre de l'aîné de la riche famille Séfira. Ca n'a pas de sens !

  • A priori aucun, mais il nous faut trouver quelque chose avant que l’on découvre un autre cadavre.

  • Tu penses qu'il y aurait d'autres assassinats du même genre? Demanda le comte stoppant sa rond pour venir s'asseoir au côté du domestique.

  • C'est ainsi que fonctionne l'organisation, des meurtres, encore de meurtres, jusqu'à révélation. Jusqu'à l'horreur la plus inimaginable, qu'ils ne peuvent plus cacher. Oui je pense qu'ils tueront à nouveau, et ce jusqu'à quand ça leur chante...

  • Ou jusqu'à ce qu'on les arrête ! Reprit Caïn au vol.

  • Mais nous n'avons rien, ne disiez-vous pas ?

  • Alors on va trouver quelque chose. Il n'y a rien à découvrir des Séfiras pour l'instant. Mais Fleiming...


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Le lendemain matin, les deux jeunes hommes marchaient calmement parmi des piles de livres et de parchemins poussiéreux mais de haute provenance.

Ils étaient dans l'une des plus grandes bibliothèque de Londres et sûrement la plus anarchique. Un vrai nid à poussinière, mais heureusement ni Riff ni Caïn n'étaient asthmatique.

Leurs mains farfouillaient les rayonnages à l'équilibre précaire, dans des volutes de grisailles et le doux craquement du vieux papier.

  • My lord ? Chuchota Riff.

  • Tu as trouvé quelque chose?

  • Non rien, mais n'aurions-nous pas plus de chance si nous demandions au maître des lieux?

  • Cherchons encore un peu. Je suis sûr que dans ce fouillis il ne trouverait pas plus que nous.

Alors, ils s'activèrent, soulevant les parchemins, balayant la crasse des manuscrit fragiles, ouvrant les livres aux pages collées et rigides. Les minutes passèrent et devinrent des heures, et leurs recherches n'avaient toujours pas aboutis à quelque chose de concluant.

  • My lord ?

  • Oui oui ! J'ai compris on va demander !!!Grommela Caïn.

Aussitôt une armée de chute furibond envahirent la bibliothèque pour mettre fin aux agissements de la voix trop haute du comte.

  • Vais mettre du cyanure sur les pages moi, ils feront moins les malins ![1] Ronchonna-t-il alors que Riff s'en allait questionner le bibliothécaire.

Celui-ci était petit caché derrière des tas de papiers et de vieux grimoires, il était presque chauve, ses yeux toujours rouges et mouillés lui donnaient le faisait ressembler à un cocker malade tout comme ses joues tombants et ses larges moustache rousses et mal taillés.

  • Mille excuses Sir ... Dit Riff à tout hasard à un tas de poussières qui servait d'étagères.

Une petite tête rondouillard apparut derrière le majordome, qui se retourna aussitôt réprimant l'envie de se baisser pour arriver au niveau du bonhomme.

  • Oui? Répliqua le crane poussiéreux du bergers.

Ce « oui » avait le profond et l'humidité d'un aboiement d'un vieux chien fatigué. Riff sourit mal à l'aise, hésita un instant cherchant ses mots puis il posa sa question.

  • Pourquoi devrais-je vous donner cela? Demanda mollement l'homme. C'est très personnel, et ne vous regarde pas.

  • Monsieur, s'il vous plait. Cela m'aiderait beaucoup. Je n'ai aucun argument pour vous convaincre sinon que cela m'est très personnel aussi.

Les yeux de cockers le fixèrent longuement en silence. Le bibliothécaire dodelina de la tête puis s'en alla. Riff le suivit perplexe, les mains derrière le dos dans une parfaite attitude de majordome fin et élégant, s'attirant les regards des vielles lectrices depuis trop longtemps solitaires.

Il se déplaçait facilement dans les rayonnages, sachant exactement où aller, n'hésitant pas une seconde sur le chemin à emprunter. Il s'arrêta soudain attrapa un livre et le tendit à Riff sans autre forme d'explications, puis il fit demi tour et s'en retourna à ses occupations.

Après quelques minutes d'errance embrouillée dans ce laby, le majordome retrouva le comte toujours cherchant mais moins avidement.

  • Monsieur, J'ai trouvé. S'exclama Riff autant que ses chuchotements le lui permettaient.

  • Excellent ! Allons prendre une table et voir ce que cette ouvrage à dans le ventre.


Les tables se trouvaient à l'autre bout du bâtiment, presque toutes désertés ou servant d'appui à quelques fous de lecture et autre club du troisième âge spécialité lecture ou tricotage.

Elles étaient en bois massif et poli par l'usure et le temps. Ils tirèrent des chaises dans un crissement attirant tous les regards méprisants des autres occupants du lieux au silence sacré.

Caïn poussa trop bruyamment l'ouvrage à la couverture de cuir rouge, sans titre lisse et bien entretenue.

  • C'est dans ce livre que sont tous les doubles des actes de naissance et autres documents importants de la famille Fleiming sont conservés, au cas où. Expliqua Riff.

Le comte feuilleta rapidement le grimoire à la recherche des plus récents feuillés.

  • Voila ! Lord Fleiming c'est marié en 1863, avec Margarette Taylord la fille d'un riche maître de mine.

Il tourna la page, ne cachant plus sa curiosité et son empressement.

  • La pauvre décède quelques années plus tard en 1868, d'une maladie inconnue.

  • Nous somme en 1888, ce qui veut dire que l'enfant qui a été kidnappé n'est pas légitime.

Caïn acquiesça puis tourna la tête pour lire attentivement l'autre page. Il fronça les sourcils. Le document suivant était extrêmement et étonnamment abîmé. Il était taché exagérément et déchiré de toute par. Le jeune noble approcha sa figure pâle et convoité du papier torturé et illisible.

  • Je ne comprends rien, on dirait une adoption mais je ne vois rien d'autre.

Le brun tendit le livre à Riff qui scruta lui aussi la page avec attention. Il ne voyait rien. Il souleva la page et l'approcha de la lampe espérant voir quelque chose par transparence. Et il vit quelque chose, quelques chiffres et un mot qui le troublèrent au plus haut point. Il posa le livre, secoua la tête, le reprit, relut les pattes de mouches qui n'avaient pas changé.

  • Riff ? Est-ce que tu vas bien ? Tu as vu quelque chose ?Demanda Cain inquiet par l'attitude étrange de son vis à vis.

  • Je ... euh ... oui. Il y a quelque chose! Ici.

Riff tapota le bas de la page. Mais qu'est-ce que cela voulait-il bien dire. Caïn fit le même geste que son domestique.

  • Oui en effet, je distingue quelque chose ... Darlington, le 12 février 1881...[2]

C'était pourtant bien ça. La date exacte du drame qui l'avait fait cauchemarder durant des années et qui le poursuit encore aujourd'hui.

Ce jour si noir où il avait vu sa famille lui être retirer.

Ce jour où tout avait brûlé.

A suivre ...

Remarque :

1 - Légerement inspirer de l'histoire du nom de la rose, legerement !

2 - La date est le lieux sont completement fictifs, déoslé je n'est pas retrouver c'est renseignement dans le mangas j'ai fait le plus plossible !

voila et tiens je vien d'avoir une fabuleuse idée ... Je vais m'coucher ... *baiiiiiileeeuuhhh*

comte cain, fanfics

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