Yahouliii ! Dans la joie et l'al-et-graisse me voila de retour
*smoutch* le modem, *smoutch* mon ordinateur, *smoutch* ma télé
...*aargue* l'éléctricité statique.
Hum reprenons un petit peu notre sérieux pour remercier profondement
Trichou présentement rebatisé en Mitsuko, ma béta la plus rapide lol ^^
Car voici le chapitre suivant et completement décousu et tel que je
deteste la fin que j'ai fait, aucun suspence beurk ! mais je ne sais
pas comment la remanié.
Mon
Nom est personne
Cinquième
Chapitre
Le jeune comte Hargreave,
assis dans une voiture cahotante sur les pavé de Londres,
était dans une colère noire. Non, c'était pire
que de la colère, c'était de la fureur, une haine
farouche contre son impuissance et ce docteur qui soignait ses
patients avec une technique toute particulière.
Les deux autres
passagers, un majordome aux cheveux blancs et une jeune fille aux
allures de poupée de porcelaine, gardaient précieusement
le silence, alors que les poings du comte tremblaient de rage.
******************************
La pluie battait le corps
étendu, froid et sans vie de Sir William Sefira. Il était
couché sur le ventre ses habits soigneusement déchirés
dans son dos.
Après avoir repris
ses esprits, Caïn se pencha sur le cadavre du jeune homme, et
observa les trous qui parcouraient son dos. Tous identiques, ronds et
profondément creusés dans les os, cela ressemblait à
l'oeuvre d'une machine, ou d'un fou, or le fou il venait de le voir
partir, incapable de le rattraper.
Il retourna ensuite le
corps humide et gelé, pour découvrir le visage figé
dans la souffrance de l'aîné des Séfira.
De ses doigt fins et
blancs, il ferma les paupières qui commençaient à
se rigidifier puis poussa un interminable soupire de lassitude et de
colère.
Ses pensées
allèrent à Anny, qui verrait le jour de fête
qu'était son anniversaire en un jour de deuil, puis vers Beth
qu'il aimait tant taquiner et voir chahuter avec sa petite soeur.
Soudain une chaleur
nouvelle entoura ses épaules. Trop effarouché par ce
qu'il venait de se passer, il sursauta et bondit hors de porté
de l'hypothétique agresseur.
Ho Riff! Tu m'as
fait peur!
Toutes mes excuses
my lord. Que s'est-il donc passé ?Demanda le majordome en
finissant de poser sa veste sur les épaules de son maître.
C'est affreux. Caïn
agrippa la chemise maintenant humide de son subalterne. Il était
là ! Jhézabel, ce malade ! Il a tué Sir William
Sefira puis s'est enfuit... Et je n'ai rien peu faire! Rien.
Pour toute réponse,
Riff referma ses bras sur Caïn qui n'attendait que cela, pour
laisser explosé son désespoir et sa colère. Il
frappa de ses poings la poitrine du domestique, cria, gémit et
jura comme un homme du bas peuple.
La pression des bras de
Riff se fit plus forte et les jérémiades puérile
du comte fondirent en larmes chaudes et silencieuses.
Allons My lord,
voyez dans quel état vous vous mettez. C'est exactement ce
que le docteur Disraeli souhaite. Ce n'est pas encore l'heure de se
laisser aller, pas tant qu'il court et fait le mal. Allons,
remettez-vous mon coeur saigne de vous voir ainsi.
Il leva les yeux vers le
visage blafard et trempé de Riff. Ses yeux était rouge
mais Caïn ne peut déterminer s'il avait pleurer ou s'il
souffrait du froid et de la pluie.
Tu as raison.
Murmura Caïn en passant sa main sur la joue du Majordome. Il
renifla. Remettons le corps de Sir William comme il était,
puis allons annoncer la terrible nouvelle.
Bien my
lord.
*******************************
La voiture s'arrêta
dans un dernier clapotis, devant la vaste demeure des Hargreaves. La
jeune fille sortit la première, sautant à bas du
véhicule faisant virevolter les plis de sa robe noire. Caïn
et Riff descendirent à sa suite et la guidèrent vers
l'entrée du manoir.
La porte massive claqua
et aussitôt le bruit des talons plats de Mary, courant vers
l'entrée.
Beth !! Quelle
surprise!S'écria-t-elle en descendant les marches glissantes
quatre par quatre sous le regard paniqué de son protecteur de
frère.
Marywather était
parfaitement en droit de se poser la question. Sa présence au
foyer Hargreaves était du fait de Riff. Celui-ci pour savoir
ou était Caïn avait promis une semaine à jouer
avec Marywather et à se nourrir de gâteau fait maison.
Mais la jeune fille ne savait pas ce qu'il était advenu de son
frère, et lorsqu'elle le sut malgré ses cris et ses
pleures elle fut tout de même confier au comte, sous prétexte
qu'elle serait mieux loin de tous les préparatifs et des
inquiétudes de sa large famille.
La jeune comtesse sauta
dans les bras de son amie qui ne réagit que par un sourire
triste.
Qu'est ce que tu
fais ici? Demanda-t-elle en cherchant le regard de Beth.
Mary... J'ai à
te parler. Murmura Caïn en posant sa main encore tremblante.
Venez Miss Beth, je
vais vous montrez votre chambre en attendant.
****************************
Quelques minutes plus tard, Mary savait
ce qu'il venait de se passer et promis de s'occuper de Beth, Caïn
et Riff s'étaient isoler sur l'immense terrasse surplombant le
jardin, pour discuter de toute cette histoire.
Nous n'avons rien. Strictement
rien ! S'insurgea le prince des poissons, tournant en rond tel un
lion sans proie sur qui bondir.
Nous savons que délihal est
impliqué dans ce meurtre et dans la disparition du jeune lord
Fleiming. Répondit le majordome, assis calmement sur une
chaise en fer forgé, une tasse de thé brûlant à
la main.
Mais quel est le rapport, entre
l'enlèvement d'un handicapé incapable de lever le
petit doigt, maltraité par son entrepreneur de père et
le meurtre de l'aîné de la riche famille Séfira.
Ca n'a pas de sens !
A priori aucun, mais il nous faut
trouver quelque chose avant que l’on découvre un autre
cadavre.
Tu penses qu'il y aurait d'autres
assassinats du même genre? Demanda le comte stoppant sa rond
pour venir s'asseoir au côté du domestique.
C'est ainsi que fonctionne
l'organisation, des meurtres, encore de meurtres, jusqu'à
révélation. Jusqu'à l'horreur la plus
inimaginable, qu'ils ne peuvent plus cacher. Oui je pense qu'ils
tueront à nouveau, et ce jusqu'à quand ça leur
chante...
Ou jusqu'à ce qu'on les
arrête ! Reprit Caïn au vol.
Mais nous n'avons rien, ne
disiez-vous pas ?
Alors on va trouver quelque chose.
Il n'y a rien à découvrir des Séfiras pour
l'instant. Mais Fleiming...
**********************************
Le lendemain matin, les
deux jeunes hommes marchaient calmement parmi des piles de livres et
de parchemins poussiéreux mais de haute provenance.
Ils étaient dans
l'une des plus grandes bibliothèque de Londres et sûrement
la plus anarchique. Un vrai nid à poussinière, mais
heureusement ni Riff ni Caïn n'étaient asthmatique.
Leurs mains
farfouillaient les rayonnages à l'équilibre précaire,
dans des volutes de grisailles et le doux craquement du vieux papier.
My
lord ? Chuchota Riff.
Tu as trouvé
quelque chose?
Non rien, mais
n'aurions-nous pas plus de chance si nous demandions au maître
des lieux?
Cherchons encore un
peu. Je suis sûr que dans ce fouillis il ne trouverait pas
plus que nous.
Alors, ils s'activèrent,
soulevant les parchemins, balayant la crasse des manuscrit fragiles,
ouvrant les livres aux pages collées et rigides. Les minutes
passèrent et devinrent des heures, et leurs recherches
n'avaient toujours pas aboutis à quelque chose de concluant.
My lord ?
Oui oui ! J'ai
compris on va demander !!!Grommela Caïn.
Aussitôt une armée
de chute furibond envahirent la bibliothèque pour mettre fin
aux agissements de la voix trop haute du comte.
Vais mettre du
cyanure sur les pages moi, ils feront moins les malins ![1]
Ronchonna-t-il alors que Riff s'en allait questionner le
bibliothécaire.
Celui-ci était
petit caché derrière des tas de papiers et de vieux
grimoires, il était presque chauve, ses yeux toujours rouges
et mouillés lui donnaient le faisait ressembler à un
cocker malade tout comme ses joues tombants et ses larges moustache
rousses et mal taillés.
Mille excuses Sir
... Dit Riff à tout hasard à un tas de poussières
qui servait d'étagères.
Une petite tête
rondouillard apparut derrière le majordome, qui se retourna
aussitôt réprimant l'envie de se baisser pour arriver au
niveau du bonhomme.
Oui? Répliqua
le crane poussiéreux du bergers.
Ce « oui »
avait le profond et l'humidité d'un aboiement d'un vieux chien
fatigué. Riff sourit mal à l'aise, hésita un
instant cherchant ses mots puis il posa sa question.
Pourquoi devrais-je
vous donner cela? Demanda mollement l'homme. C'est très
personnel, et ne vous regarde pas.
Monsieur, s'il vous
plait. Cela m'aiderait beaucoup. Je n'ai aucun argument pour vous
convaincre sinon que cela m'est très personnel aussi.
Les yeux de cockers le
fixèrent longuement en silence. Le bibliothécaire
dodelina de la tête puis s'en alla. Riff le suivit perplexe,
les mains derrière le dos dans une parfaite attitude de
majordome fin et élégant, s'attirant les regards des
vielles lectrices depuis trop longtemps solitaires.
Il se déplaçait
facilement dans les rayonnages, sachant exactement où aller,
n'hésitant pas une seconde sur le chemin à emprunter.
Il s'arrêta soudain attrapa un livre et le tendit à Riff
sans autre forme d'explications, puis il fit demi tour et s'en
retourna à ses occupations.
Après quelques
minutes d'errance embrouillée dans ce laby, le majordome
retrouva le comte toujours cherchant mais moins avidement.
Monsieur, J'ai
trouvé. S'exclama Riff autant que ses chuchotements le lui
permettaient.
Excellent ! Allons
prendre une table et voir ce que cette ouvrage à dans le
ventre.
Les tables se trouvaient
à l'autre bout du bâtiment, presque toutes désertés
ou servant d'appui à quelques fous de lecture et autre club du
troisième âge spécialité lecture ou
tricotage.
Elles étaient en
bois massif et poli par l'usure et le temps. Ils tirèrent des
chaises dans un crissement attirant tous les regards méprisants
des autres occupants du lieux au silence sacré.
Caïn poussa trop
bruyamment l'ouvrage à la couverture de cuir rouge, sans titre
lisse et bien entretenue.
C'est dans ce livre
que sont tous les doubles des actes de naissance et autres documents
importants de la famille Fleiming sont conservés, au cas où.
Expliqua Riff.
Le comte feuilleta
rapidement le grimoire à la recherche des plus récents
feuillés.
Voila ! Lord
Fleiming c'est marié en 1863, avec Margarette Taylord la
fille d'un riche maître de mine.
Il tourna la page, ne
cachant plus sa curiosité et son empressement.
La pauvre décède
quelques années plus tard en 1868, d'une maladie inconnue.
Nous somme en 1888,
ce qui veut dire que l'enfant qui a été kidnappé
n'est pas légitime.
Caïn acquiesça
puis tourna la tête pour lire attentivement l'autre page. Il
fronça les sourcils. Le document suivant était
extrêmement et étonnamment abîmé. Il était
taché exagérément et déchiré de
toute par. Le jeune noble approcha sa figure pâle et convoité
du papier torturé et illisible.
Je ne comprends
rien, on dirait une adoption mais je ne vois rien d'autre.
Le brun tendit le livre à
Riff qui scruta lui aussi la page avec attention. Il ne voyait rien.
Il souleva la page et l'approcha de la lampe espérant voir
quelque chose par transparence. Et il vit quelque chose, quelques
chiffres et un mot qui le troublèrent au plus haut point. Il
posa le livre, secoua la tête, le reprit, relut les pattes de
mouches qui n'avaient pas changé.
Riff ? Est-ce que tu
vas bien ? Tu as vu quelque chose ?Demanda Cain inquiet par
l'attitude étrange de son vis à vis.
Je ... euh ... oui.
Il y a quelque chose! Ici.
Riff tapota le bas de la
page. Mais qu'est-ce que cela voulait-il bien dire. Caïn fit le
même geste que son domestique.
Oui en effet, je
distingue quelque chose ... Darlington, le 12
février 1881...[2]
C'était
pourtant bien ça. La date exacte du drame qui l'avait fait
cauchemarder durant des années et qui le poursuit encore
aujourd'hui.
Ce
jour si noir où il avait vu sa famille lui être retirer.
Ce
jour où tout avait brûlé.
A
suivre ...
Remarque
:
1 -
Légerement inspirer de l'histoire du nom de la rose,
legerement !
2 -
La date est le lieux sont completement fictifs, déoslé
je n'est pas retrouver c'est renseignement dans le mangas j'ai fait
le plus plossible !
voila et tiens je vien d'avoir une fabuleuse idée ... Je vais m'coucher ... *baiiiiiileeeuuhhh*