Grand déballage
Bon, sous la pression incarnolique pour que je mette à jour ce LJ qui ne devait pas servir mais on sait tous ce qu'il en est de ma volonté, je vais faire un grand déballage.
* Déballage d'émotions...
J'ai posté le chapitre 11 de Chiche!, cet après-midi. Un chapitre tellement long que j'ai eu la flemme de me relire, un chapitre qui m'a demandé tellement de mal sur la fin que je le déteste, un chapitre dont j'ai relu tout le début tant et tant de fois que je ne le supporte plus, bref, un chapitre que je n'ai posté que parce que l'idée d'y bosser davantage me rendait malade. Pas terrible, comme état d'esprit, hein?
Alors, tout à l'heure, il y a eu le moment tant redouté de l'ouverture des reviews. C'est là que je m'interroge sur ma santé mentale.
Le temps de brancher l'ordinateur, de l'allumer sans que les parents entendent, qu'il démarre, que je me connecte à internet, j'ai été dans mon pire état d'angoisse - comme à chaque fois que je sens très mal un chapitre, mais celui-ci atteignant tout de même des sommets dans le genre. Et quand je ressens cet espèce d'écœurement de moi-même, d'état misérable et insensé, je me mets à me donner des coups à moi-même. Des baffes, des toc-toc sur le front, des bam-bam sur la tête, parfois même je me mords. Puis, tentative de se ressaisir devant la glace : je m'attrappe le visage, je me répète «Ta fic est géniale, tu as le droit d'avoir des chapitres moins bons que les autres de temps en temps, et puis de toute façon ça n'a aucune importance, ce n'est qu'une fic... etc...» Mais l'auto-persuasion n'a que très peu d'effet sur moi, pour tout vous dire.
Non, le seul truc qui marche, ce sont les reviews. Alors j'attends que ma bal soit bien remplie, et puis j'ouvre la première review, et c'est limite si je ne me cache pas derrière mes mains comme devant les films d'horreur. Finalement, là, j'en ai reçu une dizaine, et Tipoupoutitipapa merci, elles sont bonnes. Sinon, j'en chialerais... Ça m'est déjà arrivé... Maintenant, je peux envisager de me mettre au chapitre 12. Il y a une heure, c'était impensable.
Vous voyez, je ne rigole pas quand je parle de ma dépendance aux reviews...
Bon... Je tiens à préciser à l'assemblée que je suis à peu près équilibrée psychologiquement pour tout ce qui ne concerne pas l'écriture et le dessin, donc ne vous inquiétez pas, vous n'aurez pas à vous côtiser pour me payer un psy.
* Déballage de dvd...
J'ai déballé quelques nouveaux dvd aujourd'hui ^__^. J'avais 30 euros, et j'ai failli acheter le dvd collector de Elephant avec. Au lieu de quoi, j'ai profité des promos pour rayer trois autres films de ma (longue) "liste des dvd à me procurer un jour" : American Beauty, Billy Elliot et Magnolia. Tout à l'heure, j'ai revu American beauty... Je ne l'avais vu qu'une fois, et j'avais un peu peur d'avoir fait un mauvais achat. Mais alors, loin de là! Ce film est encore mieux que dans mon souvenir. Délicieusement cynique, un tantinet subversif, mais aussi beau, et ça je l'avais oublié.
Je citerai son réalisteur, Sam Menders : «Il est toutefois surprenant qu'un film soit bien accueilli lorsqu'il met en scène des relations entre un homme mûr et un jeune femme dans l'Amérique de Clinton, un relâchement des attitudes envers la drogue, l'homosexualité dans l'armée, la sexualité chez les adolescents, la curiosité obsessionnelle de savoir ce qui se passe réellement chez ses voisins, et l'amour qui existe dans la plus belliqueuse des familles (sans parler d'un film dont le moment clé repose sur un sac en plastique tourbillonnant dans les airs).»
Nolwenn, tu aimerais ce film. Lola aussi, mais peut-être que tu l'as déjà vu?
Je l'amène demain, au cas où on regarderait autre chose que Six feet under. Et j'amène aussi Magnolia, que j'adore à peu près autant, mais celui-là c'est à Lola qu'il devrait plaire... (Mais à Nolwenn aussi, puisque vous semblez indissociables, ces derniers temps ^^p!)
Bref, des films à voir ^o^!
* Déballage de pensées...
L'hirondelle ne fait pas l'automne et hier j'étais au bois avec ma mort. Elle m'a dit : "regarde les arbres", et quand j'ai regardé nous étions dans le désert. (Hum, désolée, l'écriture automatique, ça ne marche pas toujours très bien -__-;.)
Alors, demain, c'est la fête! Personne n'a de cadeau pour Zab? On lui offrira le 19?
Si j'ai bien compris, chez Carmen il y aura : Carmen (surprenant), Nolwenn, Lola, Bénédicte, Harriet, Sophie, Charlotte, Coralie, Christelle, Pauline, et 2 inconnues à mon bataillon. Et Zab, bien sûr. Et moi. Je me suis trompée quelque part ou c'est ça?
Il y a quelqu'un qui amène un gâteau sûr, ou ça va être la dèche? (Dans ce cas j'en amène un! Mais Nolwenn... Fais un crumble, je t'en supplie!!!)
La danse des canards est poétique au clair de lune mais sans comparaison avec celle des trombonnes autour des feu de joie. Sorcières!
Eh voilà, fini!
Désolée pour ce si long post... (Vous l'avez voulu ^^!)
* Déballage d'émotions...
J'ai posté le chapitre 11 de Chiche!, cet après-midi. Un chapitre tellement long que j'ai eu la flemme de me relire, un chapitre qui m'a demandé tellement de mal sur la fin que je le déteste, un chapitre dont j'ai relu tout le début tant et tant de fois que je ne le supporte plus, bref, un chapitre que je n'ai posté que parce que l'idée d'y bosser davantage me rendait malade. Pas terrible, comme état d'esprit, hein?
Alors, tout à l'heure, il y a eu le moment tant redouté de l'ouverture des reviews. C'est là que je m'interroge sur ma santé mentale.
Le temps de brancher l'ordinateur, de l'allumer sans que les parents entendent, qu'il démarre, que je me connecte à internet, j'ai été dans mon pire état d'angoisse - comme à chaque fois que je sens très mal un chapitre, mais celui-ci atteignant tout de même des sommets dans le genre. Et quand je ressens cet espèce d'écœurement de moi-même, d'état misérable et insensé, je me mets à me donner des coups à moi-même. Des baffes, des toc-toc sur le front, des bam-bam sur la tête, parfois même je me mords. Puis, tentative de se ressaisir devant la glace : je m'attrappe le visage, je me répète «Ta fic est géniale, tu as le droit d'avoir des chapitres moins bons que les autres de temps en temps, et puis de toute façon ça n'a aucune importance, ce n'est qu'une fic... etc...» Mais l'auto-persuasion n'a que très peu d'effet sur moi, pour tout vous dire.
Non, le seul truc qui marche, ce sont les reviews. Alors j'attends que ma bal soit bien remplie, et puis j'ouvre la première review, et c'est limite si je ne me cache pas derrière mes mains comme devant les films d'horreur. Finalement, là, j'en ai reçu une dizaine, et Tipoupoutitipapa merci, elles sont bonnes. Sinon, j'en chialerais... Ça m'est déjà arrivé... Maintenant, je peux envisager de me mettre au chapitre 12. Il y a une heure, c'était impensable.
Vous voyez, je ne rigole pas quand je parle de ma dépendance aux reviews...
Bon... Je tiens à préciser à l'assemblée que je suis à peu près équilibrée psychologiquement pour tout ce qui ne concerne pas l'écriture et le dessin, donc ne vous inquiétez pas, vous n'aurez pas à vous côtiser pour me payer un psy.
* Déballage de dvd...
J'ai déballé quelques nouveaux dvd aujourd'hui ^__^. J'avais 30 euros, et j'ai failli acheter le dvd collector de Elephant avec. Au lieu de quoi, j'ai profité des promos pour rayer trois autres films de ma (longue) "liste des dvd à me procurer un jour" : American Beauty, Billy Elliot et Magnolia. Tout à l'heure, j'ai revu American beauty... Je ne l'avais vu qu'une fois, et j'avais un peu peur d'avoir fait un mauvais achat. Mais alors, loin de là! Ce film est encore mieux que dans mon souvenir. Délicieusement cynique, un tantinet subversif, mais aussi beau, et ça je l'avais oublié.
Je citerai son réalisteur, Sam Menders : «Il est toutefois surprenant qu'un film soit bien accueilli lorsqu'il met en scène des relations entre un homme mûr et un jeune femme dans l'Amérique de Clinton, un relâchement des attitudes envers la drogue, l'homosexualité dans l'armée, la sexualité chez les adolescents, la curiosité obsessionnelle de savoir ce qui se passe réellement chez ses voisins, et l'amour qui existe dans la plus belliqueuse des familles (sans parler d'un film dont le moment clé repose sur un sac en plastique tourbillonnant dans les airs).»
Nolwenn, tu aimerais ce film. Lola aussi, mais peut-être que tu l'as déjà vu?
Je l'amène demain, au cas où on regarderait autre chose que Six feet under. Et j'amène aussi Magnolia, que j'adore à peu près autant, mais celui-là c'est à Lola qu'il devrait plaire... (Mais à Nolwenn aussi, puisque vous semblez indissociables, ces derniers temps ^^p!)
Bref, des films à voir ^o^!
* Déballage de pensées...
L'hirondelle ne fait pas l'automne et hier j'étais au bois avec ma mort. Elle m'a dit : "regarde les arbres", et quand j'ai regardé nous étions dans le désert. (Hum, désolée, l'écriture automatique, ça ne marche pas toujours très bien -__-;.)
Alors, demain, c'est la fête! Personne n'a de cadeau pour Zab? On lui offrira le 19?
Si j'ai bien compris, chez Carmen il y aura : Carmen (surprenant), Nolwenn, Lola, Bénédicte, Harriet, Sophie, Charlotte, Coralie, Christelle, Pauline, et 2 inconnues à mon bataillon. Et Zab, bien sûr. Et moi. Je me suis trompée quelque part ou c'est ça?
Il y a quelqu'un qui amène un gâteau sûr, ou ça va être la dèche? (Dans ce cas j'en amène un! Mais Nolwenn... Fais un crumble, je t'en supplie!!!)
La danse des canards est poétique au clair de lune mais sans comparaison avec celle des trombonnes autour des feu de joie. Sorcières!
Eh voilà, fini!
Désolée pour ce si long post... (Vous l'avez voulu ^^!)