Japoniaiseries, comme dirait papa-san.
On a regardé le film Escalier C avec 
salh !
Bah c'est beaucoup moins pire que ce à quoi je m'attendais. Ouf ! Ils essaient de suggérer qu'il finirait avec la pouffe, mais en vrai il finit avec personne, à une carte postale près ça finit au même moment que le livre et ça rend juste la fin encore plus ouverte.
Bon, il manque beaucoup de scènes ambiguës avec Coleen... qui s'appelle Claude, d'ailleurs -_-;;... Mais il y a la scène chez Coleen avec le père de Forster et ça ça vaut tous les prix :D ! Le père de Forster est d'ailleurs le seul acteur vraiment bien choisi pour le rôle.
Bon bref, ça va j'ai survécu au visionnage de ce film. J'en profite pour faire de la pub pour Escalier C d'Elvire Murail, que c'est trop trop bien sa race ! Lisez-le ! Et si vous voulez savoir pourquoi demandez à
jo_yumegari parce que c'est elle la plus douée pour donner envie de lire des livres, et puis c'est elle qui me l'a fait découvrir :3 et puis là maintenant j'ai la flemme.
Sinon je voulais dire qu'aujourd'hui j'avais eu une grosse émotion à la fnac. J'étais en train de kyater parce que j'avais mis la main sur les mangas S et X-day, de l'auteuse de L'infirmerie après les cours (d'ailleurs, c'est un auteur yaoi à la base ! Elle s'est diversifié avec le temps mais j'ai un ou deux de ses anciens mangas en scanlations !! Mais elle a fait de sérieux progrès en dessin depuis ^^;) quand j'ai vu une couverture... avec un nom dessus...
J'ai eu très chaud tout d'un coup.
J'ai pâli.
Je me suis emparé du manga en faisant "ah... ah...!"
J'ai fait plein de gestes à l'intention de mes cousines qui captaient pas.
Et puis j'ai sautillé comme une neuneu dans tout le rayon BD.
Voilà.
Un Yoshinaga Fumi est paru en France, aux éditions Sakka (très bonne maison d'ailleurs, j'ai plein de mangas d'eux) ! Il s'appelle All my darling daughters ! Et il est trop bieeen !! Et il est pas du tout yaoi. Parce que Yoshinaga Fumi ne fait pas que ça, non.
Et c'est pas comme Antique Bakery, qui n'est pas du yaoi, bon, mais y'a quand même un personnage gay. Non non, là ça parle plutôt de femmes en fait, ça change drôlement de ce dont j'ai l'habitude avec cette auteure. C'est ce genre de manga qui n'a pas vraiment d'histoire, mais avec de vrais morceaux de vie dedans. Et il est bien ♥.
Attendez, je vais vous recopier le petit texte qu'il y a à la fin du manga sur l'auteur :D :
Née en 1971 à Tôkyô, Fumi YOSHINAGA fait ses premiers pas en tant que dessinatrice dans le circuit des dôjinshi, ces fanzines nippons qui détournent avec humour les mangas à succès. YOSHINAGA se fait ainsi connaître grâce à ses parodies de Slam Dunk, la célèbre série de Takehiko INOUE mettant en scène de jeunes basketteurs surdoués, qu'elle revisite en joutes homosexuelles. Aussi est-ce logiquement dans " Hanaoto ", une revue qui consacre une place importante aux romances entre hommes - un genre à part entière nommé yaoi -, qu'elle débute comme auteur professionnel, en 1994, avec le récit Tsuki to sandal. Depuis, les amours homosexuelles restent son sujet favori, ce qui explique son talent dans la représentation d'éphèbes aussi longilignes que gracieux, l'une des signatures du yaoi [oui mais les siens, ils ont des poils ! ha !]. Mais ce n'est pas là le seul don de YOSHINAGA : on lui doit aussi une grande finesse d'observation des comportements humains, dès lors qu'entrent en compte les sentiments, amoureux ou amicaux. Un réalisme psychologique qui fait merveille dans Kodomo no taion (1998), chronique retraçant le quotidien d'un père élevant seul son fils. YOSHINAGA a repris le même thème de l'amour filial dans Ai subeki musme tachi / All my darling daughters (2003), où elle met cette fois en scène une veuve et sa fille, la seconde supportant même le remariage de sa mère [oui non mais y'a plein d'autres trucs que ça en fait, c'est très réducteur comme résumé]. C'est avec un art déjà accompli que YOSHINAGA décrit les tourments affectifs, évitant, grâce à un humour gentiment taquin, toute tentation mélodramatique.
...
*yeux brillants de fangirl*
Pour finir un petit mot sur S (j'ai hésité entre acheter S ou X-day, mais j'ai choisi S parce qu'il y avait des garçons sur la couverture. Si encore j'avais honte...) : c'est bieeen ! Encore un auteur à suivre, Mizushiro Setona, mais j'attends pour vous dire de le lire que le troisième et ultime tome de cette mini-série soit paru, parce que ça joue tant sur l'ambiguïté des relations des personnages qu'on ne sait pas trop à quoi s'en tenir.
Enfin sauf sur un point : ça parle bien de badmington, pas de ping pong ou de tennis. Mais c'est pas forcément le truc qui va plus vous donner envie de le lire. (pas comme les garçons sur la couverture)
Allez voir ici pour de vraies info :3 : http://www.asuka.fr/lire_manga.php?id_serie=37&order=1
PS : Oh, et j'allais oublier : on est allé voir Nausicaä de la vallée du vent avec les cousines ! ... Et je me suis endormie devant. Littéralement. C'est à dire que j'ai eu un coup de barre vers le milieu du film et donc j'ai dû somnoler une bonne demi-heure avant de pouvoir à nouveau suivre -_-;.
C'est bien mais ça a (beaucoup) vieilli, et puis l'héroïne, quelle Mary-Sue ! Dans le genre écolo, quand on a déjà vu Princesse Mononoke, ça souffre difficilement la comparaison.
Voilà voilà :3.
salh !
Bah c'est beaucoup moins pire que ce à quoi je m'attendais. Ouf ! Ils essaient de suggérer qu'il finirait avec la pouffe, mais en vrai il finit avec personne, à une carte postale près ça finit au même moment que le livre et ça rend juste la fin encore plus ouverte.
Bon, il manque beaucoup de scènes ambiguës avec Coleen... qui s'appelle Claude, d'ailleurs -_-;;... Mais il y a la scène chez Coleen avec le père de Forster et ça ça vaut tous les prix :D ! Le père de Forster est d'ailleurs le seul acteur vraiment bien choisi pour le rôle.
Bon bref, ça va j'ai survécu au visionnage de ce film. J'en profite pour faire de la pub pour Escalier C d'Elvire Murail, que c'est trop trop bien sa race ! Lisez-le ! Et si vous voulez savoir pourquoi demandez à
jo_yumegari parce que c'est elle la plus douée pour donner envie de lire des livres, et puis c'est elle qui me l'a fait découvrir :3 et puis là maintenant j'ai la flemme.
Sinon je voulais dire qu'aujourd'hui j'avais eu une grosse émotion à la fnac. J'étais en train de kyater parce que j'avais mis la main sur les mangas S et X-day, de l'auteuse de L'infirmerie après les cours (d'ailleurs, c'est un auteur yaoi à la base ! Elle s'est diversifié avec le temps mais j'ai un ou deux de ses anciens mangas en scanlations !! Mais elle a fait de sérieux progrès en dessin depuis ^^;) quand j'ai vu une couverture... avec un nom dessus...
J'ai eu très chaud tout d'un coup.
J'ai pâli.
Je me suis emparé du manga en faisant "ah... ah...!"
J'ai fait plein de gestes à l'intention de mes cousines qui captaient pas.
Et puis j'ai sautillé comme une neuneu dans tout le rayon BD.
Voilà.
Un Yoshinaga Fumi est paru en France, aux éditions Sakka (très bonne maison d'ailleurs, j'ai plein de mangas d'eux) ! Il s'appelle All my darling daughters ! Et il est trop bieeen !! Et il est pas du tout yaoi. Parce que Yoshinaga Fumi ne fait pas que ça, non.
Et c'est pas comme Antique Bakery, qui n'est pas du yaoi, bon, mais y'a quand même un personnage gay. Non non, là ça parle plutôt de femmes en fait, ça change drôlement de ce dont j'ai l'habitude avec cette auteure. C'est ce genre de manga qui n'a pas vraiment d'histoire, mais avec de vrais morceaux de vie dedans. Et il est bien ♥.
Attendez, je vais vous recopier le petit texte qu'il y a à la fin du manga sur l'auteur :D :
Née en 1971 à Tôkyô, Fumi YOSHINAGA fait ses premiers pas en tant que dessinatrice dans le circuit des dôjinshi, ces fanzines nippons qui détournent avec humour les mangas à succès. YOSHINAGA se fait ainsi connaître grâce à ses parodies de Slam Dunk, la célèbre série de Takehiko INOUE mettant en scène de jeunes basketteurs surdoués, qu'elle revisite en joutes homosexuelles. Aussi est-ce logiquement dans " Hanaoto ", une revue qui consacre une place importante aux romances entre hommes - un genre à part entière nommé yaoi -, qu'elle débute comme auteur professionnel, en 1994, avec le récit Tsuki to sandal. Depuis, les amours homosexuelles restent son sujet favori, ce qui explique son talent dans la représentation d'éphèbes aussi longilignes que gracieux, l'une des signatures du yaoi [oui mais les siens, ils ont des poils ! ha !]. Mais ce n'est pas là le seul don de YOSHINAGA : on lui doit aussi une grande finesse d'observation des comportements humains, dès lors qu'entrent en compte les sentiments, amoureux ou amicaux. Un réalisme psychologique qui fait merveille dans Kodomo no taion (1998), chronique retraçant le quotidien d'un père élevant seul son fils. YOSHINAGA a repris le même thème de l'amour filial dans Ai subeki musme tachi / All my darling daughters (2003), où elle met cette fois en scène une veuve et sa fille, la seconde supportant même le remariage de sa mère [oui non mais y'a plein d'autres trucs que ça en fait, c'est très réducteur comme résumé]. C'est avec un art déjà accompli que YOSHINAGA décrit les tourments affectifs, évitant, grâce à un humour gentiment taquin, toute tentation mélodramatique.
...
*yeux brillants de fangirl*
Pour finir un petit mot sur S (j'ai hésité entre acheter S ou X-day, mais j'ai choisi S parce qu'il y avait des garçons sur la couverture. Si encore j'avais honte...) : c'est bieeen ! Encore un auteur à suivre, Mizushiro Setona, mais j'attends pour vous dire de le lire que le troisième et ultime tome de cette mini-série soit paru, parce que ça joue tant sur l'ambiguïté des relations des personnages qu'on ne sait pas trop à quoi s'en tenir.
Enfin sauf sur un point : ça parle bien de badmington, pas de ping pong ou de tennis. Mais c'est pas forcément le truc qui va plus vous donner envie de le lire. (pas comme les garçons sur la couverture)
Allez voir ici pour de vraies info :3 : http://www.asuka.fr/lire_manga.php?id_serie=37&order=1
PS : Oh, et j'allais oublier : on est allé voir Nausicaä de la vallée du vent avec les cousines ! ... Et je me suis endormie devant. Littéralement. C'est à dire que j'ai eu un coup de barre vers le milieu du film et donc j'ai dû somnoler une bonne demi-heure avant de pouvoir à nouveau suivre -_-;.
C'est bien mais ça a (beaucoup) vieilli, et puis l'héroïne, quelle Mary-Sue ! Dans le genre écolo, quand on a déjà vu Princesse Mononoke, ça souffre difficilement la comparaison.
Voilà voilà :3.