i just love when life becomes simple
Je suis humaine, corps tout fait de chair, d'os et de tous plein d'autres trucs gluants que je ne citerai pas mais que j'aime parce qu'ils font que je suis.
Un cerveau. C'est mieux. Et le simple "c'est mieux" vous prouve que j'en ai un.
Tout cela réuni implique que je sois complexe de nature et au final, pire encore : compliquée.
Vous savez bien, les questions qui se posent si jolies et qu'on finit par haïr parce qu'elles impliquent forcément d'être sans réponse. Et pas le classique "what am i supposed to do ?" (très série télé d'ailleurs)
Aujourd'hui c'est simple. Le compliqué a volé ailleurs. Peut être que quelqu'un d'autre que moi se prend 2 fois la tête maintenant... La peur est partie. Pas celle de mourir, j'ai la chance que celle-là n'existe pas en moi.
Non, celle de risquer sa vie.
Au sens où prendre un risque à vivre sa vie, à décider, à profiter, à ressentir, à accepter. A lui donner un sens.
Risquer d'exister. Risquer de remplir, sans plus pouvoir faire de marche arrière. A perdre de sa liberté dans un sens pour laisser de la place ailleurs afin que le sentiment de liberté revienne, plus fort encore.
J'aime. Mais vous le savez déjà.
C'est le "j'aime vivre" qui est encore si timide. Etouffé.
Alors comme je respire un peu mieux, là, j'étends.
Et une évidence à mes yeux : la pleine possession de soi, la peur qui s'envole se lie forcément à la musique. S'en est devenu chimique. Vos voix, ma voix, langage, parole... et la musique. La si vitale musique.
Si vous me posiez cette question d'île déserte et de ce que j'emporterai, je ne compterai plus seulement sur les noix de coco pour faire des instruments. Je devrai répondre une discothèque géante (Sufjan Stevens, Godspeed, Animal Collective, Radiohead et tous les autres Arrrrgh......) Et puis rajoutez une bibliothèque tant qu'on y est...Bref.
J'ai besoin de musique, son, besoin d'entendre, d'écouter, d'intégrer.
La peur s'envole, le corps communique sans mots, j'en perdrai presque mon cerveau.
Un cerveau. C'est mieux. Et le simple "c'est mieux" vous prouve que j'en ai un.
Tout cela réuni implique que je sois complexe de nature et au final, pire encore : compliquée.
Vous savez bien, les questions qui se posent si jolies et qu'on finit par haïr parce qu'elles impliquent forcément d'être sans réponse. Et pas le classique "what am i supposed to do ?" (très série télé d'ailleurs)
Aujourd'hui c'est simple. Le compliqué a volé ailleurs. Peut être que quelqu'un d'autre que moi se prend 2 fois la tête maintenant... La peur est partie. Pas celle de mourir, j'ai la chance que celle-là n'existe pas en moi.
Non, celle de risquer sa vie.
Au sens où prendre un risque à vivre sa vie, à décider, à profiter, à ressentir, à accepter. A lui donner un sens.
Risquer d'exister. Risquer de remplir, sans plus pouvoir faire de marche arrière. A perdre de sa liberté dans un sens pour laisser de la place ailleurs afin que le sentiment de liberté revienne, plus fort encore.
J'aime. Mais vous le savez déjà.
C'est le "j'aime vivre" qui est encore si timide. Etouffé.
Alors comme je respire un peu mieux, là, j'étends.
Et une évidence à mes yeux : la pleine possession de soi, la peur qui s'envole se lie forcément à la musique. S'en est devenu chimique. Vos voix, ma voix, langage, parole... et la musique. La si vitale musique.
Si vous me posiez cette question d'île déserte et de ce que j'emporterai, je ne compterai plus seulement sur les noix de coco pour faire des instruments. Je devrai répondre une discothèque géante (Sufjan Stevens, Godspeed, Animal Collective, Radiohead et tous les autres Arrrrgh......) Et puis rajoutez une bibliothèque tant qu'on y est...Bref.
J'ai besoin de musique, son, besoin d'entendre, d'écouter, d'intégrer.
La peur s'envole, le corps communique sans mots, j'en perdrai presque mon cerveau.