Fic Merlin Arthur/Merlin
Bonsoiiiiiir
Ceci est un cadeau pour une amie qui n'a de cesse de nous demander à marryblack et à moi de lui faire une fic sur le couple Merlin/Arthur. Au final j'ai craqué et voilà le résultat. En sachant quand même que le prompt était "contacte physique". En gros...
"Merlin, prépares ton sac, on part à l'aube" annonça Arthur qui venait de débouler dans la pièce sans même frapper.
"Hein? Où? Et pourquoi surtout..." il croisa le regard du prince "Oh non...Je connais ce regard, je ne vais pas aimer ça."
"On va dans une grotte, pas très loin de Tintagel. On va juste chercher un petit truc."
"Ah, ça va."
"Enfin, on risque de croiser des créatures plus ou moins amicales..."
"Je le savais..." se lamenta Merlin. Arthur lui offrit son fameux sourire qui prouvait qu'il adorait tourmenter ce pauvre Merlin puis sortit de la pièce.
Merlin laissa sa tête retomber sur la table en défaite, une fois de plus, face à Arthur. Il faut dire que le prince avait beaucoup de répartie, un caractère digne d'une mule et puis, il devait bien l'avouer, d'un charmes désarmant. Enfin, en attendant, il devait trouver un moyen de garder Arthur hors de danger. Un maximum disons; car il avait tendance à se mettre en situation de danger tout seul. Donc autant tenter de le protéger lorsqu'il ne se mettait PAS lui-même en danger.
Le jeune sorcier chercha dans ses livres, ceux qu'il cachait aux yeux de tous, ou presque. Il chercha, chercha et chercha, tournant frénétiquement les pages et scrutant les mots décrivant les différents sorts. Finalement il en trouva un, il lut une deuxième fois le descriptif, puis le lança après les préparatifs nécessaires effectués. ce n'est qu'en voulant ranger le livre avant d'aller préparer son sac qu'il remarqua un petit paragraphe qui lui avait échappé. Il eut envie de se donner des baffes...
« Ce sort ne sera effectif qu'en cas de contact physique avec la personne visée par le sort »
Oh non...Oooooooh non...Il était mort. C'était certain. Comment allait-il pouvoir expliquer CA à Arthur? Sans révéler qu'il était un sorcier cela allait sans dire. Il n'allait pas en sortir vivant...
~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~*~
Le lendemain, Merlin se fit réveiller par Arthur tambourinant à sa porte sans ménagement. Il sursauta, bafouillant un vague "Je suis réveillé, je me reposais juste les yeux" avant que ses yeux ne se focalisent sur le visage visiblement amusé d'Arthur, qui soit dit en passant avait un seau d’eau à la main pour le dernier recours pour réveiller son écuyer. Un soupir plus tard et Merlin prit son sac pour suivre le prince. Le voyage le plus embarrassant de sa vie allait commencer.
Les voilà en pleine forêt, tous deux à cheval. Arthur un peu en avant de lui, mais il se doit de rester près, de façon à pouvoir le toucher rapidement si besoin était. Il ne cessait de chercher des excuses pour toucher Arthur...Dis comme ça, ça semblait très louche quand même. Mais la véritable raison était tout aussi dangereuse à avouer. Voir plus...Quoi que si Arthur se faisait de fausses idées il se demandait comment il comptait lui faire payer...
"Toujours avec moi Merlin?" Merlin releva brusquement la tête, pour voir le regard joueur et taquin du prince. Il hocha la tête, encore en train de réfléchir "Tu devrais laisser ton cerveau respirer des fois tu sais..."
Mouais, quand il aurait une bonne idée, ouais. Soudain ils entendirent un cri qui n'avait rien d'humain. Arthur dégaina son épée après être descendu de cheval et Merlin se précipita pour attraper le bras de son compagnon de voyage y gagnant un regard surpris et interrogateur de ce dernier. Il n'eut pas longtemps à en souffrir, la créature (hybride entre oiseau et cheval) sortant de sa cachette pour donner un grand coup de sabot en direction d'Arthur qui l'évita. Merlin fit de son mieux durant toute cette incartade pour ne pas lâcher le bras non armé d'Arthur. Ce qui lui valut un regard ennuyé et une réplique digne du prince:
"Si tu m'avais lâché au lieu de t'accrocher à moi comme une demoiselle apeurée, on en serait débarrassés depuis longtemps."
Il récupéra son bras d'un geste brusque et rengaina son épée avant de repartir d'un pas rageur vers son cheval et de reprendre chemin.
La suite de leur périple fut parsemée de ce genre de scènes, Arthur toujours plus ennuyé avec Merlin et ce dernier de plus en plus embarrassé par toute cette situation. Mais si ça lui permettait de protéger le prince alors il devait s'y plier bon gré, mal gré. Il avait touché un peu partout (lui se serait contenté du bras mais bon...) ; il faut dire que parfois il n’avait pas trop choix. Il avait quand réussi à éviter les endroits louches (quoi que…Une main au niveau de la cuisse c’est un peu limite…). Alors quand leur expédition (qui avait bien durée cinq jours) pris fin, Merlin fit la chose la plus sensée en rentrant : aller s’enfermer dans sa chambre et aller mourir sous sa couette d’embarras. C’était sans compter un certain prince de sa connaissance qui vint arracher la couette de là où elle se trouvait, découvrant un Merlin plus rouge que rouge.
"Bien, venons-en aux explications…"
S’étouffer avec du drap, c’est douloureux comme méthode de suicide… ?
Ceci est un cadeau pour une amie qui n'a de cesse de nous demander à marryblack et à moi de lui faire une fic sur le couple Merlin/Arthur. Au final j'ai craqué et voilà le résultat. En sachant quand même que le prompt était "contacte physique". En gros...
"Merlin, prépares ton sac, on part à l'aube" annonça Arthur qui venait de débouler dans la pièce sans même frapper.
"Hein? Où? Et pourquoi surtout..." il croisa le regard du prince "Oh non...Je connais ce regard, je ne vais pas aimer ça."
"On va dans une grotte, pas très loin de Tintagel. On va juste chercher un petit truc."
"Ah, ça va."
"Enfin, on risque de croiser des créatures plus ou moins amicales..."
"Je le savais..." se lamenta Merlin. Arthur lui offrit son fameux sourire qui prouvait qu'il adorait tourmenter ce pauvre Merlin puis sortit de la pièce.
Merlin laissa sa tête retomber sur la table en défaite, une fois de plus, face à Arthur. Il faut dire que le prince avait beaucoup de répartie, un caractère digne d'une mule et puis, il devait bien l'avouer, d'un charmes désarmant. Enfin, en attendant, il devait trouver un moyen de garder Arthur hors de danger. Un maximum disons; car il avait tendance à se mettre en situation de danger tout seul. Donc autant tenter de le protéger lorsqu'il ne se mettait PAS lui-même en danger.
Le jeune sorcier chercha dans ses livres, ceux qu'il cachait aux yeux de tous, ou presque. Il chercha, chercha et chercha, tournant frénétiquement les pages et scrutant les mots décrivant les différents sorts. Finalement il en trouva un, il lut une deuxième fois le descriptif, puis le lança après les préparatifs nécessaires effectués. ce n'est qu'en voulant ranger le livre avant d'aller préparer son sac qu'il remarqua un petit paragraphe qui lui avait échappé. Il eut envie de se donner des baffes...
« Ce sort ne sera effectif qu'en cas de contact physique avec la personne visée par le sort »
Oh non...Oooooooh non...Il était mort. C'était certain. Comment allait-il pouvoir expliquer CA à Arthur? Sans révéler qu'il était un sorcier cela allait sans dire. Il n'allait pas en sortir vivant...
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Le lendemain, Merlin se fit réveiller par Arthur tambourinant à sa porte sans ménagement. Il sursauta, bafouillant un vague "Je suis réveillé, je me reposais juste les yeux" avant que ses yeux ne se focalisent sur le visage visiblement amusé d'Arthur, qui soit dit en passant avait un seau d’eau à la main pour le dernier recours pour réveiller son écuyer. Un soupir plus tard et Merlin prit son sac pour suivre le prince. Le voyage le plus embarrassant de sa vie allait commencer.
Les voilà en pleine forêt, tous deux à cheval. Arthur un peu en avant de lui, mais il se doit de rester près, de façon à pouvoir le toucher rapidement si besoin était. Il ne cessait de chercher des excuses pour toucher Arthur...Dis comme ça, ça semblait très louche quand même. Mais la véritable raison était tout aussi dangereuse à avouer. Voir plus...Quoi que si Arthur se faisait de fausses idées il se demandait comment il comptait lui faire payer...
"Toujours avec moi Merlin?" Merlin releva brusquement la tête, pour voir le regard joueur et taquin du prince. Il hocha la tête, encore en train de réfléchir "Tu devrais laisser ton cerveau respirer des fois tu sais..."
Mouais, quand il aurait une bonne idée, ouais. Soudain ils entendirent un cri qui n'avait rien d'humain. Arthur dégaina son épée après être descendu de cheval et Merlin se précipita pour attraper le bras de son compagnon de voyage y gagnant un regard surpris et interrogateur de ce dernier. Il n'eut pas longtemps à en souffrir, la créature (hybride entre oiseau et cheval) sortant de sa cachette pour donner un grand coup de sabot en direction d'Arthur qui l'évita. Merlin fit de son mieux durant toute cette incartade pour ne pas lâcher le bras non armé d'Arthur. Ce qui lui valut un regard ennuyé et une réplique digne du prince:
"Si tu m'avais lâché au lieu de t'accrocher à moi comme une demoiselle apeurée, on en serait débarrassés depuis longtemps."
Il récupéra son bras d'un geste brusque et rengaina son épée avant de repartir d'un pas rageur vers son cheval et de reprendre chemin.
La suite de leur périple fut parsemée de ce genre de scènes, Arthur toujours plus ennuyé avec Merlin et ce dernier de plus en plus embarrassé par toute cette situation. Mais si ça lui permettait de protéger le prince alors il devait s'y plier bon gré, mal gré. Il avait touché un peu partout (lui se serait contenté du bras mais bon...) ; il faut dire que parfois il n’avait pas trop choix. Il avait quand réussi à éviter les endroits louches (quoi que…Une main au niveau de la cuisse c’est un peu limite…). Alors quand leur expédition (qui avait bien durée cinq jours) pris fin, Merlin fit la chose la plus sensée en rentrant : aller s’enfermer dans sa chambre et aller mourir sous sa couette d’embarras. C’était sans compter un certain prince de sa connaissance qui vint arracher la couette de là où elle se trouvait, découvrant un Merlin plus rouge que rouge.
"Bien, venons-en aux explications…"
S’étouffer avec du drap, c’est douloureux comme méthode de suicide… ?