La clé d'accès à ma culotte, c'est bien tes mots. Co-bip.
Plus le temps passe et plus j'ai l'impression désagréable que les événements échappent à mon contrôle. Pas à mon contrôle du genre 'je commande tout' (ce qui est pratiquement impossible), mais à mon contrôle du genre 'je suis consciente de ce qui m'arrive'.
Je ne ressens plus que du dégoût et de la déception envers moi-même. Je crois que par conséquent, je ne suis plus capable d'aimer les autres comme je l'ai toujours fait. Et j'ai besoin d'aimer les autres, enfin surtout Eux*, parce que je suis comme ça. J'ai peut-être besoin d'affection mais je n'en suis pas avare. Des câlins et des bisous, j'en donnerais autant (voire plus) si seulement Ils* étaient réceptifs...
Le chemin au bonheur ne se dessinera que si je le veux, me dit 'celui qui ne veut pas être Flo, car les flo sont profonds sont redoutés des mer à genoux' ! Je l'ai voulu, j'ai appliqué la devise 'Carpe diem', et je me suis fait couiller/baiser/planter/enculer, comme on dit.
C'est peut-être ce qui fait mon état d'esprit un peu vide. Le fait de m'être fait avoir, je veux dire.
Les blessures à l'ego sont plus dures à guérir que celles au cœur, parfois. Celle-ci, oui. Me faire jeter par mon autre con est quelque chose que j'ai du mal à accepter. Me faire jeter avant même d'avoir pu conclure me dégoûte de moi-même. Je n'ose pas me demander ce que j'ai pu faire, parce que je connais la réponse. J'ai joué la fille facile pensant qu'il était un véritable Don Juan. Je me suis faite piéger. Et j'ai parlé d'amour. De l'amour que je voulais alors que ce n'était pas vrai.
J'ai au moins appris une chose. Ne jamais parler d'amour. Plus jamais. À un mec avec qui je suis.
Il ne me manquait pas. Et quelqu'un qui ne me manque pas, je ne l'aime pas. Je ne suis pas blessée au cœur. Mon ego en a pris un immense coup.
Cependant, 'celui qui ne veut pas être Flo, car les flo sont profonds sont redoutés des mer à genoux' me remonte bien le moral. Je croyais qu'il m'avait tourné le dos, comme tous les autres Eux*, mais il s'est avéré que non. Ses compliments à lui, je ne les prends pas comme je les prendrais d'un autre. Je sais que les siens ne sont qu'amicaux. Que lorsqu'il me soutient que je suis une fille géniale et assez intelligente pour réfléchir par moi-même, il ne pense à rien d'autre qu'à me remonter le moral. Pas comme d'autres, qui considèrent que des mots gentils sont la clé d'accès pour entrer dans la culotte d'une fille.
J'ai besoin de me réparer avant de continuer.
Je ne ressens plus que du dégoût et de la déception envers moi-même. Je crois que par conséquent, je ne suis plus capable d'aimer les autres comme je l'ai toujours fait. Et j'ai besoin d'aimer les autres, enfin surtout Eux*, parce que je suis comme ça. J'ai peut-être besoin d'affection mais je n'en suis pas avare. Des câlins et des bisous, j'en donnerais autant (voire plus) si seulement Ils* étaient réceptifs...
Le chemin au bonheur ne se dessinera que si je le veux, me dit 'celui qui ne veut pas être Flo, car les flo sont profonds sont redoutés des mer à genoux' ! Je l'ai voulu, j'ai appliqué la devise 'Carpe diem', et je me suis fait couiller/baiser/planter/enculer, comme on dit.
C'est peut-être ce qui fait mon état d'esprit un peu vide. Le fait de m'être fait avoir, je veux dire.
Les blessures à l'ego sont plus dures à guérir que celles au cœur, parfois. Celle-ci, oui. Me faire jeter par mon autre con est quelque chose que j'ai du mal à accepter. Me faire jeter avant même d'avoir pu conclure me dégoûte de moi-même. Je n'ose pas me demander ce que j'ai pu faire, parce que je connais la réponse. J'ai joué la fille facile pensant qu'il était un véritable Don Juan. Je me suis faite piéger. Et j'ai parlé d'amour. De l'amour que je voulais alors que ce n'était pas vrai.
J'ai au moins appris une chose. Ne jamais parler d'amour. Plus jamais. À un mec avec qui je suis.
Il ne me manquait pas. Et quelqu'un qui ne me manque pas, je ne l'aime pas. Je ne suis pas blessée au cœur. Mon ego en a pris un immense coup.
Cependant, 'celui qui ne veut pas être Flo, car les flo sont profonds sont redoutés des mer à genoux' me remonte bien le moral. Je croyais qu'il m'avait tourné le dos, comme tous les autres Eux*, mais il s'est avéré que non. Ses compliments à lui, je ne les prends pas comme je les prendrais d'un autre. Je sais que les siens ne sont qu'amicaux. Que lorsqu'il me soutient que je suis une fille géniale et assez intelligente pour réfléchir par moi-même, il ne pense à rien d'autre qu'à me remonter le moral. Pas comme d'autres, qui considèrent que des mots gentils sont la clé d'accès pour entrer dans la culotte d'une fille.
J'ai besoin de me réparer avant de continuer.