Dessous affriolants - Irene/Kate - Sherlock BBC - n°3
Titre : Ce qui se boit, ce qui se mord
Auteur : anadyomede
Thème : Dessous affriolants
Fic nº : 3
Fandom : Sherlock BBC
Pairing : Irene/Kate
Rating : PG
Disclaimer : Tout appartient à Mark Gatiss et Steven Moffat.
Irene Adler, elle est belle tout le temps. Et partout elle a le rire qui lui colle à la gorge, le rouge aux lèvres et le souffle aux joues ; aussi loin qu’elle s’en souvienne, Irene Adler n’a jamais rien aimé plus qu’elle ne s’est aimée elle-même.
Elle a observée les hommes assise au bord d’une fenêtre, elle a brûlé de très fines cigarettes, puis un jour elle s’est lassée, elle s’est levée, elle s’est laissée rencontrer. Ça a été si simple qu’elle n’a plus pu s’en passer.
C’est grisant de boire le pouvoir, de le serrer entre les seins, de l’étaler au creux des reins. Irene Adler y a planté les dents ; elle a ce poison qui se déverse lorsque les tissus glissent sur elle, et alors on ne peut plus la quitter, alors elle est affolante, enivrante, dévorante. Elle joue ses cartes comme on joue sa vie, elle s’y perdrait toute entière mais elle a cette indifférence au cœur qui la sauverait en tout temps.
Kate l’a regardée pendant tellement d’années qu’au final, elle a oublié à quoi vraiment ça servait. Le pouvoir. Cette maîtrise complètement du moindre sourire, cette force qui s’échappe de son rire. Et elle, combien elle l’aime, et qu’est-ce qu’elle fait là encore, qu’est-ce qu’elle fait là toujours.
Irene Adler, elle déraisonne tout ce qui s’accroche à elle. Elle tire les fils, elle est comme une petite voix qui s’infiltre dans la tête jusqu’à en obtenir les plus grands secrets. Quand elle s’épuise parfois, quand elle ouvre grand sa fenêtre et balance ses jambes de l’autre côté, quand sa main cherche la taille de Kate, la jeune femme se rappelle soudain : Irene Adler, elle écorche tous ceux qui l’aiment et on ne peut plus s’en aller après.
Elle se moque de l’homme qui va arriver. Kate l’a habillée, déshabillée, rhabillée, il n’y a qu’elle qui la connaît, par cœur, tout au fond, il n’y a qu’elle qui sait la maîtriser ; les dessous qui défilent, toutes ces preuves de faiblesses qu’Irene Adler laisse paraître, elle s’en défait face à la glace pour se montrer toute entière.
Déshabillée dernière, Irene Adler est tellement belle que c’est Kate toute seule qui parfois, a l’impression d’un hameçon au ventre qui lui remonter jusqu’aux lèvres et la laisse hors de l’eau tremblante.
Auteur : anadyomede
Thème : Dessous affriolants
Fic nº : 3
Fandom : Sherlock BBC
Pairing : Irene/Kate
Rating : PG
Disclaimer : Tout appartient à Mark Gatiss et Steven Moffat.
Irene Adler, elle est belle tout le temps. Et partout elle a le rire qui lui colle à la gorge, le rouge aux lèvres et le souffle aux joues ; aussi loin qu’elle s’en souvienne, Irene Adler n’a jamais rien aimé plus qu’elle ne s’est aimée elle-même.
Elle a observée les hommes assise au bord d’une fenêtre, elle a brûlé de très fines cigarettes, puis un jour elle s’est lassée, elle s’est levée, elle s’est laissée rencontrer. Ça a été si simple qu’elle n’a plus pu s’en passer.
C’est grisant de boire le pouvoir, de le serrer entre les seins, de l’étaler au creux des reins. Irene Adler y a planté les dents ; elle a ce poison qui se déverse lorsque les tissus glissent sur elle, et alors on ne peut plus la quitter, alors elle est affolante, enivrante, dévorante. Elle joue ses cartes comme on joue sa vie, elle s’y perdrait toute entière mais elle a cette indifférence au cœur qui la sauverait en tout temps.
Kate l’a regardée pendant tellement d’années qu’au final, elle a oublié à quoi vraiment ça servait. Le pouvoir. Cette maîtrise complètement du moindre sourire, cette force qui s’échappe de son rire. Et elle, combien elle l’aime, et qu’est-ce qu’elle fait là encore, qu’est-ce qu’elle fait là toujours.
Irene Adler, elle déraisonne tout ce qui s’accroche à elle. Elle tire les fils, elle est comme une petite voix qui s’infiltre dans la tête jusqu’à en obtenir les plus grands secrets. Quand elle s’épuise parfois, quand elle ouvre grand sa fenêtre et balance ses jambes de l’autre côté, quand sa main cherche la taille de Kate, la jeune femme se rappelle soudain : Irene Adler, elle écorche tous ceux qui l’aiment et on ne peut plus s’en aller après.
Elle se moque de l’homme qui va arriver. Kate l’a habillée, déshabillée, rhabillée, il n’y a qu’elle qui la connaît, par cœur, tout au fond, il n’y a qu’elle qui sait la maîtriser ; les dessous qui défilent, toutes ces preuves de faiblesses qu’Irene Adler laisse paraître, elle s’en défait face à la glace pour se montrer toute entière.
Déshabillée dernière, Irene Adler est tellement belle que c’est Kate toute seule qui parfois, a l’impression d’un hameçon au ventre qui lui remonter jusqu’aux lèvres et la laisse hors de l’eau tremblante.