Dès que le soleil se couche - Les enfants de la Terre - fic n° 4
Titre: Retour au foyer
Auteur:
aylala
Thème: Dès que le soleil se couche
Fic n°4
Fandom: Les enfants de la Terre
Personnages: Ayla, Jondalar et Jonayla
Disclaimer: Les personnages de cette histoire sont la propriété de Jean M. Auel.
Timeline : Ce petit OS se situe après Les refuges de Pierre...
Note : C'est la toute première fois que j'écris d'après ce fandom, et cela fait bien longtemps que je n'avais pas lu ces livres... J'espère que ça ne se ressentira pas trop...
Retour au foyer
C’était toujours au moment où les dernières lueurs du jour disparaissaient derrière l’horizon qu’Ayla revenait dans le monde réel. Assise à l’orée de la caverne de la Première, la jeune acolyte s’occupait des diverses tâches qu’on lui avait confiée. Elle travaillait dur, ne rechignait jamais. De tout temps, la jeune femme avait été curieuse d’apprendre et désirait approfondir ses connaissances. Son travail lui convenait donc parfaitement.
Cela lui permettait de plus d’être bien mieux accepté au sein des Zelandonii maintenant qu’elle pansait leur plaie et soignait leurs maux.
Pourtant, et aussi heureuse que la rendait son travail, Ayla était heureuse de voir le couchant se glisser derrière les refuges de pierre. Elle cessait alors de n’être absorbée que par les nouvelles choses qu’elle avait découvertes et se levait doucement. Elle étirait un peu ses membres endoloris d’être restés trop longtemps dans la même position. La jeune femme se retournait vers l’intérieur de la grotte dans laquelle un feu crépitait joyeusement. D’un signe de tête, elle saluait la doniate qui lui rendait son salut. La Première était peu bavarde, mais Ayla savait qu’elle l’aimait bien.
Une fois que toutes ses affaires furent nettoyées et rangées, la jeune femme prenait le chemin escarpé qui menait un peu plus haut dans les grottes. Sur le chemin, la jeune femme manquait de glisser plus d’une fois. La luminosité baissait de plus en plus et il était très difficile de suivre la bonne route. Mais pour rien au monde Ayla n’aurait ralenti sa marche.
Car dès que les derniers rayons du soleil avaient fui vers le couchant, la jeune femme n’avait plus qu’une envie : retrouver les siens. Aussi satisfaite qu’elle fût par son travail auprès de la Zelandoni, elle n’était comblée que dans son foyer.
C’est pourquoi, lorsque Jonayla, du haut de ses deux étés, accrochée au cou de Jondalar l’accueillait au seuil de leur caverne en frappant dans ses mains, lui mettait du baume au cœur. Sa fille ressemblait comme deux gouttes d’eau à l’homme de son Foyer, elle rayonnait comme un petit soleil, son petit soleil. Lui aussi était beau, comme le premier jour où elle l’avait vu dans cette vallée des Chevaux. Et elle l’aimait toujours autant.
Pour Ayla, c’était donc tous les jours, quand elle regagnait la chaleur rassurante de son foyer, à l’abri de la nuit et de ses mystères, que la jeune femme savourait pleinement le bonheur d’exister au sein du clan de la Neuvième Caverne.
Auteur:
aylala
Thème: Dès que le soleil se couche
Fic n°4
Fandom: Les enfants de la Terre
Personnages: Ayla, Jondalar et Jonayla
Disclaimer: Les personnages de cette histoire sont la propriété de Jean M. Auel.
Timeline : Ce petit OS se situe après Les refuges de Pierre...
Note : C'est la toute première fois que j'écris d'après ce fandom, et cela fait bien longtemps que je n'avais pas lu ces livres... J'espère que ça ne se ressentira pas trop...
Retour au foyer
C’était toujours au moment où les dernières lueurs du jour disparaissaient derrière l’horizon qu’Ayla revenait dans le monde réel. Assise à l’orée de la caverne de la Première, la jeune acolyte s’occupait des diverses tâches qu’on lui avait confiée. Elle travaillait dur, ne rechignait jamais. De tout temps, la jeune femme avait été curieuse d’apprendre et désirait approfondir ses connaissances. Son travail lui convenait donc parfaitement.
Cela lui permettait de plus d’être bien mieux accepté au sein des Zelandonii maintenant qu’elle pansait leur plaie et soignait leurs maux.
Pourtant, et aussi heureuse que la rendait son travail, Ayla était heureuse de voir le couchant se glisser derrière les refuges de pierre. Elle cessait alors de n’être absorbée que par les nouvelles choses qu’elle avait découvertes et se levait doucement. Elle étirait un peu ses membres endoloris d’être restés trop longtemps dans la même position. La jeune femme se retournait vers l’intérieur de la grotte dans laquelle un feu crépitait joyeusement. D’un signe de tête, elle saluait la doniate qui lui rendait son salut. La Première était peu bavarde, mais Ayla savait qu’elle l’aimait bien.
Une fois que toutes ses affaires furent nettoyées et rangées, la jeune femme prenait le chemin escarpé qui menait un peu plus haut dans les grottes. Sur le chemin, la jeune femme manquait de glisser plus d’une fois. La luminosité baissait de plus en plus et il était très difficile de suivre la bonne route. Mais pour rien au monde Ayla n’aurait ralenti sa marche.
Car dès que les derniers rayons du soleil avaient fui vers le couchant, la jeune femme n’avait plus qu’une envie : retrouver les siens. Aussi satisfaite qu’elle fût par son travail auprès de la Zelandoni, elle n’était comblée que dans son foyer.
C’est pourquoi, lorsque Jonayla, du haut de ses deux étés, accrochée au cou de Jondalar l’accueillait au seuil de leur caverne en frappant dans ses mains, lui mettait du baume au cœur. Sa fille ressemblait comme deux gouttes d’eau à l’homme de son Foyer, elle rayonnait comme un petit soleil, son petit soleil. Lui aussi était beau, comme le premier jour où elle l’avait vu dans cette vallée des Chevaux. Et elle l’aimait toujours autant.
Pour Ayla, c’était donc tous les jours, quand elle regagnait la chaleur rassurante de son foyer, à l’abri de la nuit et de ses mystères, que la jeune femme savourait pleinement le bonheur d’exister au sein du clan de la Neuvième Caverne.