FMA - Paninya/Winry - Liste #1, thème #5, toucher
Titre: poking & proding
Auteur: ylg
Fandom: FullMetal Alchemist
Pairing: Winry Rockbell x Paninya
Disclaimer: Arakawa Hiromu, Square Enix, studio Bones
Rating: PG -13
Liste/Thème: 1.5, toucher
Avertissements: ça commence à sexer ! avec deux ou trois automails dans le lot, selon la version considérée.
**
Tout est affaire de contraste entre elles, Winry rose et blonde, Paninya brune.
Toutes deux ont les mains calleuses et presque rêches du travail physique, mais le reste de leur peau est douce, bien cachée sous les vêtements solides qu’elles doivent porter, à l’atelier ou sur les toits. Pour chacune, un grain et une couleur de peau à elle. Ça se révèle d’autant quand elles sont seules, rien que toutes les deux, et peuvent se mettre à nu.
Avec les secrets de leurs peaux, se réveillent aussi ceux de leurs chevelures. Les cheveux de Paninya, si sombres, si épais, juste assez longs pour couvrir ses épaules quand Winry les libère de leur queue-de-cheval, volent. Ceux de Winry, d’un doré intense, longs et fins, qui auréolent son visage et viennent cacher sa poitrine quand elle se penche, s’emmêlent quand elles font l’amour.
Les mains de Winry sur le corps de Paninya, quand elle s’occupe de sa maintenance, assistées de ses instruments, touchent et explorent, sont efficaces, le plus rapides possible, cherchant à surtout ne pas faire mal quand elle travaille sur le raccord des nerfs. Mais quand elles s’égarent ailleurs, dépassant le cadre normal des examens elles s’attardent alors autant qu’elles peuvent, nues et caressantes.
Il y a le corps de Paninya sous les mains de Winry, tout en muscles nerveux et peau respirant la santé, malgré les marques des cicatrices et des raccords là où la chair blessée disparaît dans les ports métalliques ; le métal solide, la technicité des articulations en fait partie aussi.
Il y a le corps de Winry contre celui de Paninya ; Winry n’a pas peur de sentir tout contre sa peau lisse des membres artificiels manquant de douceur et de chaleur ; Winry admire autant la peau dorée par le soleil que le métal brillant.
Il y a les mains de Winry dans celles de Paninya, leurs couleurs s’entrelaçant : c’est ainsi qu’elles sont au plus proche du mélange qu’elles ne pourront jamais réaliser parfaitement. C’est mieux ainsi d’ailleurs ; leurs différences se complémentent, harmonieuses ensemble. Deux couleurs belles côte à côte, qui pourrait dire à quoi elles ressembleraient si on venait à les mêler trop étroitement ? ça donne souvent une vilaine teinte perdant tout intérêt.
Leurs corps se touchent, leurs doigts s’entremêlent et tissent la rencontre de leurs esprits, ajoutant et superposant aux caresses délicates mots d’amour et tendres promesses.
Auteur: ylg
Fandom: FullMetal Alchemist
Pairing: Winry Rockbell x Paninya
Disclaimer: Arakawa Hiromu, Square Enix, studio Bones
Rating: PG -13
Liste/Thème: 1.5, toucher
Avertissements: ça commence à sexer ! avec deux ou trois automails dans le lot, selon la version considérée.
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Tout est affaire de contraste entre elles, Winry rose et blonde, Paninya brune.
Toutes deux ont les mains calleuses et presque rêches du travail physique, mais le reste de leur peau est douce, bien cachée sous les vêtements solides qu’elles doivent porter, à l’atelier ou sur les toits. Pour chacune, un grain et une couleur de peau à elle. Ça se révèle d’autant quand elles sont seules, rien que toutes les deux, et peuvent se mettre à nu.
Avec les secrets de leurs peaux, se réveillent aussi ceux de leurs chevelures. Les cheveux de Paninya, si sombres, si épais, juste assez longs pour couvrir ses épaules quand Winry les libère de leur queue-de-cheval, volent. Ceux de Winry, d’un doré intense, longs et fins, qui auréolent son visage et viennent cacher sa poitrine quand elle se penche, s’emmêlent quand elles font l’amour.
Les mains de Winry sur le corps de Paninya, quand elle s’occupe de sa maintenance, assistées de ses instruments, touchent et explorent, sont efficaces, le plus rapides possible, cherchant à surtout ne pas faire mal quand elle travaille sur le raccord des nerfs. Mais quand elles s’égarent ailleurs, dépassant le cadre normal des examens elles s’attardent alors autant qu’elles peuvent, nues et caressantes.
Il y a le corps de Paninya sous les mains de Winry, tout en muscles nerveux et peau respirant la santé, malgré les marques des cicatrices et des raccords là où la chair blessée disparaît dans les ports métalliques ; le métal solide, la technicité des articulations en fait partie aussi.
Il y a le corps de Winry contre celui de Paninya ; Winry n’a pas peur de sentir tout contre sa peau lisse des membres artificiels manquant de douceur et de chaleur ; Winry admire autant la peau dorée par le soleil que le métal brillant.
Il y a les mains de Winry dans celles de Paninya, leurs couleurs s’entrelaçant : c’est ainsi qu’elles sont au plus proche du mélange qu’elles ne pourront jamais réaliser parfaitement. C’est mieux ainsi d’ailleurs ; leurs différences se complémentent, harmonieuses ensemble. Deux couleurs belles côte à côte, qui pourrait dire à quoi elles ressembleraient si on venait à les mêler trop étroitement ? ça donne souvent une vilaine teinte perdant tout intérêt.
Leurs corps se touchent, leurs doigts s’entremêlent et tissent la rencontre de leurs esprits, ajoutant et superposant aux caresses délicates mots d’amour et tendres promesses.