13 avril - Limite à ses ambitions - Code Geass
Titre: Limite à ses ambitions
Auteur: haru_raka
Jour/Thème: 13 avril/ Où placer les limites?
Fandom: Code Geass
Personnage/Couple: Suzaku et Lelouch
Rating: G
Warnings : Spoil sur la fin de la saison 1
Disclaimer: Les personnages appartiennent aux créateurs
Suzaku regarda Lelouch, il avait l'air vraiment innocent, pourtant, c'était lui qui se cachait sous le masque de Zero. Il le voyait devant ses yeux, il réprima avec grand mal une grimace, ou était les limites de cette folie meurtrière dans laquelle, il s'était engagé. Il pointa un fusil dans sa direction. Il n'appuya s'approchant du terroriste qu'il poursuivait depuis le début. Comment en était-il arrivé à ça ? Il ne tira. Ils passèrent juste un moment à se regarder l'un en face de l'autre. Son ami était un tueur au nom de quoi ? D'un trahison orchestrée par il ne savait pas par quelle personne. Il était face à lui, un part de lui voulait tuer cet homme responsable de tant de morts, mais en même temps, il ne voulait pas tuer son ami, son meilleur ami. Il appuya légèrement sur la détente pas assez pour déclencher le mécanisme. Il montra ainsi à cet homme qu'il était sérieux. Pour une obscure raison, il sourit. Il s'attendait donc être coincé avec lui. Il tendit son arme.
-Qu'est-ce que tu attends pour tirer Suzaku ?
-Pourquoi tu as fait ça au nom de quoi ? Tu as même tué ta demi-sœur dans cette folie alors que ces intentions étaient bonnes, très bonnes.
Il pleura un peu, il souvenait de ses yeux étranges qu'elle avait avant de rendre la vie. Elle était presque contente de ne plus avoir plus force, elle était partie après avoir massacré des Japonais contre son gré, ça se voyait dans ses traits creusés. Il essuya ses yeux avec son bras libre. Il regarda son ami, un geste, il en était fini de ce cauchemar, pourtant quelque chose l’empêcha de tuer son ami. Sa main tremblait, il appuya sur la détente et la balle fila à côté de la tête de Lelouch détruisant le mur de rochers derrière lui, il tomba à genoux et une pierre toucha l'arrière de la tête de son ami, il tomba dans les vapes. Il jeta son pistolet et se précipita sur le corps inanimé de l'ennemi public numéro un. Il secoua ce dernier, mais il ne réagit pas. Il paniqua un peu, il fouilla ses poches et appela le quartier général en quête d'aide. Dans le fond, il espérait qu'il oublierait toute cette haine, même qu'il oublie ce qu'il était afin qu'il puisse vivre normalement, un nouveau départ en quelque sorte. Il prit le corps inerte et le souleva du mieux qu'il peut. Il le traîna dehors de cet endroit vraiment étrange. Il lui donnait froid dans le dos. Il respira l'air dehors.
-Lelouch, si seulement tu n'avais pas laissé ta haine te guider dans ton combat, tu aurais pu faire des choses extraordinaires. Et que dirais Nunnally de cette histoire y as-tu seulement pensé une seule fois ? Tu as été particulièrement bête sur ce coup, le comble quand on sait les plans intelligents que tu as montés pour nous faire face.
Il posa sur le sol le corps de son ami et l'appuya avec grand soin sur le mur. Il enleva sa cape ridicule et s'en servi comme couverture. Il ne savait ce que serait la suite, il espérait juste qu'elle soit meilleure que le début.
Auteur: haru_raka
Jour/Thème: 13 avril/ Où placer les limites?
Fandom: Code Geass
Personnage/Couple: Suzaku et Lelouch
Rating: G
Warnings : Spoil sur la fin de la saison 1
Disclaimer: Les personnages appartiennent aux créateurs
Suzaku regarda Lelouch, il avait l'air vraiment innocent, pourtant, c'était lui qui se cachait sous le masque de Zero. Il le voyait devant ses yeux, il réprima avec grand mal une grimace, ou était les limites de cette folie meurtrière dans laquelle, il s'était engagé. Il pointa un fusil dans sa direction. Il n'appuya s'approchant du terroriste qu'il poursuivait depuis le début. Comment en était-il arrivé à ça ? Il ne tira. Ils passèrent juste un moment à se regarder l'un en face de l'autre. Son ami était un tueur au nom de quoi ? D'un trahison orchestrée par il ne savait pas par quelle personne. Il était face à lui, un part de lui voulait tuer cet homme responsable de tant de morts, mais en même temps, il ne voulait pas tuer son ami, son meilleur ami. Il appuya légèrement sur la détente pas assez pour déclencher le mécanisme. Il montra ainsi à cet homme qu'il était sérieux. Pour une obscure raison, il sourit. Il s'attendait donc être coincé avec lui. Il tendit son arme.
-Qu'est-ce que tu attends pour tirer Suzaku ?
-Pourquoi tu as fait ça au nom de quoi ? Tu as même tué ta demi-sœur dans cette folie alors que ces intentions étaient bonnes, très bonnes.
Il pleura un peu, il souvenait de ses yeux étranges qu'elle avait avant de rendre la vie. Elle était presque contente de ne plus avoir plus force, elle était partie après avoir massacré des Japonais contre son gré, ça se voyait dans ses traits creusés. Il essuya ses yeux avec son bras libre. Il regarda son ami, un geste, il en était fini de ce cauchemar, pourtant quelque chose l’empêcha de tuer son ami. Sa main tremblait, il appuya sur la détente et la balle fila à côté de la tête de Lelouch détruisant le mur de rochers derrière lui, il tomba à genoux et une pierre toucha l'arrière de la tête de son ami, il tomba dans les vapes. Il jeta son pistolet et se précipita sur le corps inanimé de l'ennemi public numéro un. Il secoua ce dernier, mais il ne réagit pas. Il paniqua un peu, il fouilla ses poches et appela le quartier général en quête d'aide. Dans le fond, il espérait qu'il oublierait toute cette haine, même qu'il oublie ce qu'il était afin qu'il puisse vivre normalement, un nouveau départ en quelque sorte. Il prit le corps inerte et le souleva du mieux qu'il peut. Il le traîna dehors de cet endroit vraiment étrange. Il lui donnait froid dans le dos. Il respira l'air dehors.
-Lelouch, si seulement tu n'avais pas laissé ta haine te guider dans ton combat, tu aurais pu faire des choses extraordinaires. Et que dirais Nunnally de cette histoire y as-tu seulement pensé une seule fois ? Tu as été particulièrement bête sur ce coup, le comble quand on sait les plans intelligents que tu as montés pour nous faire face.
Il posa sur le sol le corps de son ami et l'appuya avec grand soin sur le mur. Il enleva sa cape ridicule et s'en servi comme couverture. Il ne savait ce que serait la suite, il espérait juste qu'elle soit meilleure que le début.