12 décembre - le temple maudit - saint seiya
Titre : Le temple maudit
Auteur : petite_dilly
Jour/Thème : 12 décembre/le temple maudit
Fandom : Saint Seiya (série tv + Hadès)
Personnage/Couple : Ikki/Shaka
Rating : PG-13
Disclaimer : Shaka est à Masami Kurumada.
Notes : j'ai honte.
C’était un cliché…
Tous des malades, ces Indiens. Adorateurs de Kali, et sadiques.
Que le très pur chevalier de la Vierge (-Marie, il lui ressemblait comme deux gouttes d’eau, et la projetait dans ses attaques contre les vils démons), que le très pur chevalier blond de la Vierge Marie donc, soit aussi porté que lui sur les films d’horreurs de série Z, mers de sang, attaques de zombies et autres mises en scène de cauchemar à la Freddy Krueger (« tu peux courir tant que tu veux, je suis toujours derrière toi, gnah ah ah ! »)… Il y avait là un paradoxe assez fascinant, enfin il voulait dire effrayant.
Malgré toutes ses proclamations bouddhiques, Shaka aimait faire souffrir son prochain.
Et le sourire de plaisir qu’arborait parfois son visage était aussi éloigné de celui du Dalaï-lama qu’une bombe atomique l’est des préceptes de Gandhi.
Shaka s’aimait, s’estimait, et il aimait faire souffrir.
…Tu parles d’un moine, un vrai psychopathe oui !
S’il avait tant laissé pousser ses ongles, c’était pour faire de grands effets de mains démoniaques à griffes, ou pour les faire crisser sur son verre, à l’occasion, le sourcil dressé.
Et pourtant, il était aussi cet homme noble, sage et tourmenté dont tous, y compris lui, vénéraient la puissance.
Il était mystérieux, comme tous les muets.
Et mystique, comme tous les aveugles.
En somme, escroquerie ou bizarrerie de la nature, Shaka était aussi énigmatique qu’un cercle carré.
D’ailleurs, mais c’était sans doute l’effet de son imagination, il avait beau porter l’habit de moine, il lui jetait parfois des œillades bleues plus chaudes que l’Ile de la mort un 15 août. Et ne parlons pas de ce petit sourire en coin, qui était à la chasteté ce qu’Emmanuelle était à la sœur du même prénom.
Pff… Il l’aurait vraiment cherché. Dans tous les sens du terme.
Un petit sourire sadique plia la bouche du Phénix.
Car lui aussi avait un faible pour les films à diffusion restreinte, le mauvais goût, la pose solitaire… et les toges faciles à dégrafer.
Auteur : petite_dilly
Jour/Thème : 12 décembre/le temple maudit
Fandom : Saint Seiya (série tv + Hadès)
Personnage/Couple : Ikki/Shaka
Rating : PG-13
Disclaimer : Shaka est à Masami Kurumada.
Notes : j'ai honte.
C’était un cliché…
Tous des malades, ces Indiens. Adorateurs de Kali, et sadiques.
Que le très pur chevalier de la Vierge (-Marie, il lui ressemblait comme deux gouttes d’eau, et la projetait dans ses attaques contre les vils démons), que le très pur chevalier blond de la Vierge Marie donc, soit aussi porté que lui sur les films d’horreurs de série Z, mers de sang, attaques de zombies et autres mises en scène de cauchemar à la Freddy Krueger (« tu peux courir tant que tu veux, je suis toujours derrière toi, gnah ah ah ! »)… Il y avait là un paradoxe assez fascinant, enfin il voulait dire effrayant.
Malgré toutes ses proclamations bouddhiques, Shaka aimait faire souffrir son prochain.
Et le sourire de plaisir qu’arborait parfois son visage était aussi éloigné de celui du Dalaï-lama qu’une bombe atomique l’est des préceptes de Gandhi.
Shaka s’aimait, s’estimait, et il aimait faire souffrir.
…Tu parles d’un moine, un vrai psychopathe oui !
S’il avait tant laissé pousser ses ongles, c’était pour faire de grands effets de mains démoniaques à griffes, ou pour les faire crisser sur son verre, à l’occasion, le sourcil dressé.
Et pourtant, il était aussi cet homme noble, sage et tourmenté dont tous, y compris lui, vénéraient la puissance.
Il était mystérieux, comme tous les muets.
Et mystique, comme tous les aveugles.
En somme, escroquerie ou bizarrerie de la nature, Shaka était aussi énigmatique qu’un cercle carré.
D’ailleurs, mais c’était sans doute l’effet de son imagination, il avait beau porter l’habit de moine, il lui jetait parfois des œillades bleues plus chaudes que l’Ile de la mort un 15 août. Et ne parlons pas de ce petit sourire en coin, qui était à la chasteté ce qu’Emmanuelle était à la sœur du même prénom.
Pff… Il l’aurait vraiment cherché. Dans tous les sens du terme.
Un petit sourire sadique plia la bouche du Phénix.
Car lui aussi avait un faible pour les films à diffusion restreinte, le mauvais goût, la pose solitaire… et les toges faciles à dégrafer.