Titre : So it’s done.
Auteur : KTL
Jour/Thème : 31 octobre/C’est la fin + Conte de fée
Fandom : Gossip Girl
Personnage/Couple : Si je le disais, ce serait un spoil, vu le thème...
Rating : PG
Disclaimer : Pas à moi (but I do want my Chuck Bass)
Notes : Mieux vaut ne pas lire ceci si on ne veut pas perdre l’occasion d’ouvrir de grands yeux devant la fin de l’épisode 8 de la seconde saison (soit celui qui vient de sortir) qui est à tomber par terre. Après, si vous vous moquez d’être spoilé, c’est pas un problème, et ça peut se lire sans voir la série, je pense, mais si ça perd fatalement en intensité...
1x100 + 1x200
Vote de fin de mois : ... oui.
Donc, c’est fini. Juste comme ça - juste quelques mots, un baiser, un adieu, un peut-être.
Juste nous - ce que nous aurions pu être, ce que nous n’avons jamais été. Ce que nous ne serons jamais, sans doute.
Et pourtant c’est vrai. Et pourtant... Et pourtant je t’aimais - je t’aime. Et toi aussi. Le bonheur était à portée de main, mais nous ne sommes pas faits pour le bonheur. C’est injuste et terriblement réel.
Il me reste un peut-être pour vivre et ce serait bien peu si je n’avais pas aussi une carte dorée et la 5ème avenue.
Je voyais le monde d’après ces trois mots comme un conte de fée, tu sais. Comme... oui. Comme toi et moi allant au cinéma main dans la main. Heureux. Heureux et niais, bien sûr, on est toujours niais quand on est amoureux et nous sommes amoureux et cela est indéniable ; mais, alors qu’il aurait été si facile d’abandonner le jeu et d’accepter une défaite qui n’aurait jamais été que la plus belle des victoires, alors que je venais même pour parler - perdre... -, cette réalité m’a frappé violement : nous ne saurions pas être amoureux, heureux et niais, Blair. Nous ne sommes pas faits pour le conte de fée. Tu n’es pas une princesse, mon amour, tu es la reine et la reine n’aime pas un...
Qui suis-je dans ta cour, Blair ? Qui étais-je avant ce soir-là au Vitrola ? Je ne me souviens plus. Je ne parviens pas à me rappeler de ce temps insouciant et lointain où il n’y avait pas encore de papillons dans mon estomac. Sais-tu qu’ils ont remonté, ces papillons, et qu’ils me dévorent le cœur en cet instant ? Si je n’étais pas Chuck Bass...
Si tu n’étais pas Queen B.