18 avril - moine + prénom - Saiyuki
Titre : (n/a)
Auteur : ylg
Jour/Thème : 18 avril/moine + prénom
Fandom : Gensōmaden Saiyūki
Personnage : Genjyō Sanzō
Rating : G
Warnings éventuels : beeen, les gens qui suivent Saiyūki doivent bien tous être au courant du passé de Sanzō, non ? donc pas de spoil normalement...
Disclaimer : Minekura Kazuya
Participation au vote de fin de mois : Non
**
Sanzō, ça n’est pas un prénom. Les noms ont du pouvoir, et un nom bouddhique c’est un titre ; l’individu s’efface sous sa charge. Le trente-et-unième Tōa Genjyō Sanzō porte le sien comme une punition, pour n’avoir pas su protéger la seule personne au monde qu’il en jugeait digne.
Ce nom, son maître le lui a donné, disait-il, parce qu’il était grand temps de remplacer le nom d’enfant qu’il portait alors, ce nom d’orphelin jugé trop dur à porter. Kōryū était pourtant habitué à ce prénom et ne voyait pas l’intérêt d’en changer, tant pis pour ce qu’en disaient les autres autour de lui. Et puis, n’était-ce pas Kōmyō Sanzō lui-même qui lui avait donné ce nom à l’origine, en le tirant de la rivière ? Devait-il en déduire qu’il considérait maintenant cette action comme une erreur ?
Il ne pourra jamais le lui demander. Les raisons derrière les décisions de Kōmyō Sanzō ont disparu avec lui. S’il y tient tant, il faudra qu’il invente sa propre réponse à cette question, espérant un jour le comprendre. Ou finalement, avec le temps qui passe, qu’il décide que cela n’a plus d’importance et simplement l’oublier.
Son maître lui a laissé un nom à honorer et une ligne de conduite à suivre. S’il a compris, autant s’y tenir et ne plus poser de questions sur un passé désormais révolu.
Auteur : ylg
Jour/Thème : 18 avril/moine + prénom
Fandom : Gensōmaden Saiyūki
Personnage : Genjyō Sanzō
Rating : G
Warnings éventuels : beeen, les gens qui suivent Saiyūki doivent bien tous être au courant du passé de Sanzō, non ? donc pas de spoil normalement...
Disclaimer : Minekura Kazuya
Participation au vote de fin de mois : Non
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Sanzō, ça n’est pas un prénom. Les noms ont du pouvoir, et un nom bouddhique c’est un titre ; l’individu s’efface sous sa charge. Le trente-et-unième Tōa Genjyō Sanzō porte le sien comme une punition, pour n’avoir pas su protéger la seule personne au monde qu’il en jugeait digne.
Ce nom, son maître le lui a donné, disait-il, parce qu’il était grand temps de remplacer le nom d’enfant qu’il portait alors, ce nom d’orphelin jugé trop dur à porter. Kōryū était pourtant habitué à ce prénom et ne voyait pas l’intérêt d’en changer, tant pis pour ce qu’en disaient les autres autour de lui. Et puis, n’était-ce pas Kōmyō Sanzō lui-même qui lui avait donné ce nom à l’origine, en le tirant de la rivière ? Devait-il en déduire qu’il considérait maintenant cette action comme une erreur ?
Il ne pourra jamais le lui demander. Les raisons derrière les décisions de Kōmyō Sanzō ont disparu avec lui. S’il y tient tant, il faudra qu’il invente sa propre réponse à cette question, espérant un jour le comprendre. Ou finalement, avec le temps qui passe, qu’il décide que cela n’a plus d’importance et simplement l’oublier.
Son maître lui a laissé un nom à honorer et une ligne de conduite à suivre. S’il a compris, autant s’y tenir et ne plus poser de questions sur un passé désormais révolu.