FMA - Frank Archer - #28 Mort avec un crayon dans le nez
Titre : Et Boum le crayon !
Auteur : petite_laitue
Fandom : Fullmetal Alchemist
Personnages : Archer et Kimblee
Rating : PG
Thème : 28. Mort avec un crayon dans le nez
Disclaimer : Archer et Kimblee ne sont pas à moi, je me contente de les emprunter à Hiromu Arakawa pour écrire des bêtises
Assis seul à son bureau, la tête posée sur son poing et les yeux fixés sur un rapport de l'armée, le Colonel Frank Archer était totalement absorbé par sa lecture. Il n'y avait pas un bruit et sa concentration était à son paroxysme. Quand soudain...
BOUM
Archer poussa une exclamation de surprise en manquant de tomber de sa chaise. Il se leva en maugréant et se dirigea vers la porte qu'il ouvrit brusquement avant de s'adresser à l'homme brun qui lui faisait face, un tiroir à moitié démoli dans les mains.
« KIMBLEE ! Ça suffit avec vos explosions ! J'en ai assez d'entendre des détonations toutes les quinze minutes.
-Mais c'est ce foutu tiroir : il ne voulait pas s'ouvrir.
-Je m'en moque ! Vous n'aviez qu'à trouver une autre solution bon sang. C'est la quatrième explosion depuis ce matin.
-Hé ! Je vous signale que vous m'avez réintégré dans l'armée pour mes talents d'artificier alors il ne faut pas vous plaindre maintenant.
-En effet, vous êtes là pour votre alchimie. Mais vous êtes sensé l'utiliser sur le champ de bataille, pas pour désintégrer mes bureaux.
-C'est bon, vous allez pas me chier une pendule pour un tiroir à la con !
-Je vous préviens Kimblee : si j'entends encore la moindre explosion, je vous prive des prochains combats à Lior.
-Ok je vais me calmer, grogna l'Ecarlate avant de rajouter plus bas : il va pas me souler longtemps cet abruti s'il ne veut pas finir comme l'autre couillon d'homonculus ! »
Archer jeta un regard glacial à son subalterne en refermant la porte puis il retourna à son bureau et se remit à travailler. Au bout de vingt minutes de silence reposant, il constata avec plaisir que Kimblee semblait avoir compris la leçon et continua à étudier ses rapports. Il était en train de se gratter le nez avec son crayon lorsque tout d'un coup...
BOUM
Archer sursauta à nouveau violemment, se cognant simultanément le genou contre la table et s'enfonçant le crayon dans le nez. Sous le coup de la douleur et de la surprise, il baissa la tête et percuta brutalement son bureau en s'empalant sur le crayon déjà bien enfoncé dans son nez.
La porte s'ouvrit deux minutes plus tard et Kimblee pénétra dans la pièce :
« Alors je tenais juste à préciser que ce coup-ci je n'y suis pour rien. C'est Hawkeye : elle est arrivée dans la salle et nous a un peu trop énergiquement déposé une énorme pile de paperasse sur le bureau. Donc là vous ne pouvez pas me reprocher quoique ce soit et... »
L'alchimiste s'interrompit en voyant la silhouette inerte de son supérieur, il s'approcha de lui et contempla la flaque de sang qui commençait à se répandre sur le sous-main. Soulevant le menton du militaire au teint pâle , il tacha de prendre son pouls avant de finalement hausser les épaules en faisant demi-tour.
« Faut croire qu'une place de Colonel vient de se libérer, ça n'a pas l'air compliqué d'avoir de l'avancement ici. »
Auteur : petite_laitue
Fandom : Fullmetal Alchemist
Personnages : Archer et Kimblee
Rating : PG
Thème : 28. Mort avec un crayon dans le nez
Disclaimer : Archer et Kimblee ne sont pas à moi, je me contente de les emprunter à Hiromu Arakawa pour écrire des bêtises
Assis seul à son bureau, la tête posée sur son poing et les yeux fixés sur un rapport de l'armée, le Colonel Frank Archer était totalement absorbé par sa lecture. Il n'y avait pas un bruit et sa concentration était à son paroxysme. Quand soudain...
BOUM
Archer poussa une exclamation de surprise en manquant de tomber de sa chaise. Il se leva en maugréant et se dirigea vers la porte qu'il ouvrit brusquement avant de s'adresser à l'homme brun qui lui faisait face, un tiroir à moitié démoli dans les mains.
« KIMBLEE ! Ça suffit avec vos explosions ! J'en ai assez d'entendre des détonations toutes les quinze minutes.
-Mais c'est ce foutu tiroir : il ne voulait pas s'ouvrir.
-Je m'en moque ! Vous n'aviez qu'à trouver une autre solution bon sang. C'est la quatrième explosion depuis ce matin.
-Hé ! Je vous signale que vous m'avez réintégré dans l'armée pour mes talents d'artificier alors il ne faut pas vous plaindre maintenant.
-En effet, vous êtes là pour votre alchimie. Mais vous êtes sensé l'utiliser sur le champ de bataille, pas pour désintégrer mes bureaux.
-C'est bon, vous allez pas me chier une pendule pour un tiroir à la con !
-Je vous préviens Kimblee : si j'entends encore la moindre explosion, je vous prive des prochains combats à Lior.
-Ok je vais me calmer, grogna l'Ecarlate avant de rajouter plus bas : il va pas me souler longtemps cet abruti s'il ne veut pas finir comme l'autre couillon d'homonculus ! »
Archer jeta un regard glacial à son subalterne en refermant la porte puis il retourna à son bureau et se remit à travailler. Au bout de vingt minutes de silence reposant, il constata avec plaisir que Kimblee semblait avoir compris la leçon et continua à étudier ses rapports. Il était en train de se gratter le nez avec son crayon lorsque tout d'un coup...
BOUM
Archer sursauta à nouveau violemment, se cognant simultanément le genou contre la table et s'enfonçant le crayon dans le nez. Sous le coup de la douleur et de la surprise, il baissa la tête et percuta brutalement son bureau en s'empalant sur le crayon déjà bien enfoncé dans son nez.
La porte s'ouvrit deux minutes plus tard et Kimblee pénétra dans la pièce :
« Alors je tenais juste à préciser que ce coup-ci je n'y suis pour rien. C'est Hawkeye : elle est arrivée dans la salle et nous a un peu trop énergiquement déposé une énorme pile de paperasse sur le bureau. Donc là vous ne pouvez pas me reprocher quoique ce soit et... »
L'alchimiste s'interrompit en voyant la silhouette inerte de son supérieur, il s'approcha de lui et contempla la flaque de sang qui commençait à se répandre sur le sous-main. Soulevant le menton du militaire au teint pâle , il tacha de prendre son pouls avant de finalement hausser les épaules en faisant demi-tour.
« Faut croire qu'une place de Colonel vient de se libérer, ça n'a pas l'air compliqué d'avoir de l'avancement ici. »