Du port de l'uniforme en période estivale
Le masochisme ne fait pas tout, il faut aussi avoir envie de gagner sa croute (et pas vraiment de connaître une expérience de travail épanouissante) pour se trouver un job d'été à mille lieues de ce à quoi je pourrais être préparée.
Me voici donc vendeuse dans une grande enseigne suédoise, à l'oeuvre dans un des magasins de la région parisienne, en polo jaune et badge à mon nom, avec la fameuse étiquette pendant autour de mon cou "Je peux vous aider". Sauf que en fait, non, il y a peu de chance que je puisse vous aider, mais laissez moi vous rediriger vers mon collègue / mon ordinateur, le temps que j'apprenne par coeur toutes les références de mon rayon, un des plus grands du magasin, oui, oui.
Bon, en même temps, je rentre de ma deuxième journée, il est normal que je ne sois pas encore bilingue IKEA-français, que je me perde pour aller à ma pause et que j'erre dans les rayons pour trouver ou ranger quoi.
D'autant plus que ça commence à venir, malgré tout, et que renseigner les clients revient souvent à leur lire l'étiquette du produit - ce à quoi ma formation m'a plutôt habituée, pour le coup - ou à les orienter vers une des larges divisions du rayon. Et puis c'est en rangeant qu'on apprend, et au passage on a le droit de faire joujou avec la thermocolleuse et la machine à peser le tissu. Magique !
En plus mon équipe est plutôt sympa, le restaurant d'entreprise est géant (il y a une salle de sieste avec fauteuils massants, je vous jure) et les boissons chaudes sont gratuites. Plutôt cool pour commencer à sympathiser avec quelques caissiers à mourir de rire, surtout quand ils parlent de nos consignes de sécurité.
Bref, un bon démarrage. Si ce n'est pas une façade pour ne pas m'affoler et que mes jambes tiennent le coup (debout toute la journée, avec des aller-retour dans un grand rayon...), ça devrait être un chouette job d'été. D'autant que j'ai renseigné aujourd'hui ma première célébrité (oui, elles aussi viennent faire leurs achats par ici), la demoiselle de la Minute blonde de Canal, venue acheter des rideaux (ouah le scoop). Palpitant, non ?
Me voici donc vendeuse dans une grande enseigne suédoise, à l'oeuvre dans un des magasins de la région parisienne, en polo jaune et badge à mon nom, avec la fameuse étiquette pendant autour de mon cou "Je peux vous aider". Sauf que en fait, non, il y a peu de chance que je puisse vous aider, mais laissez moi vous rediriger vers mon collègue / mon ordinateur, le temps que j'apprenne par coeur toutes les références de mon rayon, un des plus grands du magasin, oui, oui.
Bon, en même temps, je rentre de ma deuxième journée, il est normal que je ne sois pas encore bilingue IKEA-français, que je me perde pour aller à ma pause et que j'erre dans les rayons pour trouver ou ranger quoi.
D'autant plus que ça commence à venir, malgré tout, et que renseigner les clients revient souvent à leur lire l'étiquette du produit - ce à quoi ma formation m'a plutôt habituée, pour le coup - ou à les orienter vers une des larges divisions du rayon. Et puis c'est en rangeant qu'on apprend, et au passage on a le droit de faire joujou avec la thermocolleuse et la machine à peser le tissu. Magique !
En plus mon équipe est plutôt sympa, le restaurant d'entreprise est géant (il y a une salle de sieste avec fauteuils massants, je vous jure) et les boissons chaudes sont gratuites. Plutôt cool pour commencer à sympathiser avec quelques caissiers à mourir de rire, surtout quand ils parlent de nos consignes de sécurité.
Bref, un bon démarrage. Si ce n'est pas une façade pour ne pas m'affoler et que mes jambes tiennent le coup (debout toute la journée, avec des aller-retour dans un grand rayon...), ça devrait être un chouette job d'été. D'autant que j'ai renseigné aujourd'hui ma première célébrité (oui, elles aussi viennent faire leurs achats par ici), la demoiselle de la Minute blonde de Canal, venue acheter des rideaux (ouah le scoop). Palpitant, non ?